(Minghui.org) La Chine, traditionnellement connue comme le pays du divin, a une longue histoire de disciplines spirituelles. Cependant, sous le régime totalitaire et athée du Parti communiste chinois (PCC), de nombreux Chinois ignorent aujourd’hui leur héritage et leurs racines culturelles.

Au cours des dernières décennies, la popularité croissante des différents types de qigong, et en particulier le Falun Gong, a permis de renouer avec la tradition et de rétablir un lien avec le divin. Présentée par M. Li Hongzhi en 1992, cette méthode améliore la santé et encourage ses pratiquants à suivre le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Plus de 100 millions de pratiquants de tous horizons ont trouvé la paix de l’esprit et amélioré leur moralité dans leur vie quotidienne.

Dans ces trois articles, nous partageons les histoires d’un scientifique titulaire d’un doctorat, d’un chef d’entreprise prospère et d’un ingénieur accompli. Nous espérons qu’ils vous inspireront de nouvelles perspectives sur les questions importantes de la vie : Qui sommes-nous ? Pourquoi sommes-nous ici ?

Un doctorant de l’université de Tsinghua

Wang Weiyu aimait les sciences. Il s’est spécialisé dans les sciences et l’ingénierie et a toujours rêvé de devenir un éminent ingénieur. Cependant, malgré toutes ses connaissances scientifiques, il se sentait encore confus sur certaines questions fondamentales, telles que le but de la vie. Mais un livre a changé tout cela. Voici son récit.

Une porte vers le merveilleux

Wang Weiyu : Le Falun Gong a ouvert ma sagesse.

J’ai grandi dans une famille athée. Mes grands-parents ne croyaient pas en l’existence du divin parce que le PCC leur avait lavé le cerveau. En grandissant dans cet environnement, toute mon éducation était également basée sur l’athéisme.

Je n’avais aucune idée de ce que signifiait la cultivation ou ce qu’était le qigong. Sur la base de ce que le PCC m’avait inculqué, je pensais que toutes ces choses étaient des superstitions et cela m’a créé un énorme obstacle mental.

En 1995, j’ai vu un dépliant sur le Falun Gong à l’université de Tsinghua. Il disait que le Falun Gong était « une méthode de cultivation de haut niveau de l’école du Bouddha » et énumérait de nombreux bienfaits de la méthode. Par exemple, lorsque nous travaillons ou étudions, nous n’avons peut-être pas beaucoup de temps pour faire les exercices tous les jours, mais le Falun Gong continuera à renforcer les pratiquants, même lorsqu’ils n’ont pas le temps de faire les exercices.

À l’époque, j’étais plutôt méfiant à l’égard de ce que disait le dépliant, je pensais : « Comment une chose aussi bonne peut-elle exister dans ce monde ? Ce n’est que de la poudre aux yeux. »

Un jour, je suis tombé par hasard sur le livre Zhuan Falun. En lisant la Première Leçon, j’étais très enthousiaste, car j’ai commencé à comprendre que les contes de fées du passé sur la façon dont les gens aspiraient à un bel avenir et à la bonté, et sur la façon dont les personnes bienveillantes étaient bénies, pouvaient tous devenir réalité à travers la cultivation.

J’ai pu apprécier ce que disait le livre du point de vue de la physique et de mes propres connaissances. La théorie selon laquelle on peut atteindre un haut niveau de sagesse en se cultivant résonnait en moi, et je pouvais voir les choses plus clairement et de façon plus complète.

Le Zhuan Falun m’a montré un monde totalement différent, un monde beaucoup plus vaste et plus complet que ce que j’avais connu dans le passé. Il m’a aidé à comprendre les réponses à de nombreuses questions, telles que : « Qu’est-ce qui est le plus important pour un être humain ? Pourquoi les gens vivent-ils ? Quelle est la valeur de la vie ? Quelle est notre destination ? Que dois-je faire exactement pour améliorer la qualité de ma vie aujourd’hui et lui donner plus de sens à l’avenir ? » J’étais déterminé à atteindre mon objectif par la cultivation.

Je me suis dit : Si une personne vit cent ans, cela ne fait que 36 500 jours, ce qui est plutôt court. Du point de vue athée, ce serait la fin de la vie. On disparaîtrait, on n’existerait plus. Une personne est donc déjà condamnée à mort dès le jour de sa naissance. Dans la plupart des cas, cela ne dépasse pas cent ans, soit 36 500 jours.

Or, sur ces 36 500 jours, un tiers, soit environ huit heures par jour, est consacré au sommeil. On ne dispose donc que de deux tiers des 36 500 jours pour être en état de veille. De plus, pendant les dix premières années de la vie d’un enfant, on ne peut pas faire grand-chose, ce qui nous permet de soustraire un autre dixième de cette vie. Ensuite, lorsqu’une personne atteint la soixantaine, son niveau d’énergie est beaucoup plus faible que lorsqu’elle était dans la force de l’âge. Nous pouvons donc déduire 40 % de ces cent ans, ce qui ne laisse que 50 % de la durée de vie. Ainsi, si une personne peut vivre jusqu’à cent ans, son temps fort est d’un peu plus de 10 000 jours. La vie d’une personne est, en fait, plutôt courte.

Il n’est donc pas étonnant que de nombreux philosophes aient eu tendance à être plutôt pessimistes. En effet, même s’ils voulaient accomplir quelque chose, ils avaient du mal à changer le monde. De plus, ils ne pouvaient travailler que dans le cadre de leur vie de 10 000 jours. La vie était donc souvent décrite comme tragique.

Étant donné que la durée de vie est si courte, j’ai voulu voir plus loin et mieux comprendre le monde. Les vrais scientifiques ont toujours des raisons rationnelles de nier ou d’affirmer une chose ou l’autre. Bien que je ne puisse pas prouver ce que j’ai appris dans la Première Leçon du Zhuan Falun à l’aide de la science empirique, je peux prouver ce qu’elle m’enseigne à travers ma propre cultivation, mes propres expériences et mes propres compréhensions. C’est donc aussi une forme de preuve.

Par exemple, j’ai une compréhension assez profonde de l’œil céleste tel qu’il est expliqué dans la Deuxième Leçon du Zhuan Falun.

Ma compréhension de l’œil céleste

La question de l’œil céleste est un sujet courant dans la communauté des pratiquants, mais beaucoup moins dans la vie de tous les jours. C’est particulièrement le cas dans un pays communiste comme la Chine, où de telles choses sont généralement qualifiées de superstition. Cependant, j’en ai fait l’expérience.

Cela m’est arrivé lorsque j’étais à l’école secondaire. Tard dans la nuit ou lorsque j’étudiais très sérieusement, je sentais une force extérieure qui appuyait entre mes sourcils, comme si quelque chose d’assez puissant tournait vers l’intérieur. Je ne savais pas ce qui se passait et je craignais d’être malade ou que quelque chose se développe dans mon cerveau.

J’en ai parlé à mon père et lui ai demandé de m’emmener voir un médecin. Nous avons consulté plusieurs neurochirurgiens, qui m’ont tous dit que cela pouvait être dû aux changements que mon corps subissait pendant la puberté. Il se peut aussi que j’aie eu du mal à m’adapter psychologiquement à ces « changements » et que j’aie développé un état d’esprit de doute, une sorte de charge mentale ou d’hypocondrie.

Je me suis dit : « Si je continue à leur expliquer ce que je ressens et à leur dire qu’il ne s’agit pas d’une charge mentale, mais de quelque chose que je peux vraiment ressentir, une sensation très forte entre les sourcils, ils pourraient dire que j’ai un problème mental. »

Je ne voulais pas qu’on me colle cette étiquette, alors je me suis dit qu’il valait mieux que je me taise et que je n’en parle plus. Mais tard dans la nuit, alors que j’étais totalement concentré sur mes études, je pouvais encore ressentir fortement cette force extérieure, et cette sensation m’a dérangé pendant plus de dix ans. Ce n’est que lorsque j’ai lu la Deuxième Leçon du Zhuan Falun que j’ai compris. Maître Li a écrit :

« Tous ceux ici présents qui mettent réellement de côté leurs préoccupations pour apprendre le Falun Dafa éprouvent cette sensation, une force très puissante qui pousse vers l’intérieur. » (Deuxième Leçon, Zhuan Falun)

J’ai eu exactement le même ressenti qui m’a dérangé pendant de nombreuses années. Aujourd’hui, je comprends parfaitement de quoi il s’agit.

Pour les gens ordinaires, le concept de l’œil céleste peut sembler mystérieux, et dans les pays communistes, il peut être qualifié de superstitieux. Dans le passé, les gens avaient toutes sortes d’idées sur l’œil céleste. Après avoir lu la Deuxième Leçon du Zhuan Falun, je suis parvenu à ma propre compréhension de la question.

Je crois que l’œil céleste est en fait une capacité innée que les gens possèdent. Il permet de voir la lumière au-delà des longueurs d’onde comprises entre 400 nm et 700 nm. En d’autres termes, vous pouvez voir la lumière en dehors du spectre normal de la lumière visible. Une fois que les photons sont absorbés par nos yeux, ils atteignent la macula à l’arrière de l’œil et génèrent un signal. Ce signal bioélectrique atteint le nerf optique et forme une image dans le cerveau.

Qu’en est-il de la lumière située en dehors de la gamme des 400 nm et 700 nm ? Selon la médecine traditionnelle chinoise, ou dans la communauté de cultivation chinoise, les gens sont capables de détecter ces photons également, et même des particules plus petites.

Lorsque je lisais le Zhuan Falun, je n’ai jamais eu l’occasion de partager mon expérience avec l’auteur du livre (Maître Li), et pourtant ce qu’il a décrit était exactement la même chose que ce que j’ai vécu et il a expliqué pourquoi.

Depuis que j’ai commencé à pratiquer le Falun Gong, j’ai souvent fait l’expérience décrite dans le Zhuan Falun : des fleurs s’épanouissent à l’endroit situé légèrement au-dessus du milieu des sourcils ; quelque chose de noir et de rouge s’épanouit comme des fleurs et devient de plus en plus intense. Il n’y a pas que des fleurs qui éclosent, je vois aussi des images plus colorées. Je pense qu’il s’agit de choses situées entre 400 et 700 nm qui sont affichées dans mon cerveau. Elles représentent ce que l’on ne voit pas dans cet espace-temps, mais qui existe.

Souffrir d’une perte est en fait une bénédiction

Wang Weiyu lisant le Zhuan Falun, l’enseignement principal du Falun Gong

J’ai été encore plus intéressé par le Zhuan Falun lorsque j’ai lu la Troisième Leçon du livre, parce qu’elle parle de l’amélioration de la nature de l’esprit. Elle explique comment considérer une perte dans la vie et explique un enseignement traditionnel datant des temps anciens : souffrir d’une perte est une bénédiction.

Tous les autres livres que j’avais lus jusque-là m’expliquaient comment développer mes compétences, qu’il s’agisse de compétences scientifiques ou de compétences permettant d’avoir une vie meilleure. Par exemple, ils expliquaient comment se faire aimer des autres, comment améliorer son statut social, comment être mieux loti, ou comment rendre sa vie de famille plus confortable et plus prospère, etc. Ils expliquaient tous comment se démarquer dans la société.

Le Zhuan Falun est totalement différent. Il vous explique pourquoi vous devriez être capable de subir des pertes sans vous plaindre dans toutes vos relations sociales. Il faut avoir l’esprit ouvert et faire preuve d’une résistance extraordinaire. De plus, il faut se sentir heureux lorsqu’on profite de soi. Il explique pourquoi subir une perte est en fait une bonne chose pour vous en tant que personne et pourquoi la souffrance est une bénédiction. C’est le principe qu’il m’a enseigné.

J’ai été profondément inspiré. Du point de vue des gens ordinaires, si vous êtes ouvert d’esprit et tolérant, les gens pensent que vous êtes sage et vous respectent. C’est parce que, au plus profond de leur cœur, les gens savent ce qui est bon et ce qui est mauvais. Ainsi, en lisant le livre, j’ai eu l’impression que ce qu’il disait était tellement vrai. Si tout le monde était comme ça, la société deviendrait belle et les gens ne souffriraient plus.

En apparence, il s’agit de ton attitude envers les autres, mais en fait, il s’agit de savoir si tu te traites avec bienveillance, et il montre aux gens comment vivre une vie avec sagesse. Le Zhuan Falun enseigne aux gens comment devenir plus sages au lieu d’être intelligents. Être intelligent signifie être habile dans la gestion des choses afin de ne pas facilement subir des pertes, alors que la sagesse englobe la vertu et exige que les gens aient un niveau élevé de xinxing.

L’athéisme est un mensonge du PCC qui a fait beaucoup de mal aux gens. Nous attendons avec impatience le jour où la foi des pratiquants du Falun Gong en Authenticité-Bienveillance-Tolérance et leur persévérance à défendre la bonté seront respectées et appréciées par un plus grand nombre de personnes.

(À suivre)

Traduit de l’anglais