(Minghui.org) (Suite de la 1re partie) L’approche rapide de la rectification de Fa nous rappelle le temps précieux dont nous disposons encore pour achever certaines tâches et aider le Maître à sauver davantage de vies. Il est également temps d’élever notre niveau de qualité d’éveil et de compassion.

Une fois, pendant la méditation, j’ai fait l’expérience de la vraie compassion, alors que je pensais à la souffrance que ma famille endurait à cause de son manque de compréhension du Falun Gong. J’étais souvent absente de la maison pour travailler sur d’importants projets de clarification de la vérité et j’étais moins intéressée par les affaires du monde quotidien. J’avais beau essayer de leur expliquer ce que je faisais, ils ne voulaient rien entendre. J’ai vraiment ressenti leur souffrance. Pendant la méditation, mon cœur a commencé à chauffer ; il est devenu si chaud, comme si je me fondais dans l’univers.

C’était une expérience incroyable. Le Maître a dit :

« En réalité la compassion est une énergie immense, l’énergie des divinités droites. » (« Enseignement du Fa à la Conférence internationale de Loi de Washington DC 2009 », Enseignement du Fa dans les conférences IX)

On m’a montré ce que je devais accomplir dans ma cultivation. Le lendemain, j’ai constaté qu’une partie de l’énergie négative avait également été retirée des membres de ma famille.

Peindre fait partie de ma cultivation. J’ai écouté une pratiquante chanter lors de la Journée mondiale du Falun Dafa. J’ai été profondément émue par sa sincérité et sa beauté, mais il y avait quelque chose de triste dans ses yeux. J’ai pensé que cela venait de sa profonde inquiétude pour les personnes incapables de reconnaître l’importance des choix qu’elles font. Le message qu’elle transmettait aux gens était le suivant : « Soyez sauvés, s’il vous plaît, ne ratez pas cette chance une nouvelle fois. » J’ai voulu capturer ce moment dans mon prochain tableau. Je l’ai imaginée descendant dans le monde des humains, majestueuse et bienveillante, accomplissant ses vœux. J’ai appelé ce tableau « Soyez sauvés ».

Soyez sauvés (Paroles de chanson) :
Nous sommes tombés dans ce labyrinthe,
Impuissants, perdus, incapables de trouver le chemin,
Cherchant pendant des milliers d'années,
Un jour, le Maître réapparaît.
Soyez sauvés, soyez sauvés,
S'il vous plaît, ne manquez pas cette chance à nouveau.














« Soyez sauvés »
Huile sur toile ; 115 cm sur 87 cm

En 2018, j’ai participé à une exposition d’art dans le quartier central des affaires de Melbourne. Le thème était le 100e anniversaire de l’indépendance retrouvée de la Pologne. J’ai peint deux portraits au pastel, un garçon et une fille en costumes nationaux polonais de ma région. Pendant l’exposition, une dame a commencé à me parler. Elle m’a dit que son mari avait vu une belle aura autour de mes peintures, qu’il n’avait jamais vue auparavant. Il lui a également dit qu’il avait vu que les enfants dans mes peintures étaient vrais et réels. J’ai répondu qu’elle avait beaucoup de chance et qu’elle avait un très bon mari, car peu de gens ont la possibilité de voir des choses aussi merveilleuses. Je lui ai donné une brochure sur le Falun Gong et lui ai expliqué que toute mon énergie et ma sagesse provenaient du Falun Gong, également connu sous le nom de Falun Dafa.

Plus tard, j’ai peint d’autres enfants de différents pays dans leurs costumes nationaux. Je voulais montrer la bonté, la pureté et la beauté des enfants, quelle que soit leur origine. Lorsque j’ai peint un garçon aborigène, j’ai essayé de le rendre heureux, mais je n’y suis pas parvenue. Le lendemain, j’ai compris que nous n’avions pas sauvé assez de natifs en Australie.

J’ai parfois en tête une image trop horrible pour être peinte, mais je la décrirai quand même. J’ai vu une pile de corps dans l’obscurité, les mains tendues. J’ai compris qu’ils étaient tous morts en appelant à l’aide. Des gens attendent partout que nous les sauvions, ils sont sous notre responsabilité. C’est à nous de les retrouver.

Je travaille sur différents projets, mais la peinture est ma passion. À travers mes peintures, je veux dénoncer la persécution des pratiquants de Falun Gong et montrer la grandeur, l’espoir et la joie qui découlent d’une croyance juste.

La Journée mondiale du Falun Dafa approchait et j’ai commencé à peindre les enfants que j’avais toujours voulu représenter. Deux petites filles bénies tenant des fleurs de lotus avec un message : Le Falun Dafa est bon. Leurs mains sont en position heshi et une lumière divine brille sur elles. Quelque chose d’édifiant pour un jour aussi important. J’ai peint cette image pour exprimer le bonheur, la joie et la gratitude que les enfants du Falun Dafa ont aussi pour notre bien-aimé et vénérable Maître Li Hongzhi.

Pour pouvoir le réaliser, j’ai dû encore élever mon xinxing et endurer quelques épreuves et tribulations. On dit que les artistes doivent souffrir pour leur art. C’est vraiment le cas. À l’extérieur, on a l’impression de s’amuser, mais à l’intérieur, on est parfois tourmenté. Parfois, la partie de votre travail que vous aimez le plus aujourd’hui, demain vous ne le trouvez pas bon du tout. Vous devez constamment chercher la meilleure solution et capturer l’instant dans la forme et la couleur. La souffrance peut être dure, mais l’épanouissement et la paix intérieure que je ressens après avoir terminé une peinture sont ma récompense.

Pour participer au concours d’art NTD 2019 à New York, j’ai dû regarder à l’intérieur et déterrer tous les derniers morceaux de tristesse que j’avais encore à l’intérieur.

Je les ai abandonnés, mon cœur s’est réchauffé et, le lendemain, j’ai reçu un message m’informant que mon tableau « Gratitude » avec deux petites filles avait été accepté pour le cinquième concours international de peinture figurative à l’huile.

Je voulais encore améliorer ma peinture. Chaque jour, j’ai monté le tableau dans ma chambre et je l’ai examiné sous différents éclairages. Parfois, les fillettes étaient moins heureuses, alors je leur parlais. Elles ont illuminé ma journée. Je leur ai souri en retour. J’ai continué à améliorer le tableau et à me défaire de mes émotions. Lorsque j’ai reçu des compliments, j’ai dû me rappeler ce que le Maître a dit :

« Étant pratiquant, toutes les amertumes rencontrées au milieu des gens ordinaires sont des passes à franchir ; tous les éloges rencontrés sont des épreuves. » (« Les pratiquants sont naturellement dedans » Points essentiels pour avancer avec diligence)

« Gratitude »
Huile sur toile ; 116 cm sur 84 cm

Mon voyage à New York avec le tableau a été extraordinaire. J’ai eu d’innombrables occasions de parler aux personnes prédestinées sur mon chemin.

Pour célébrer le 30e anniversaire de la présentation publique des enseignements du Falun Gong par Maître Li Hongzhi, j’ai peint l’image d’une jeune fille étudiant le livre principal du Falun Gong, appelé Zhuan Falun, écrit par Maître Li Hongzhi.

« Étudier le Fa divin de l’univers »
Huile sur toile ; 70 cm sur 85 cm

J’ai intitulé le tableau : « Étudier le Fa divin de l’univers ». C’est le Fa du Créateur qui apporte l’espoir à l’humanité à la fin du temps final de notre civilisation.

En étudiant le Zhuan Falun, certains lecteurs voient que le livre est doré, et d’autres y voient des mots, des couleurs et des images provenant d’autres dimensions.

J’espère qu’un plus grand nombre de personnes pourront connaître le Fa ultime divin et le chérir, car c’est un cadeau inconcevable pour les gens en ce temps final de notre civilisation. C’est une échelle vers le Ciel.

Après avoir commencé à cultiver et pratiquer, j’ai voulu remercier le Maître de m’avoir sauvé la vie à de nombreuses reprises.

Un jour, j’ai eu une vision. J’ai vu le Maître dans sa robe dorée, très beau et extrêmement vivant. La compassion qui se lisait sur son visage était immense et envoûtante. Alors que je joignais les mains et me dirigeais vers lui pour lui exprimer ma gratitude, il a disparu et est réapparu à un autre endroit. J’ai changé de direction et, alors que je me rapprochais, il a de nouveau disparu. Cela s’est produit trois fois. J’ai compris que je devais voir le Maître personnellement. Lorsque je suis descendue du bus aux États-Unis, le Maître se tenait là, souriant. J’ai joint les mains et j’ai dit : « Merci, Maître. Merci. »

C’est la peinture la plus précieuse qui reste dans mon esprit et dans mon cœur, car aucun matériau dans ce monde n’est assez bon pour l’exprimer, et je ne suis pas capable de montrer l’immense compassion divine que le Maître a pour les êtres.

La signification de ce Fa est vraiment profonde. C’est ainsi que je le comprends maintenant, là où j’en suis dans ma cultivation.

Merci, Maître. Merci à vous, compagnons de cultivation.

(Fin)

Traduit de l’anglais