(Minghui.org) J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa avec mes parents lorsque j’étais à l’école primaire. Plus de vingt ans se sont écoulés. Je suis maintenant analyste dans une société financière internationale.
Grâce au Falun Dafa, malgré mon enfance difficile, je n’ai pas suivi la dérive de la société. Grâce au Falun Dafa, je respecte mes parents et je m’occupe d’eux. Je pense d’abord aux autres et je travaille dur dans mon entreprise. À l’occasion du 24e anniversaire de la Journée mondiale du Falun Dafa, j’aimerais partager certaines de mes expériences personnelles pour dire aux gens à quel point le Falun Dafa est merveilleux et extraordinaire.
Ne pas céder ni abandonner
Mes parents étaient enseignants dans une université. Ma mère souffrait de nombreuses maladies lorsque j’étais enfant. Elle allait constamment chez le médecin et prenait de nombreux médicaments, mais rien n’y faisait. À cause de ses maladies, elle était souvent de mauvaise humeur et se disputait avec mon père. Un jour, alors qu’ils prenaient leur petit-déjeuner, mes parents se sont disputés violemment. J’ai pris mon sac à dos et je suis partie. Je n’avais pas de bons résultats à l’école. Mes notes étaient inférieures à la moyenne.
Une collègue de ma mère lui a suggéré d’essayer le Falun Dafa. Peu après avoir commencé à pratiquer, sa santé s’est rapidement améliorée. Le principe profond du Falun Dafa a élargi son esprit. Elle a vécu sa vie selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Elle est devenue une bonne épouse et une mère aimable et ne perdait plus son sang-froid. C’était en 1997 et j’étais en quatrième année.
Mon père et moi avons été témoins des changements étonnants chez ma mère. En clair, les changements chez elle ont été si spectaculaires que j’ai su que j’étais témoin d’un miracle. Mon père et moi avons commencé à pratiquer en 1998. J’ai trouvé que c’était une période merveilleuse, même si elle a été très courte.
Le PCC (Parti communiste chinois) a lancé la persécution du Falun Dafa et des pratiquants sans aucune raison en juillet 1999. Les mensonges et la diffamation contre le Falun Dafa étaient omniprésents. Mes parents et moi-même ne pouvions pas comprendre. Pourquoi le PCC s’en prenait-il à une si bonne méthode ? Mes parents recevaient sans cesse des appels téléphoniques des dirigeants de leur université, qui exigeaient qu’ils remettent leurs livres de Falun Dafa et qu’ils renoncent à la cultivation. Même le directeur du bureau du doyen est venu me voir et m’a demandé si je pratiquais toujours le Falun Dafa. Je lui ai répondu fermement que le Falun Dafa n’avait rien à voir avec ce qui était dit à la télévision.
Ma mère a été arrêtée alors qu’elle distribuait des informations sur le Falun Dafa, et elle a été détenue pendant les vacances scolaires de l’été 2000. Je n’étais pas très contrariée. J’avais l’impression d’être soutenue par une force puissante. En l’absence de ma mère, j’ai pris des cours de rattrapage supplémentaires et j’ai fait mes devoirs toute seule. Une pratiquante s’est déplacée spécialement pour venir me voir. Plus tard, j’ai appris qu’elle avait dit aux autres pratiquants de ne pas s’inquiéter pour moi parce que j’étais forte.
Avec le recul, je me suis rendu compte que ma force et mon pouvoir m’avaient été conférés par le Falun Dafa et qu’ils m’avaient aidée à résister à la dérive.
Mes parents n’ont pas abandonné leur croyance. Les policiers locaux n’ont cessé de nous harceler. Ma mère a dû quitter la maison pour les éviter. Je n’ai pas vu ma mère pendant longtemps lorsque j’étais à l’école secondaire. J’ai dû quitter ma ville pour éviter le harcèlement par la police. J’ai été envoyée dans un internat dans un faubourg où les conditions n’étaient pas bonnes.
Les dortoirs, les salles de classe et la cantine étaient simples. Dix élèves étaient entassées dans une pièce sans air conditionné ni même ventilateur. La pièce était comme une étuve en été. Les étudiantes n’avaient pas le droit de quitter l’école. Nous ne pouvions rentrer chez nous que deux jours par mois. La plupart d’entre nous étaient enfants uniques. Nous étions gâtées et ne pouvions supporter les difficultés.
Les élèves de dernier cycle se plaignaient souvent de la simplicité des installations scolaires et de la lourdeur de la charge de travail. Mais moi, je ne me plaignais pas. Une directrice d’école a fait remarquer que j’étais capable de supporter les difficultés et qu’elle ne s’attendait pas à ce qu’une fille élevée en ville puisse les supporter comme cela.
Le principe du Falun Dafa m’a aidée à comprendre qu’un environnement difficile pouvait tempérer ma volonté et élever mon xinxing. Je considérais les difficultés comme une joie. Je n’ai pas vu ma mère pendant une longue période, mais cela ne m’a pas affectée. J’ai continué à étudier avec diligence. Ma mère me manquait, mais je savais comment gérer les difficultés.
Après avoir obtenu mon diplôme de fin d’études secondaires, je suis entrée dans une université réputée, classée troisième au niveau national. Je n’ai pas eu à passer d’examens et j’ai été admise au programme de troisième cycle. Mes parents ont été persécutés à plusieurs reprises pendant que j’étais au secondaire, à l’université et après avoir gradué. Ils ont été de nouveau arrêtés et envoyés dans un centre de lavage de cerveau un an avant que je n’obtienne mon master. Ma mère a failli mourir à cause de la persécution.
L’année précédant l’obtention de leur master est la période la plus chargée pour les étudiants. Ils doivent préparer leur thèse et chercher un emploi. En plus de préparer ma thèse, j’appelais constamment la police pour leur demander de libérer mes parents. Un policier m’a dit que mes parents devaient être transformés avant d’être libérés. Je les ai questionnés et leur ai demandé s’ils avaient l’intention de transformer mes parents en mauvaises personnes. Ils m’ont injuriée bruyamment au téléphone.
Mes proches sont allés chercher ma mère quelques mois plus tard. Elle était à l’article de la mort. J’ai beaucoup pleuré, mais j’étais fière de ma mère. Elle était devenue si forte après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa. Elle n’a pas renoncé à sa croyance, même si elle a été gravement persécutée.
Après son retour à la maison, elle a recommencé à faire les exercices et s’est rapidement rétablie. J’ai également terminé ma thèse à la même période. J’ai obtenu les meilleures notes pour ma thèse et j’ai été embauchée par une grande société financière internationale.
Un jour, j’ai parlé à ma directrice du Falun Dafa et de la persécution, ainsi que de la persécution subie par ma famille. Elle a été surprise et m’a dit : « Je vous admire. Vous avez traversé tant d’épreuves et pourtant vous êtes toujours aussi stable. À votre place, j’aurais peut-être abandonné l’école .»
Il serait difficile pour une personne ordinaire de continuer à progresser tout en endurant des épreuves. En tant que pratiquante de Falun Dafa, je fais tout selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. C’est une force puissante que je peux difficilement décrire avec des mots. Elle m’aide à surmonter toutes les difficultés que je rencontre dans la vie.
Penser d’abord aux autres au travail
Mon travail consiste à évaluer les qualifications des entreprises qui se présentent sur le marché des capitaux pour obtenir un financement. Les entreprises sont nos clients. Les entreprises engagent des banques d’investissement en tant que consultants financiers pour communiquer avec nous. Dans le cadre de mon travail, je suis en contact avec des entreprises et des banquiers d’investissement.
Le travail d’analyste financier est difficile. De nombreux employés se sentent sous pression et expriment leur frustration. Parfois, ils sont réprimandés par leurs supérieurs ou par des personnes d’autres services. Ils se déchargent de leurs responsabilités pour se protéger. Mon supérieur m’a dit un jour que je devais apprendre à transférer des responsabilités. J’ai souri. En tant que pratiquante de Falun Dafa, je me comporte selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et je ne ferais pas cela.
J’ai rencontré de nombreux banquiers d’investissement au travail. Je pouvais sentir qu’ils étaient soumis à une pression énorme. J’étais également soumise à une forte pression au travail. Mais je suis guidée par le principe du Falun Dafa et je pense toujours d’abord aux autres. Lorsque le banquier ne me fournit pas les documents nécessaires ou qu’il transfère la pression sur moi, je ne le blâme pas.
Il m’est arrivé de rencontrer une entreprise et les banquiers d’affaires pour discuter de la situation financière de l’entreprise pour les prochaines années. Les documents préparés par les banquiers présentaient de nombreux problèmes. J’ai dû les signaler afin de mieux comprendre le modèle d’entreprise et la stratégie de développement futur.
Leurs réponses à mes questions n’étaient pas satisfaisantes. Bien que cela ait rendu mon évaluation difficile, je ne leur en ai pas voulu. Je n’ai jamais fait pression sur eux. Lorsqu’ils ne pouvaient pas répondre à mes questions, je leur disais toujours patiemment : « Ce n’est pas un problème. Puis-je vous demander de me les fournir plus tard ? »
Une fois, alors que j’étais sur le point de terminer un projet, une entreprise a voulu modifier la formulation des documents d’évaluation. Il ne fallait pas la modifier comme elle le demandait. La banquière subissait d’énormes pressions de la part de l’entreprise. Elle s’est trouvée face à un dilemme et m’a demandé si le texte pouvait être modifié. Je comprenais ce qu’elle ressentait. J’ai compris qu’elle essayait d’éviter d’être blâmée. Je lui ai dit : « Je communiquerai directement avec l’entreprise. S’il vous plaît, ne vous mettez pas trop de pression. » J’ai appelé le patron de l’entreprise et je lui ai expliqué pourquoi nous avions mis cette formulation dans le document. Je lui ai dit directement ce que nous pensions. Il a changé d’avis et a reconnu que nos suggestions étaient raisonnables.
Après avoir mené à bien le projet, une banquière m’a dit : « Plusieurs banquiers d’affaires estiment que vous êtes très bonne et pas agressive. Vous souriez toujours. Pratiquez-vous le bouddhisme ? » J’ai répondu : « En effet, j’ai une croyance spirituelle. Je pratique le Falun Dafa. » Puis j’ai clarifié la vérité. J’ai dit : « La raison pour laquelle vous pensez que je suis bonne est que le principe du Falun Dafa m’enseigne à penser d’abord aux autres. » Elle m’a remerciée de lui avoir parlé de la persécution du Falun Dafa.
J’ai respecté le principe du Falun Dafa au travail. Je travaillais dur et je faisais de mon mieux. Il m’arrivait souvent d’être la seule personne au bureau le soir. Certains collègues m’ont dit en plaisantant : « Chaque année, notre entreprise n’accorde qu’une petite augmentation de salaire à ses employés. Pourquoi travaillez-vous si dur ? » Mais pour moi, être une bonne personne commence par faire un bon travail. Je suis sincère lorsque je dis que je prends le travail au sérieux. Cela n’a rien à voir avec une quelconque augmentation de salaire.
Un jour, j’ai dîné avec une collègue. Elle m’a demandé pourquoi j’étais capable de travailler si dur chaque jour. Je lui ai dit que je pratiquais le Falun Dafa et je lui ai expliqué la vérité. Elle m’a demandé avec joie si elle pouvait pratiquer le Falun Dafa avec moi. Je me suis sentie très heureuse pour elle.
Le virus de la COVID a de nouveau balayé la Chine fin 2022. De nombreuses personnes ont été testées positives. J’ai appelé mon ancienne responsable et lui ai demandé si sa famille était saine et sauve. Elle m’a répondu que toute sa famille avait été testée positive. Je lui ai dit : « Vous irez bien si vous récitez “Falun Dafa est bon et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon” plusieurs fois dans votre cœur. » Elle a été touchée et a dit : « Oui, je le crois. Je crois tout ce que vous dites. J’ai travaillé avec vous. Je vous connais. »
Remarques finales
J’ai beaucoup de chance d’avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa à un jeune âge. Grâce au Falun Dafa, je suis capable de discerner le bien et le mal dans cette société compliquée. Mes parents et moi avons vécu d’innombrables expériences extraordinaires. Aucun mot ne peut décrire à quel point le Falun Dafa est merveilleux et extraordinaire !
Bien que le PCC persécute toujours le Falun Dafa, de plus en plus de personnes autour de moi ont appris la vérité. J’espère que cet article aidera davantage de personnes à sortir du mensonge et à choisir la bonté.
(Article sélectionné pour célébrer la 24e Journée mondiale du Falun Dafa sur le site web Minghui.)
Traduit de l’anglais
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