(Minghui.org) Je suis un disciple de Falun Dafa de longue date qui a commencé à pratiquer en 1996. Sous la protection du Maître, j’ai cultivé pendant vingt-sept ans. Mes proches et moi avons vécu beaucoup de choses étonnantes. Voici ce qui s’est passé pendant la récolte d’automne.
En octobre 2018, c’était l’automne et toutes les céréales étaient mûres. Cela signifiait un bon revenu mais, bien sûr, un travail interminable. À l’époque, ceux d’entre nous qui vivaient dans les zones rurales embauchaient des personnes qui travaillaient pour 200 yuans par jour, déjeuner compris, mais nous ne trouvions toujours personne pour nous aider.
Les six sœurs de notre famille pratiquent toutes le Falun Dafa. Nous sommes venus de différentes villes pour aider notre frère à faire les récoltes. Notre sœur aînée avait 82 ans et les autres étaient tous des septuagénaires. L’aînée et une autre sœur, ainsi que la femme de mon frère, sont restées à la maison pour nous faire la cuisine et effectuer quelques travaux agricoles légers, tandis que tous les autres membres de la famille sont allés dans les champs pour ramasser le maïs et les cacahuètes qui y étaient restés après que la machine les ait récoltés. Nous pouvions obtenir des milliers de kilos par jour. Si personne ne ramassait ce qui reste, il y aurait un énorme gaspillage.
En plus d’aider nos familles pour les récoltes d’automne, nous voulions aussi profiter de l’occasion pour parler davantage de Dafa aux gens. Avant notre voyage, 80 à 90 % des villageois avaient déjà démissionné du Parti communiste chinois. Cette fois-ci, ma sœur a apporté de nouveaux documents clarifiant la vérité et après avoir terminé, nous avons pris la voiture de ma nièce pour distribuer des milliers de documents clarifiant la vérité dans plusieurs villages environnants.
En 2019, nous sommes à nouveau retournés aider notre frère pour la récolte d’automne. Alors que nous étions prêts à démarrer en force, les prévisions météorologiques annonçaient une très forte tempête de pluie cette nuit-là. Ma nièce est revenue précipitamment et a dit à la famille d’utiliser la machine pour récolter immédiatement toutes les arachides.
Ce soir-là, il y a eu une forte pluie d’automne d’une rare intensité. Le champ, les fossés et la route ont été inondés. Les villageois étaient très inquiets. En voyant la récolte de l’année tremper dans l’eau, ils étaient à l’agonie. Au bout de deux jours, le sol était encore saturé et ne sécherait pas avant des semaines.
À l’époque, la famille de mon frère possédait au total plus de 10 acres de cacahuètes et 60 acres de maïs, ce qui n’était pas un petit projet. Ne pouvant utiliser la machine, la récolte manuelle était tout simplement impossible. Même avec une offre à 300 yuans par jour, personne n’était prêt à accepter le travail.
Soudain, je me suis souvenu du Fa du Maître :
« Disciples de Dafa, si vous cultivez vers un niveau très élevé et que vous allez gouverner un corps céleste de niveau très élevé, une seule de vos pensées sera effectivement toute puissante à l’intérieur de votre propre corps céleste, c’est certain. Donc les disciples de Dafa doivent bien se cultiver et devenir droit à travers la cultivation. » (« Enseignement du Fa à la conférence de Loi de la région ouest des Etats-Unis en 2004 », Enseignement du Fa dans les conférences V)
Nous n’étions pas intimidés. Malgré notre âge et le fait que nous n’avions pas fait de travaux des champs aussi lourds depuis des décennies, nous avions plus de vingt-quatre ans d’expériences de cultivation et la force de Dafa. Nous avons décidé de faire la récolte nous-mêmes. Mon frère et sa famille ont été touchés. Si nous ne le faisions pas nous-mêmes, ils ne nous demanderaient pas de le faire.
Nous avons d’abord récolté les arachides. Ma nièce et d’autres ont mis les plants de cacahuètes dans un sac tissé, et ma plus jeune sœur et moi les avons tirés pour les ramener. Lorsque le sac était trop chargé d’eau, nous le trouions. Plus tard, nous avons découvert qu’il était plus efficace d’utiliser une bassine de bain en plastique. Ma nièce l’a mis en ligne et beaucoup de gens l’ont aimé et nous ont imités, commentant en plaisantant : « C’était un spectacle de la récolte d’automne. » Il nous a fallu dix jours pour finir de récolter les cacahuètes.
Ensuite, nous avons commencé à récolter le maïs. Ma sœur cadette, ma nièce et moi avons récolté le maïs, et mon frère et mon beau-neveu l’ont chargé dans le camion. Nous avons inspiré d’autres agriculteurs à récolter leurs cultures. Mais après deux jours de travail, ils étaient tous épuisés. C’était épuisant de travailler dans la boue et l’eau, et ils trébuchaient parfois. Le chef du village, dont les parents avaient dix ans de moins que nous, ne pouvait pas supporter ce dur labeur. Ils étaient très impressionnés et se demandaient comment les « vieilles dames des villes ayant une expérience minimale du travail agricole » pouvaient assumer une charge de travail aussi lourde, que même les jeunes hommes n’arrivaient pas à faire.
Quelqu’un s’est approché de nous et nous a demandé : « Vous n’êtes pas fatigués après avoir travaillé comme cela ? »
« Oui, en effet, mais nous pouvons y faire face. Nous pratiquons le Falun Dafa. Cela cultive à la fois l’esprit et le corps. Non seulement cela nous maintient en bonne santé, mais cela prolonge aussi notre vie. »
« Il n’est pas étonnant que vous soyez si extraordinaires. Dans tout le village, seule votre famille a récolté tous vos champs. Il s’avère que vous avez été bénis par Dafa. Je vous envie tous. »
« Si vous pratiquez le Falun Dafa, vous serez également béni. »
Je voudrais partager qu’au milieu de ce travail intense, nous savions que le plus important était de nous cultiver. Nous nous sommes donc assurés d’étudier le Fa, de faire les exercices, d’émettre la pensée droite et de clarifier la vérité aux gens.
Tout le monde a travaillé dur, y compris notre sœur de 83 ans. Parfois, nous chantions des chansons de Dafa pour nous motiver, ce qui nous aidait à oublier le temps et éliminait notre fatigue. Les autres trouvaient incroyable de voir l’expression joyeuse de notre visage.
Nous avons pris la souffrance comme un plaisir. Ce faisant, nous avons aidé nos êtres chers, renforcé notre volonté et validé Dafa.
Il nous a fallu soixante jours pour récolter tout le maïs. Le jour où nous avons terminé, nous avons appris qu’il y aurait une tempête de neige le lendemain. Nous avons quitté la maison de notre frère sans tarder. Lorsque nous sommes arrivés à la maison, le sol était couvert après une nuit de neige abondante. Le lendemain, tous les transports en commun ont cessé de fonctionner. C’était vraiment très rare. J’ai eu de la peine pour les agriculteurs qui n’ont pas pu faire leurs récoltes cette année.
Mon frère m’a raconté plus tard qu’il leur avait fallu une journée pour vendre toutes leurs arachides, leur maïs et leurs cochons. Ils ont gagné près de 100 000 yuans. Le maïs seul a été vendu pour près de 60 000 yuans. Tout le processus ressemblait à une course contre la montre, et chaque seconde comptait. Avec le Maître et Dafa, tout s’est déroulé sans problème.
Mon frère nous a dit : « Tout le monde dans le village a dit que nous étions les chanceux. »
Je me suis souvenu de ce que le Maître a dit dans le Fa :
« Pour l’instant, vous ne savez pas combien ce Fa est précieux, quand vous saurez combien il est précieux, vous vous sentirez très chanceux. » (« Premier enseignement du Fa donné aux États-Unis », Enseignement du Fa dans les conférences I)
J’ai été profondément touché et des larmes ont coulé sur mon visage. Quelle chance nous avons de pouvoir pratiquer Dafa et d’être les disciples du Maître !
Merci Dafa ! Merci Maître !
Traduit de l’anglais
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