(Minghui.org) Lorsque j’étais en CE2, j’ai commencé à m’intéresser au Zhuan Falun un matin le week-end. J’avais vu ma mère lire ce livre, qui comprend les principaux enseignements du Falun Dafa, à de nombreuses reprises auparavant, mais je ne l’avais jamais ouvert. Cependant, ce jour-là, je suis devenu curieux de savoir ce qu’il contenait et j’ai commencé à le lire. Je me suis senti très enthousiaste au fur et à mesure que je le parcourais. Il couvrait tant de sujets, de la culture préhistorique et de l’origine des êtres humains aux changements dans les systèmes de croyances au fil du temps, en passant par les autres dimensions, la vertu et le karma.

Bien que n’étant alors qu’un élève de CE2, j’avais déjà été sérieusement influencé par l’éducation athée que j’avais reçue à l’école. Néanmoins, il y avait beaucoup de choses que les manuels ne pouvaient pas expliquer. Je lisais souvent des livres tels que Mystères du monde non résolus. Les manuels ne pouvaient pas expliquer ces mystères et les rejetaient même comme des « canulars ». Mais toutes les questions que je me posais sur ces mystères trouvaient une réponse dans le Zhuan Falun.

Plus tard dans la journée, j’ai dit à ma mère : « Maman, comment se fait-il que tu ne m’aies pas recommandé un si bon livre plus tôt ? » Elle m’a répondu qu’elle pensait que j’étais trop jeune pour le lire. C’est ainsi que j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa.

Avant cela, j’étais un élève moyen. Mais dès le CM1 (cours moyen 1), j’étais l’un des meilleurs élèves de ma classe. Et j’ai continué à l’être, au collège, au lycée et à l’université. J’ai obtenu les meilleures notes sans suivre de cours de soutien comme beaucoup d’autres élèves. Je savais que mon excellence scolaire était une bénédiction de Dafa.

Plus de mots grossiers

Après être devenu un pratiquant de Falun Dafa, j’ai réalisé que beaucoup de choses que je disais et faisais dans ma vie quotidienne n’étaient pas conformes au principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. L’utilisation de mots grossiers en est un exemple.

En raison de la dégradation des critères moraux actuels, les enfants de mon âge utilisaient souvent des mots grossiers lorsqu’ils parlaient. La plupart des mots d’argot populaires que nous apprenions sur internet étaient également inappropriés. Voulant m’intégrer, j’ai suivi le mouvement et j’utilisais des mots grossiers de temps en temps. Puis j’ai vu ce que Maître Li, le fondateur du Falun Dafa, a dit :

« Si nous ouvrons la bouche et parlons, nous devons toujours parler conformément au xinxing d’un pratiquant de gong, sans semer la discorde ni répandre des propos négatifs. » (Huitième Leçon, Zhuan Falun)

J’ai décidé de changer mon comportement. Avant d’ouvrir la bouche pour parler, je vérifiais si j’avais l’intention d’utiliser des gros mots ou des mots inappropriés. Si c’était le cas, je me rappelais de les retenir.

C’était plus facile que je ne le pensais. Au bout d’une semaine, j’ai naturellement cessé d’utiliser des mots grossiers. Je savais que c’était là le pouvoir de Dafa. Il est rare que les jeunes n’utilisent pas de gros mots ou d’autres expressions populaires inappropriées sur internet, car ils y ont souvent recours pour exprimer leurs émotions.

Rester sincère

J’ai également essayé d’appliquer le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance dans tous les domaines de ma vie. La tricherie, par exemple, était courante parmi les étudiants. Avant de devenir pratiquant, comme d’autres étudiants, je considérais que tricher sans se faire prendre était une « qualité ». Cela a totalement changé après que j’ai lu le Zhuan Falun. J’ai compris qu’il fallait être sincère du fond du cœur, et non pas dans le but de se faire valoir ou d’éviter les conséquences. Au contraire, cela devait faire partie de notre identité.

Lorsque j’étais à l’université, nous avons eu un jour un examen à livre ouvert. Les surveillants de l’examen ne restaient pratiquement pas dans la salle de classe. De nombreux étudiants cherchaient ouvertement des informations sur leur téléphone ou partageaient les réponses entre eux. Je me suis efforcé de répondre aux questions sans utiliser de sources interdites. Lorsque l’école a appris la tricherie par téléphone portable, elle a mené une enquête et a sanctionné plus de la moitié des étudiants.

Une autre fois, il s’agissait d’une bourse d’études. J’ai remarqué que l’une des conditions requises était celle d’avoir des besoins financiers particuliers. Comme je ne répondais pas à ce critère, je n’ai pas posé ma candidature. Au bout d’un certain temps, le professeur principal chargé de recueillir les candidatures m’a dit : « Je n’ai pas vu ta candidature dans le système, l’as-tu oubliée ? »

« Non, je ne suis pas qualifié, car ma famille n’a pas un revenu assez faible », ai-je répondu.

Il a été surpris et m’a dit que le critère principal était en fait les résultats scolaires, et non les besoins financiers. « Tous les élèves de la classe ayant de bonnes notes ont posé leur candidature, sauf toi », a-t-il ajouté. « J’avais d’abord pensé à toi comme candidat potentiel à la bourse, mais l’école a dit que les candidats devaient déposer un dossier de candidature. Tu ne l’as pas fait. C’est dommage ! »

D’après ce qu’a dit le professeur principal, je savais que de nombreux candidats avaient dû faire de fausses déclarations sur leurs besoins financiers afin de pouvoir bénéficier de la bourse, mais en tant que pratiquant de Falun Dafa, je ne mentirais jamais pour un intérêt personnel.

Aider les autres

Mes notes ont toujours été bonnes après que j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en CE2. Les autres élèves me posaient souvent des questions sur la matière des cours et je leur répondais toujours avec patience. Un camarade de classe a fait le commentaire suivant : « Il [c’est-à-dire moi] est le meilleur. Les autres élèves qui ont de bonnes notes n’ont pas la patience d’aider les autres. Il est le seul à n’avoir jamais refusé et à avoir toujours aidé en partageant ses notes. » Parce qu’ils me faisaient confiance, d’autres élèves ont voté pour que je devienne délégué de classe au lycée.

Au fil du temps, de nombreux camarades de classe ont compris que je ne mentais pas. Une fois, Gang a dit quelque chose que Wei ne croyait pas, alors Wei a dit : « Je vais aller voir Bin [c’est-à-dire moi], puisqu’il est aussi au courant. » Après avoir parlé avec moi, Wei est retourné voir Gang et lui a dit : « Je crois ce que tu as dit maintenant. Bin a dit la même chose et il ne ment jamais. » Grâce à cette confiance, lorsque je leur ai expliqué les faits concernant le Falun Dafa et la façon dont le Parti communiste chinois (PCC) a diffamé la méthode par des mensonges, ils ont pu comprendre la nature vicieuse du PCC.

Être capable d’endurer

Je suis également devenu plus tolérant après avoir commencé à pratiquer Dafa. Pendant un certain temps, Chen et moi étions chargés de ramasser les devoirs des camarades de classe. Chen avait un mauvais caractère et se mettait souvent en colère et critiquait les autres. Il se plaignait souvent et me grondait lorsque nous travaillions ensemble. En tant que pratiquant de Dafa, je n’ai jamais répliqué. Je me disais : « Il a beaucoup de difficultés et je dois le soutenir. » Certains camarades de classe ont vu cela et ont dit que je devrais raisonner Chen pour l’empêcher de faire cela. J’ai simplement souri, car je me suis souvenu de ce que le Maître avait dit :

« Vous pratiquez le gong, vous ne rendez pas les coups quand on vous frappe, vous ne répondez pas quand on vous insulte. » (Neuvième Leçon, Zhuan Falun)

Après un certain temps, Chen a également changé et ne m’a plus critiqué.

Les enseignements du Falun Dafa m’ont également rendu plus ouvert d’esprit. Auparavant, lorsque je voyais des camarades de classe chuchoter en petits groupes, j’étais curieux de savoir ce qui se passait et je voulais me joindre à eux. Après être devenu pratiquant, j’ai pris conscience de deux attachements liés à cela. D’une part, je m’inquiétais de savoir si les autres disaient des choses négatives à mon sujet et, d’autre part, j’avais peur d’être exclu si quelque chose de positif se produisait. En tant que pratiquant, je me suis efforcé de me défaire de ces attachements et j’ai cessé d’être curieux de ces groupes.

Ne pas être attaché au gain personnel

Être un pratiquant de Dafa signifie que je dois éliminer les attachements à la renommée et à l’intérêt matériel. Voici quelques exemples.

À l’école primaire, il y avait un concours de mathématiques auquel seuls les meilleurs élèves pouvaient participer. Bien que plusieurs élèves de la classe et moi-même ayons eu des notes similaires en mathématiques, l’enseignant les a choisis eux et pas moi. J’étais contrarié, pensant que j’avais perdu cette opportunité. Après être devenu un pratiquant de Dafa, je me suis souvenu que Maître Li avait parlé du principe de perte et de gain, qu’il était déterminé par la vertu et le karma d’une personne. Je ne me suis donc plus inquiété de ce genre de choses.

Comme je l’ai dit plus haut, j’ai toujours aidé les autres lorsqu’ils avaient besoin d’aide. Peu d’étudiants doués avaient la patience d’expliquer les choses aux étudiants moins bons. Mais en tant que pratiquant de Dafa, je savais ce que je devais faire et je n’ai jamais hésité à aider les autres.

Traduit de l’anglais