(Minghui.org) L’école Minghui de Sydney, en Australie, a organisé une conférence de partage d’expériences le 17 septembre 2023. Quatorze élèves ont partagé des histoires de cultivation intéressantes et émouvantes et ont parlé de ce qui les a éclairés au cours de la dernière année.

Les élèves de l’école Minghui de Sydney ont posé pour une photo de groupe avec leurs enseignants et leurs parents. Ils ont souhaité au fondateur du Falun Dafa, M. Li Hongzhi, une joyeuse fête de la Mi-Automne.

Avant le début de la réunion, les enseignants ont projeté un court métrage intitulé « L’histoire éternelle ». Certains enfants d’âge préscolaire ont vu le Maître sur l’écran et ont crié « Maître, Maître ! » et ont pressé leurs paumes l’une contre l’autre en signe de respect.

De jeunes pratiquants de Falun Dafa ont regardé le court métrage « L’histoire éternelle ».

Les animateurs ont lu le discours d’ouverture qui exprimait la gratitude des jeunes pratiquants envers le Maître et leur détermination à progresser avec diligence dans leur cultivation afin de remercier le Maître pour sa compassion.

Des élèves ont parlé de leurs expériences de cultivation.

Devenir une vraie pratiquante

Chenliang, 10 ans, a expliqué qu’il avait du mal à rester concentré lorsqu’il faisait les exercices de Falun Dafa. « Je n’avais tout simplement pas la patience de rester immobile au même endroit et je pensais souvent à ce que je comptais faire une fois les exercices terminés », a-t-il dit. Après avoir réalisé que ses pensées étaient erronées et qu’il n’était pas concentré lorsqu’il faisait les exercices, il a dit : « Maintenant, je me concentre sur la musique lorsque je fais les exercices et je ne pense à rien. Maintenant, mes mains sont chaudes, comme si elles étaient en feu. Je ne peux pas décrire cette sensation, mais je sais que le Maître renforce mon énergie. »

Shangen a raconté comment elle s’est libérée d’un attachement. Elle est tombée en se précipitant pour attraper le ballon qu’un camarade de classe lui avait lancé. « Je me suis blessée aux mains et aux genoux et j’ai saigné », a-t-elle raconté. Elle n’a pas pleuré ni ne s’est plainte et a dit à son professeur de ne pas appeler ses parents car elle ne voulait pas causer d’ennuis à l’autre élève. De retour à la maison, sa mère l’a aidée à trouver son attachement à l’impatience et à trouver un moyen de l’éliminer.

Zhenyu a participé à une activité visant à clarifier la vérité et à informer les gens sur la persécution du Falun Dafa en Chine. Elle a décrit comment elle a surmonté ses problèmes, puis a de nouveau été confrontée à des défis. Elle a douté d’elle-même à un moment donné, mais s’est rendu compte qu’elle avait fait le bon choix. Elle a dit : « J’ai réalisé que l’âge n’était pas un problème. L’essentiel est de savoir si nous pouvons avoir des pensées et des actions droites. »

Éliminer les attachements

Aide a commencé à jouer à des jeux vidéo. « J’en suis devenu dépendant et je ne pouvais plus m’arrêter de jouer », a-t-il expliqué. Un matin, il s’est réveillé avec des yeux gonflés qui le démangeaient. Ils lui faisaient mal et larmoyaient beaucoup. Il a d’abord pensé que quelque chose était entré dans ses yeux et il les a frottés. Grâce aux conseils de sa mère, il a compris : « Le Maître m’aidait à purifier mes yeux et voulait que je regarde à l’intérieur pour savoir pourquoi c’était arrivé. J’ai dû voir quelque chose de mauvais. Les paroles de ma mère m’ont touché et j’ai réalisé que j’étais très attaché aux jeux vidéo et que je jouais trop souvent. J’ai décidé d’éliminer cet attachement et j’ai supprimé la page web de mon ordinateur. »

Tianhao, qui est à l’école maternelle, a dit qu’il était récemment devenu colérique. Il n’a pas pris cela au sérieux au début, mais « j’ai commencé à répondre à mon père et à lui en vouloir. Je me suis alors souvenu d’un des poèmes du Maître, « Qui a raison, qui a tort », de Hong Yin III. Je savais que j’avais dû faire quelque chose de mal lorsque mon père m’avait grondé. J’ai commencé à regarder à l’intérieur lorsque je me sentais anxieux et j’ai découvert que j’avais fait quelque chose de mal. Je ne m’énerve plus lorsque mon père me fait remarquer ce que je ne fais pas bien. »

Yueyao, en classe de maternelle, a expliqué comment la mémorisation des enseignements du Fa l’a aidée à s’élever. Il y a quelque temps, elle refusait de pratiquer le violon et s’assoupissait lorsqu’elle étudiait le Fa. Elle ne voulait lire que des romans. Sa mère lui a suggéré de mémoriser le Fa pour s’élever. Au début, elle a eu du mal à mémoriser quoi que ce soit. Après quelques semaines de persévérance, elle a pu mémoriser des parties du Fa et s’est aperçue qu’elle pouvait mieux se concentrer. Elle pratique désormais le violon tous les jours et a terminé les répétitions prévues à l’école.

Yuejun est la sœur aînée de Yueyao. Elle a raconté une histoire au sujet de sa jalousie. L’une de ses camarades de classe a obtenu de meilleurs résultats qu’elle en mathématiques. Elle se sentait mal à l’aise lorsqu'un camarade obtenait plus de bonnes réponses qu’elle dans son devoir. Au fond d’elle-même, elle savait qu’elle avait l’attachement à la jalousie et à l’esprit de compétition. Sa mère lui a dit qu’elle devrait se réjouir des résultats de ses camarades au lieu de vouloir rivaliser et gagner. « Le lendemain, alors que nous nous aidions mutuellement à noter nos devoirs, j’espérais sincèrement que mes camarades auraient de bons résultats. Une fois la correction terminée, mes camarades m’on dit que j’avais trouvé toutes les bonnes réponses. Je me suis sentie tellement heureuse de savoir que le Maître m’avait encouragée parce que je voulais me débarrasser de mon attachement », a-t-elle dit.

Apprendre à regarder à l’intérieur

Chenxi joue au football et se réjouissait d’une compétition officielle à venir. Cependant, le match s’est terminé et il n’a pas eu l’occasion de jouer. Il s’est senti triste et a pensé : « Je suis resté assis pendant une heure à regarder les autres jouer. L’entraîneur ne m’a pas appelé, alors je lui en ai voulu. Je me suis demandé pourquoi j’étais là. L’entraîneur m’a crié dessus et m’a dit que je ne devais pas me plaindre. J’ai pensé qu’il était injuste. » Ce soir-là, Chenxi s’est souvenu de ce que le Maître avait dit sur le fait de regarder à l’intérieur. Il s’est rendu compte que son entraîneur avait raison et que ses compétences n’étaient pas suffisantes.

Zhenhong, 11 ans, a écrit un long partage sur deux choses qui l’ont dérangé, mais qui l’ont aidé à s’améliorer. Sa grand-mère lui a dit que, lorsqu’il fermait la porte de la maison, il la claquait si fort que la porte allait se casser. Il n’était pas d’accord, car tout le monde la claquait, et il s’est donc disputé avec sa grand-mère. Après avoir lu le Fa et parlé à d’autres pratiquants, il s’est souvenu de ce que le Maître avait dit, à savoir que tout est un être, y compris la porte. Il a dit : « Grand-mère veut que je chérisse les choses qui m’entourent. Dès lors, chaque fois que j’ouvre ou ferme la porte, je le fais en silence. » Il a également réalisé : « Je dois me débarrasser de mon attachement à ne pas vouloir que les gens me signalent ce que j’ai fait de mal. »

Xinyu a raconté qu’une fois, elle s’est disputée avec ses jeunes sœurs. Elles étaient en colère et se criaient dessus. « Quand j’ai réfléchi à cette dispute, j’ai réalisé que j’avais peut-être fait quelque chose que je n’aurais pas dû faire. C’est moi qui ai fait une erreur, pas elles. J’aurais dû désamorcer la dispute », a-t-elle dit. « Si je ne donnais pas le bon exemple, mes jeunes sœurs seraient aussi têtues que moi et continueraient à se disputer. J’aurais dû céder d’abord et essayer de les raisonner. »

De jeunes pratiquants sont témoins de miracles

Qingyuan, 9 ans, a essayé de couper une poire alors qu’elle était seule à la maison. Elle s’est coupé le doigt et sa coupure n’arrêtait pas de saigner. Elle a appelé son père tout en récitant dans sa tête : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Lorsque son père est rentré à la maison, la blessure s’était déjà refermée.

Hanxuan a eu une crise d’asthme alors qu’il était assis dans la voiture de sa tante. Il ne pouvait plus respirer et, cette fois, son inhalateur ne l’a pas aidé. Sa tante lui a dit de demander de l’aide au Maître, ce qu’il a fait. Au bout de cinq minutes, il a pu respirer normalement. Il dit à sa tante : « Ça a marché ! Le Maître m’a aidé ! » Il a pleuré de gratitude envers le Maître.

Traduit de l’anglais