(Minghui.org) Certains pratiquants de Falun Dafa ont fait l’expérience de capacités étonnantes ou ont des compétences et des talents spéciaux. Ils peuvent penser qu’ils sont spéciaux ou que ce sont leurs propres capacités. D’autres peuvent les admirer et les complimenter. À cause de cette incompréhension, ces pratiquants ont pu être exploités par les forces anciennes, ce qui a causé de nombreuses pertes.
Tout est arrangé par le Maître
Il y a quelques mois, un pratiquant et sa femme ont été arrêtés après avoir été suivis pendant longtemps par des agents de la sécurité intérieure.
Le mari a clarifié la vérité et persuadé de nombreuses personnes de démissionner du PCC (Parti communiste chinois) et de ses organisations pour la jeunesse. Il était fier de lui. En raison de son ego démesuré, il se mettait souvent en colère contre sa femme et la battait et la grondait.
Les documents de clarification de la vérité qu’il produisait présentaient de sérieux problèmes, mais lorsque les autres pratiquants le lui ont fait remarquer, il n’a pas corrigé les erreurs. Il a dit : « Lorsque vous aurez aidé 5000 personnes à démissionner du Parti, vous pourrez alors me parler. » Ce pratiquant s’est attribué tout le mérite d’avoir aidé les gens à démissionner du Parti.
Quelques pratiquants ont l’œil céleste ouvert ou développent des capacités supranormales. Ils considèrent que c’est le résultat de leurs propres capacités et qualités innées et pensent qu’ils sont spéciaux. Ils sont fiers d’eux-mêmes, ce qui peut entraîner des interférences démoniaques de leur propre esprit, et certains d’entre eux ont été persécutés. Il y a tant de leçons à tirer à ce sujet.
En fait, toutes les réalisations que nous avons faites durant la cultivation pendant la rectification de Fa sont inséparables des arrangements et des bénédictions de Maître Li (le fondateur de Dafa). Sans l’aide du Maître, nous ne pourrions rien accomplir. Quels que soient les capacités, la technologie, le talent ou les ressources financières dont nous disposons, nous ne devons pas avoir une haute opinion de nous-mêmes ni penser qu’il s’agit de « mes » capacités. Toute pensée de ce genre, même la plus infime, peut nous causer des ennuis.
Quand les gens nous remercient de leur avoir dit la vérité sur Dafa, de nombreux pratiquants répondent : « Ne me remerciez pas, vous devriez remercier mon Maître. » Lorsque certaines personnes font l’éloge de l’apparence et de la bonne santé des pratiquants, beaucoup d’entre eux disent : « C’est parce que je pratique le Falun Dafa. »
Toutes nos réalisations sont dues à 100 % au Maître, et c’est ce que chaque pratiquant devrait se rappeler.
Le Maître a dit :
« …que ton travail ait du succès n’est qu’une forme de manifestation parmi les gens ordinaires, pouvoir faire obtenir le Fa aux gens et populariser Dafa c’est la puissance propre à Dafa et l’arrangement concret du Fashen. S’il n’y avait pas mon Fashen pour faire tout cela, sans parler de la popularisation du Fa, même la sécurité de ces responsables serait difficile à garantir, c’est pourquoi vous ne devez pas toujours penser combien vous-mêmes êtes formidables. Dafa n’a ni renom, ni intérêt, ni titre officiel, c’est seulement le xiulian. » (« Frapper un grand coup », Points essentiels pour avancer avec diligence )
Nous devons nous corriger
Un pratiquant local a fait beaucoup de choses remarquables au fil des ans pour dénoncer la persécution et valider le Fa. Il a convaincu au moins 100 agents de police et fonctionnaires du gouvernement à tous les niveaux de démissionner du Parti. Certains agents de police et même des responsables de la sécurité de l’État, qui avaient l’intention de le persécuter, ont non seulement renoncé à la persécution, mais ont aussi démissionné du Parti après qu’il leur a dit la vérité. Il est très rare que des policiers, en particulier ceux qui occupent des postes de direction, démissionnent du PCC. Ce qui est encore plus louable, c’est que le pratiquant a aussi convaincu la police d’aider à distribuer des documents clarifiant la vérité et de sauver d’autres pratiquants qui avaient été arrêtés.
Plusieurs pratiquants de notre région qui avaient été arrêtés ont été sauvés par lui en obtenant l’aide du chef du poste de police, du chef de la Division de la sécurité intérieure, du directeur du Département de police, du directeur du Bureau de la sécurité nationale et de fonctionnaires de la Commission des affaires politiques et juridiques. Certains pratiquants ont été arrêtés à plusieurs reprises, mais il a aidé à les sauver.
Une fois, il a téléphoné au chef du service de police de la ville et lui a demandé de trouver un moyen de sauver les pratiquants. Lorsqu’un policier d’un autre district est venu dans notre région pour arrêter un pratiquant, il a appelé le chef de police du district. Le directeur a immédiatement contacté le capitaine de la Division de la sécurité intérieure pour qu’il libère le pratiquant. Ce pratiquant a aussi demandé à des fonctionnaires de niveau vice-ministériel et à des généraux de haut rang de l’aider à remettre aux autorités sa lettre clarifiant la vérité. Ce pratiquant étudie le Fa avec diligence et est très humble et discret.
En apparence, ce pratiquant semblait bien se cultiver, mais à la surprise générale, il a souffert de deux maladies graves en moins de deux ans. L’année dernière, il n’a pas pu manger pendant plusieurs jours et est devenu émacié. Cela a duré plus d’un mois. Comme il n’allait pas mieux, sa famille l’a forcé à se rendre à l’hôpital. L’examen a montré qu’il souffrait de plus de dix maladies, un cancer du pancréas, de l’hypertension artérielle et des kystes rénaux. Sous la protection miséricordieuse du Maître, il est sorti de l’hôpital sans subir d’intervention chirurgicale et a aidé plus de 30 personnes de l’hôpital à démissionner du Parti. Lors d’un suivi médical, le médecin a constaté que son cancer avait disparu. Mais cette année, peu de temps après la publication du nouvel article du Maître, il a eu une autre maladie grave, plus grave encore. Son état s’est rapidement détérioré et il a failli mourir.
Les autres pratiquants lui ont dit solennellement : « Si tu n’avais pas de problèmes, tu n’aurais jamais connu ces tribulations. Au cours des dix dernières années, tu n’as parlé que de la façon dont tu as dénoncé la persécution, dont tu as clarifié la vérité auprès de la police, des fonctionnaires du gouvernement et des hauts responsables, et comment tu as aidé les gens à démissionner du Parti. »
Certains pratiquants ont dit franchement : « Tu t’attribues le mérite des grandes choses qui se produisent quand tu valides le Fa ? C’est le Maître qui a arrangé pour que ces hauts fonctionnaires coopèrent avec toi, tout est fait par le Maître. » Certains pratiquants lui ont demandé : « Penses-tu que les choses que tu fais sont dues à tes capacités ou à ton talent ? »
Mais quelqu’un lui a dit : « Tu cultives à un niveau très élevé. Tu as atteint le niveau de Jésus et de Shakyamuni. Quand tu es malade, tu portes le fardeau des êtres, tout comme Jésus a souffert sur la croix. »
Heureusement, ce pratiquant avait de bonnes fondations, et au milieu des tribulations, il était rationnel. Il a dit aux pratiquants qui disaient qu’il avait atteint un haut niveau de cultivation : « S’il vous plaît, ne me complimentez pas. » Il était d’accord avec les pratiquants qui disaient qu’il n’avait pas éliminé son désir de gloire et de fortune et qu’il devait se défaire complètement de ces attachements.
Il nous a dit sincèrement : « Au fil des ans, je me suis concentré sur la dénonciation de la persécution, la validation du Fa et à aider les personnes à démissionner du Parti, et je me suis relâché dans ma cultivation personnelle. Je n’ai toujours pas éliminé mon attachement à la renommée, à la fortune et au ressentiment. J’ai souvent demandé au Maître de supporter des épreuves pour moi. Bien que je ne sois pas doué pour la cultivation, mon corps est toujours là et le Maître me donne encore une chance, alors je vais assurément mieux me cultiver. Puisque les pratiquants me l’ont fait remarquer, je vais y remédier. »
Après avoir constaté ses lacunes, ce pratiquant n’a pas dissimulé son attachement et a cultivé de manière simple et concrète. Une fois de plus, Dafa a fait un miracle. Le médecin a d’abord dit que le cancer s’était propagé et métastasé, et que sa vie était en danger – mais quelques jours plus tard, le médecin a dit qu’il ne s’agissait pas d’une tumeur maligne, mais d’un kyste ordinaire, qui n’avait pas besoin d’être enlevé.
Quatre jours plus tard, le pratiquant est sorti de l’hôpital de la ville et n’avait plus aucun problème de santé. Pendant son séjour à l’hôpital, il est aussi allé de service en service pour persuader les patients et les médecins de démissionner du Parti, ce que plus de 20 d’entre eux ont fait.
La cultivation est une affaire sérieuse
La cultivation est très sérieuse. Peu importe votre renommée ou tout ce que vous avez fait pour valider le Fa, si vous avez des failles, les forces anciennes ne vous laisseront pas partir.
Après avoir vu les tribulations de mes compagnons de cultivation, je me suis demandé si, lorsque je réussissais quelque chose, je pensais que c’était grâce à mes capacités. Je me suis rendu compte que moi aussi j’avais cette pensée. Lorsque j’ai découvert ce problème, cela m'a rendu humble.
Pourquoi les pratiquants s’attribuent-ils le mérite des choses que fait le Maître ? Lorsque nous examinons cet état d’esprit, c’est parce que nous recherchons la gloire et que nous voulons être admirés et loués par les autres. Un disciple de Dafa qui s’assimile vraiment au Fa n’aura pas cet attachement.
Le Maître a dit :
« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du Maître. ». (« Première Leçon », Zhuan Falun)
J’ai réalisé que toutes les réussites de notre cultivation sont entièrement attribuables au Maître. Elles sont la grâce et la bénédiction du Maître pour nous.
Traduit de l’anglais
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