(Minghui.org) En 1997, un voisin m’a donné un exemplaire du Zhuan Falun. Par curiosité, j’ai commencé à lire le livre et j’ai immédiatement été fasciné par celui-ci. J’ai compris de nombreux problèmes qui me perturbaient et j’ai appris que le véritable but de la vie humaine est de revenir à notre véritable moi originel. Mon corps était léger et j’ai vraiment fait l’expérience d’être sans maladie.
Après le début de la persécution du Falun Dafa par le Parti communiste chinois (PCC) en 1999, je suis devenu l’une des quelques personnes dont le nom a été mis sur une liste noire dans notre ville. En conséquence, j’ai été détenu trois fois, emprisonné trois fois, envoyé deux fois dans un centre de lavage de cerveau, torturé dans un camp de travaux forcés pendant trois ans et demi et je suis devenu sans abri pendant plus d’un an pour éviter d’être à nouveau arrêté.
Parce que je n’ai jamais voulu me transformer, j’ai perdu mon poste au travail, et mon identification en tant que fonctionnaire a été suspendue par treize agences gouvernementales selon les directives du Bureau 610. Ils avaient prévu de m’envoyer dans une institution non départementale, mais j’ai refusé. Je suis donc allé au Bureau 610 et j’ai demandé que ma certification de fonctionnaire soit rétablie. Le directeur du Bureau 610 a déclaré qu’il ne pouvait m’aider, car la décision venait des agences.
Bien que je sois retourné à l’agence où je travaillais, j’ai perdu ma certification et toute opportunité d’être promu, de recevoir des augmentations de salaire ou d’être éligible à d’autres incitatifs. Mais en tant que pratiquant, j’ai quand même fait de mon mieux pour bien faire mon travail. Tous les dirigeants m’ont félicité, affirmant que mes techniques étaient meilleures que celles de n’importe qui d’autre dans l’agence.
Parce que j’étais la cible du PCC, j’ai subi une surveillance très rigoureuse. J’ai été surveillé 24 heures sur 24 pendant une longue période. Les dirigeants du Bureau 610 et de nombreuses autres agences venaient souvent dans ma division pour me poser des questions. Chaque fois qu’ils venaient, ils cherchaient à savoir si j’avais des documents de Falun Dafa. L’agence dans laquelle je travaillais a également assigné huit personnes pour me surveiller directement, selon les instructions du Bureau 610.
Nous avions plus d’une heure de libre le midi, alors j’ai utilisé ce temps pour étudier le Fa. Au début, j’avais l’attachement à la peur, essayant d’éviter mes collègues. Certains collègues m’ont demandé ce que je lisais. Je leur ai montré la section que je lisais, mais pas montré le titre du livre. Un jour, alors que je lisais le Zhuan Falun, mon supérieur s’est tout à coup approché et m’a demandé quel livre je lisais. Je n’ai pas répondu, mais je l’ai laissé jeter un œil au contenu. Il l’a lu pendant un moment et est parti sans rien dire.
Au début, la Division de la sécurité intérieure de la police est venue deux fois sur mon lieu de travail et m’a demandé si j’avais des documents de Falun Dafa. J’ai répondu négativement et ils ne sont jamais revenus. Étudier le Fa au bureau était aussi un processus pour élever mon xinxing. J’ai progressivement éliminé ma peur et j’ai pu utiliser pleinement mon temps et me concentrer sur la récitation du Fa. J’étudie le Fa au bureau depuis plus de dix ans et je n’ai jamais été dérangé par personne. Je peux maintenant réciter tout le contenu du Zhuan Falun en vingt jours.
Sans la protection de Maître Li (le fondateur de Dafa), il m’aurait été impossible d’étudier le Fa dans un environnement aussi hostile. Tout ce que j’avais était le souhait d’étudier le Fa. Quant à l’environnement, j’ai été protégé par le Maître.
Lorsque des gens du gouvernement sont venus à mon bureau pour essayer de me persuader d’écrire les déclarations de garantie, j’ai utilisé cela comme une occasion pour leur clarifier la vérité.
Une fois, la Commission des affaires politiques et juridiques, le Bureau 610, la Division de la sécurité intérieure et l’agence pour laquelle je travaillais ont tous collaboré pour organiser un « cours d’éducation et de transformation », me ciblant uniquement. J’ai profité de l’occasion pour leur distribuer des documents de clarification de la vérité. Le directeur de la Division de la sécurité intérieure m’a dit : « Vous faites encore cela ! Nous songeons à vous envoyer dans un camp de travaux forcés et à vous y détenir pendant deux à trois ans ! » Je ne savais pas s’il me mettait en garde de ne pas distribuer de documents ou s’il voulait que je leur donne les documents.
Après le transfert du directeur de la Division municipale de la sécurité intérieure, l’instructeur de la Division a pris sa place. Il a demandé à me parler dès son entrée en fonction. J’ai suggéré que nous allions discuter dans un hôtel autour d’un thé, et il a accepté. J’ai expliqué que le Falun Dafa enseigne à être une bonne personne. Je lui ai également parlé de mes expériences personnelles de cultivation et de nombreux autres faits.
J’ai ensuite expliqué pourquoi c’est un péché de participer à la persécution du Falun Dafa, et que tous les persécuteurs feront face à des représailles pour cela à l’avenir. Il ne m’a pas interrompu et n’a rien dit de mal à propos du Falun Dafa. Il a simplement dit qu’il espérait avoir une autre occasion de discuter davantage avec moi. Après notre entretien, il n’est jamais revenu et n’a plus participé à la persécution.
Le directeur de la Division de la sécurité intérieure du district est celui qui venait le plus souvent sur mon lieu de travail. Au début, il s’est montré très hostile à mon égard et a essayé de me forcer à rédiger les trois déclarations de garantie. Je lui ai expliqué la vérité à plusieurs reprises et lui ai dit que forcer les pratiquants de Dafa à renoncer à leur croyance était un péché. Je lui ai dit que je refusais d’obtempérer, non seulement pour être responsable de moi-même, mais aussi pour lui, car une fois que j’aurais signé une déclaration sous la pression, il ferait face à une rétribution. Son attitude a désormais changé. Il m’appelle « frère », et chaque fois qu’il vient me parler, il ne me pousse plus à me transformer. Il fait juste son travail de routine et s’en va.
J’ai également clarifié la vérité à mes collègues et essayé de les persuader de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Certains collègues ont écouté et d’autres non, mais ils savent tous à quel point j’ai changé après avoir commencé à pratiquer Dafa : je suis devenu moralement droit et en bonne santé.
Ma performance au travail a eu un « effet papillon ». De nombreux dirigeants et collègues de mon district ont été témoins et convaincus par ma gentillesse, ma bonne santé et mes habitudes de travail. Lorsque j’ai rencontré des dirigeants et des employés d’autres lieux de travail et que je leur ai dit mon nom, ils ont dit qu’ils me connaissaient déjà et étaient très amicaux. À ce jour, je n’ai persuadé que cinq collègues de démissionner du PCC. Cependant, même si certains collègues n’ont pas encore démissionné, ils comprennent la nature perverse du PCC et ont le potentiel de se retirer du Parti.
Je cultive le Falun Dafa depuis vingt-six ans et j’ai compris que ce n’est que grâce à une solide étude du Fa que je peux avoir une vraie pensée droite. C’est grâce à la protection compatissante du Maître que j’ai pu surmonter la persécution et continuer à cultiver jusqu’à présent.
Traduit de l’anglais
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