(Minghui.org) Les pratiquants de Falun Gong ont présenté le Falun Dafa dans le quartier des affaires d’Anvers le 19 octobre 2024. Ils ont fait la démonstration des exercices et parlé aux gens de la persécution de la discipline par le Parti communiste chinois (PCC) qui dure depuis vingt-cinq ans. Certains ont appris les exercices sur place et beaucoup ont signé une pétition demandant la fin de la persécution.

Les pratiquants de Falun Gong à Anvers, Belgique, ont organisé une activité pour sensibiliser le public à la persécution exercée par le PCC depuis vingt-cinq ans.

Des étudiants universitaires : Le Falun Gong profite à tous

Gilbert (à gauche), Korneel van de Vijver (au centre), Steven Arnauts (à droite)

Korneel van de Vijver, Gilbert et Steven Arnauts, trois étudiants belges de l’université de Gand qui étudient les sciences et l’ingénierie, ont été attirés par la pratique paisible de la méditation. Après avoir regardé pendant un certain temps, ils se sont approchés de la table d’information. C’était la première fois qu’ils entendaient parler du Falun Gong. Ils ont discuté longuement avec les pratiquants.

Ils ont dit que les pratiquants avaient l’air détendus lorsqu’ils méditaient et que les exercices étaient paisibles. Ils ne comprenaient pas pourquoi cette discipline était interdite en Chine, car le simple fait de regarder les pratiquants leur apportait la paix. De plus, ils ont fait remarquer que cette méthode serait bénéfique pour tout le monde.

Ils étaient particulièrement préoccupés par les prélèvements forcés d’organes effectués par le PCC sur les pratiquants de Falun Gong. Ils se demandaient pourquoi plus de gens n’étaient pas au courant. Après avoir pris connaissance de la persécution et de la censure de l’information en Chine, ils ont dit que le PCC exerçait une censure pour contrôler les gens. De même, ils ont noté que les prélèvements forcés d’organes avaient été dissimulés par la communauté internationale. Le gouvernement chinois essaie de le cacher pour éviter une remise en question.

Korneel a dit : « J’ai signé la pétition parce que j’ai vu que ce qu’ils (les pratiquants) font est bien. Même s’il s’agit d’un petit geste, signer la pétition est une façon de soutenir les pratiquants contre la persécution. Je pense que cela peut aider, alors je dois le faire. »

Gilbert a dit : « J’ai signé pour soutenir les pratiquants. Persécuter de la sorte des personnes pacifiques est insensé. »

Steven a ajouté : « J’ai signé parce que je pense qu’il est injuste que les pratiquants ne soient pas autorisés à méditer. La méditation est inoffensive. » Il a également dit : « Je n’aime pas qu’ils soient opprimés pour leur croyance. Je suis contre cette persécution. »

Korneel a dit : « J’aime le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. C’est une bonne valeur à suivre, que tous les êtres humains devraient avoir. » Steven a ajouté : « Je pense que ce principe peut aider les gens. C’est exactement ce dont certaines personnes ont besoin dans leur vie et qui peut les aider à se libérer de leur stress. Je crois que la méthode peut aider les gens à se détendre. » Gilbert a dit : « Cela apporte vraiment le calme. C’est quelque chose que tout le monde devrait faire. Cela aide à se détendre dans ce monde occupé et dur, et à calmer l’esprit. »

Les gens s’informent sur le Falun Gong et la persécution du PCC.

Une famille belge apprend à méditer

Stéphanie et sa fille apprennent le cinquième exercice.

Stéphanie, son mari et leurs trois enfants ont regardé les pratiquants faire les exercices. Ils ont visité le stand pour en apprendre plus. Stéphanie a dit que les valeurs traditionnelles lui plaisaient. En apprenant la persécution, elle a dit : « Le gouvernement ne devrait pas faire cela. Les gens devraient avoir le droit de choisir leur croyance. La méditation et la cultivation sont de bonnes choses à faire. » Ils ont immédiatement signé la pétition contre les prélèvements forcés d’organes en Chine.

Stéphanie a dit que sa famille avait besoin de plus de calme à la maison. Elle a demandé aux pratiquants si sa deuxième fille, une petite fille bien élevée, pouvait apprendre la méditation. Les pratiquants leur ont appris à méditer sur place, à elle et à sa fille. Au milieu de l’agitation de la rue, elles ont patiemment appris les mouvements des mains et la façon de méditer. Elles ont dit qu’elles continueraient à pratiquer une fois de retour à la maison.

Les gens signent la pétition demandant de mettre fin à la persécution.

Un membre d’Amnesty International : Les prélèvements forcés d’organes sont un crime contre l’humanité

Jalal, un membre du personnel d’Amnesty International, a voulu en savoir plus sur la persécution et s’est longuement entretenu avec les pratiquants. Il a dit que le régime communiste violait les droits de l’homme et a ajouté : « Je pense que chacun devrait avoir le droit de vivre et de pratiquer sa croyance. »

Il a indiqué que les prélèvements forcés d’organes sur les pratiquants existent depuis longtemps. Il a dit : « C’est horrible. C’est un crime contre l’humanité. »

Un Géorgien : La discipline apporte une énergie paisible

Saba a dit avoir ressenti une énergie paisible.

Saba, de Géorgie, a regardé les pratiquants méditer avec beaucoup d’intérêt. Il a dit : « Ce qui a attiré mon attention, c’est que je peux sentir une énergie paisible émaner des pratiquants pendant qu’ils méditent. » Il a ajouté : « Je suis étonné de voir combien ils restent calmes dans un environnement aussi chaotique. »

Saba était tout à fait d’accord avec les principes du Falun Gong. Il a exprimé son espoir que la paix et l’amour soient partout, ce qu’il aimerait vraiment voir.

Traduit de l’anglais