(Minghui.org) Les pratiquants de Falun Dafa de toute l’Australie se sont rassemblés pacifiquement devant le parlement fédéral à Canberra du 4 au 7 novembre 2024. Ils se sont également rendus dans des agences gouvernementales, des organisations non gouvernementales et des quartiers commerciaux très fréquentés pour informer le public sur la persécution en Chine, y compris les prélèvements forcés d’organes par le Parti communiste chinois (PCC) sur des pratiquants de Falun Dafa encore vivants. Ils ont recueilli des signatures exhortant le gouvernement australien à adopter une législation visant à mettre fin aux prélèvements forcés d’organes orchestrés par le PCC.

Au cours de ces quatre jours, les pratiquants ont rencontré des membres des communautés judiciaire, médicale et commerciale, se sont également rendus dans des entreprises de la zone industrielle de la capitale, et ont recueilli des signatures auprès d’eux. Ils ont installé un stand dans la rue piétonne du centre de Canberra pour présenter le Falun Dafa (également connu sous le nom de Falun Gong) et sensibiliser la population à la persécution par le PCC. De nombreuses personnes ont accepté les documents de clarification de la vérité et ont signé la pétition.

Du 4 au 7 novembre, des pratiquants ont fait la présentation des exercices de Falun Dafa et ont déployé des banderoles près du centre de Canberra et des principaux axes de circulation aux heures de pointe.

Du 4 au 7 novembre, des pratiquants ont expliqué la persécution dans la rue piétonne et les rues commerçantes animées du centre-ville de Canberra.

Un ingénieur : Fermer les yeux sur les malfaiteurs, c’est être complice

L’ingénieur Peter Johnston a dit : « J’espère que ces trafiquants d’organes prendront conscience de ce qu’ils font. C’est une chose terrible. Les gens devraient avoir une conscience, être gentils et simples. » Il espère que le gouvernement australien s’opposera à ce trafic d’organes. Il a fait remarquer que ceux qui sont au pouvoir seront complices s’ils ferment les yeux sur les malfaiteurs.

Will Dobbs, qui travaille pour le gouvernement, a dit : « La greffe d’organes est une avancée scientifique pour l’humanité et elle devrait être volontaire. Mais je crois savoir que, dans certains pays, des organes sont prélevés sur des personnes qui n’y consentent pas et que ces personnes peuvent être tuées pour cela. Je pense que c’est une chose terrible. En tant qu’Australiens, nous avons la liberté d’expression et nous devrions faire tout ce qui est en notre pouvoir pour soutenir ceux qui, dans d’autres pays, n’ont pas le droit de manifester. »

M. Dobbs a ajouté que le gouvernement australien doit adopter une position claire sur des plateformes telles que les Nations unies et dans le cadre de dialogues extérieurs, en s’opposant au trafic d’organes. Les Australiens qui se rendent à l’étranger pour une greffe d’organe doivent connaître la source de leurs organes et faire preuve de transparence.

Le gouvernement australien devrait se prononcer contre les prélèvements forcés d’organes

Mick Broddrick était directeur d’une entreprise de construction avant de prendre sa retraite. Il a dit que les prélèvements d’organes sur des personnes vivantes perpétrés par le PCC étaient un acte méprisable et que l’humanité ne devrait pas tomber dans cette situation.

« Les Australiens se rendent à l’étranger pour des greffes d’organes. Ils devraient être informés que les prélèvements forcés d’organes ont lieu aujourd’hui et ils devraient savoir à l’avance si la greffe qu’ils s’apprêtent à recevoir est légale », a-t-il dit.

Il a ajouté que le gouvernement australien devrait s’exprimer et donner son point de vue sur les pays qui autorisent des greffes d’organes illégales.

Traduit de l’anglais