(Minghui.org) Bonjour Maître ! Bonjour chers compagnons de cultivation !

Avant de commencer la pratique du Falun Dafa, j’étais accablée de maladies. J’avais une maladie cardiaque, de l’arthrite, une inflammation des reins, une maladie osseuse dégénérative et des douleurs au niveau de la colonne vertébrale. Du pus suintait de mes oreilles et je saignais du nez. Le Falun Dafa m’a sauvée et m’a redonné un corps sain. Sous le régime du Parti communiste chinois (PCC), la moralité en Chine continue de décliner, mais la pratique du Falun Dafa m’a encouragée à continuer à élever ma moralité et je suis devenue une personne gentille et bonne qui fait des choses pour les autres sans rien demander en retour.

Surmonter le karma de maladie

Mes enfants ont pu constater à quel point le Falun Dafa est extraordinaire en me voyant passer de malade en phase terminale à une personne en bonne santé, car Dafa m’a donné une nouvelle chance de vivre. Si je ne pratiquais pas le Falun Dafa, je serais morte depuis longtemps.

Peu de temps après avoir commencé la pratique, j’ai vécu plusieurs épreuves de karma de maladie. À chaque fois, je me suis rapidement rétablie sans recevoir d’injections ni prendre de médicaments.

Une fois, j’ai eu un zona dans le dos. Les gens disent que si l’infection du zona forme un cercle, la personne mourra. Je n’ai pas eu peur et je n’en ai pas parlé à mes enfants. J’ai continué à faire la lessive, à cuisiner et à prendre soin de moi. La douleur était atroce, comme si j’étais transpercée par des aiguilles. Lorsque je me penchais pour ramasser des objets, la douleur était insupportable. J’ai fait les exercices et étudié le Fa comme d’habitude, et je ne me suis pas considérée comme quelqu’un de malade.

J’ai ressenti que j'étais testée sur ma croyance dans le Maître et Dafa. Même si je souffrais beaucoup, je n’ai pas laissé mes enfants s’occuper de moi. Cela aurait été une erreur de me considérer comme une personne malade et j’ai senti que cela signifiait que ma cultivation et pratique n’était pas solide. Demander à quelqu’un de s’occuper de moi pendant quelques jours peut sembler une petite chose, mais la cultivation est une affaire sérieuse.

Alors que j’endurais la douleur, j’ai pensé : « Si je ne pratiquais pas le Falun Dafa, je serais morte. Comment ce petit peu de douleur et de souffrance peut-il empêcher une vraie pratiquante de pratiquer avec diligence ? » Je me suis rétablie en un peu plus d’une semaine. Si je n’avais pas accepté la situation, je me serais rétablie en quelques heures.

Une autre fois, j’ai eu une forte fièvre et tout mon corps brûlait comme des charbons ardents. Je n’avais pas la force de m’habiller. Je ne pouvais pas ouvrir les yeux – mon corps me faisait souffrir et j’endurais ce supplice à chaque minute et à chaque seconde. Mon fils était si inquiet qu’il n’arrêtait pas de faire les cent pas. Il m’a donné un verre d’eau avec du sucre et du vinaigre et m’a dit : « Maman, pourquoi ne boirais-tu pas un peu ? C’est sucré et acide. » J’ai répondu : « Laisse ça là, je le boirai demain quand je me sentirai mieux. »

Cette fois, je n’ai pas accepté passivement la persécution des forces anciennes. J’ai dit à mon fils que j’irais mieux le lendemain matin et je savais que le Maître m’aiderait. Le lendemain matin, la fièvre était tombée et je me suis sentie légère et détendue. Je me suis levée pour préparer le petit-déjeuner. Mon fils était heureux de voir que j’allais mieux. Une fois de plus, il a vu à quel point Dafa est extraordinaire. Ma belle-sœur, qui s’inquiétait de mon état, est venue me voir. Quand elle a vu que j’allais bien, elle m’a dit avec joie : « Tu m’as fait peur hier, tes lèvres et ton visage étaient violets. C’est formidable que tu puisses cuisiner ce matin. »

Malgré le fait que mon nez a saigné pendant plusieurs jours, j’ai continué à sortir tous les jours pour parler de la persécution aux gens. Je me suis dit : « C’est une bonne chose, le Maître est en train de purifier mon corps ! » Ainsi, quand les saignements de nez ont cessé, mon esprit était plus détendu et plus clair.

De son vivant, mon mari m’avait cassé la jambe et j’ai eu une bosse dure de la taille d’un œuf. Lorsque je faisais la méditation assise, ma jambe me faisait tellement mal que tout mon corps tremblait. Je refusais pourtant de décroiser et poser ma jambe. Pendant plus de six mois, j’ai enduré la douleur, comptant chaque minute et chaque seconde. Chaque minute me paraissait tellement longue, mais j’avais Dafa dans mon cœur et le Maître m’a donné une croyance inébranlable. Lorsque j’atteignais la limite de mon endurance, je récitais à plusieurs reprises le poème de Hong Yin, « Faire souffrir le cœur et la volonté ».

Lorsque j’ai terminé la méditation assise, j’ai découvert qu’à cause de la douleur, j’avais enfoncé un pouce si fort dans l’autre qu’il y avait une blessure profonde. Ce n’est qu’après avoir relâché mes jambes que j’ai ressenti la douleur.

Le Maître a purifié mon corps, par conséquent, je n’ai plus de maladie et lorsque je monte les escaliers, que je marche ou que je fais des tâches ménagères, je me sens légère. J’ai 75 ans cette année. Beaucoup de gens disent que j’ai l’air beaucoup plus jeune. Ma fille m’a dit que ma pratique avait apporté de nombreux bienfaits à ma famille. Comme je suis en bonne santé et que je peux accomplir n’importe quelle tâche, ils n’ont pas à s’inquiéter pour moi. Ils me soutiennent dans ma pratique de Dafa et ont reçu des bénédictions en retour. Leurs affaires sont prospères.

Rien ne peut m’empêcher de sauver des gens

Il y a des pratiquants qui aident à prendre soin de leurs petits-enfants, ce qui fait qu’ils ont quitté l’environnement de la cultivation collective et qu’ils ne font plus les trois choses pour sauver les gens. Certains se contentent de dépenser de l’argent avec des messages sur Dafa imprimés sur des billets de banque, alors que d’autres ont peur de l’utiliser. Ils ont ignoré les indications répétées du Maître. D’autres pratiquants ont progressivement cessé de pratiquer et recherchent la richesse matérielle.

Je me suis dit : « Je ne peux pas laisser mon attachement affectif envers mes enfants m’affecter. » Je sors pour clarifier la vérité et aider le Maître à sauver les gens. Mes enfants ne se plaignent pas. Lorsque ma belle-fille était enceinte, je n’ai pas eu à m’occuper d’elle. Quelles que soient les activités de ma fille, elle n’a pas besoin de moi pour s’occuper de ses enfants. Depuis plus de vingt ans, mes enfants me soutiennent dans ma pratique. Chaque fois que mon fils vient me voir, il achète les meilleurs fruits pour les offrir au Maître. Ma fille achète également des fruits pour les offrir au Maître. De temps en temps, mes enfants et mon gendre m’aident même à clarifier les faits aux gens.

Dire aux gens à quel point Dafa est merveilleux fait désormais partie de ma vie. Un jour, mon fils m’a emmenée chez son meilleur ami pour un repas. Lorsque j’ai commencé à parler de la persécution à son ami, mon fils m’a dit : « Maman, laisse-moi lui en parler. » Il a commencé à expliquer ce qu’est le Falun Dafa et a demandé à son ami de démissionner du PCC. Après avoir accepté de démissionner du PCC, son ami a levé le poing et s’est écrié : « J’ai démissionné du PCC ! »

L’ami de mon fils m’a demandé d’aider sa femme et sa fille à démissionner du PCC. Je leur ai donné une brochure pour les aider à mieux connaître Dafa. Dans le passé, sa famille élevait des porcs et gagnait 200 000 yuans par an maximum. Il leur arrivait parfois de perdre de l’argent. Après que toute la famille a démissionné du PCC et a pris conscience de la valeur de Dafa, en moins d’un an, elle a gagné plus d’un million de yuans. Il voulait offrir un dîner à mon fils.

Lorsque je parle de Dafa aux gens, ils me demandent mon âge. Quand je le leur dis, ils n’arrivent pas à croire que j’ai 75 ans. Une fois, j’étais assise à côté d’un jeune homme dans le bus. Je lui ai parlé de la persécution et il m’a demandé mon âge. Lorsqu’il a appris que j’étais septuagénaire, il a été surpris et a dit : « Vous marchez si vite », sous-entendant que je n’avais pas du tout l’air d’une septuagénaire. Il a accepté avec plaisir de démissionner du PCC. Un jour, un policier m’a attrapée par le bras et m’a demandé : « Comment se fait-il que vous soyez en si bonne forme physique ? » J’ai souri et répondu : « C’est parce que je pratique Dafa. »

Un matin, j’ai croisé un policier en civil. Lorsque je lui ai demandé où il travaillait, il m’a répondu en plaisantant qu’il était un ouvrier. Je lui ai demandé s’il avait adhéré au PCC. Il a répondu par l’affirmative. Je lui ai demandé de renoncer à son adhésion. Lorsqu’il m’a demandé pourquoi, je lui ai clarifié la vérité. Il a sorti son téléphone et m’a montré une photo de lui portant un uniforme de police. Je lui ai tapoté l’épaule et lui ai dit : « Ne persécutez pas le Falun Dafa. » Il m’a répondu : « Vous pouvez partir, je ne veux pas vous arrêter. »

L’année dernière, j’ai clarifié la vérité à une femme. Après avoir accepté de démissionner du PCC, elle m’a pris la main et m’a invitée chez elle pour un repas. J’ai poliment décliné son invitation. Nous nous sommes revues cet été. Elle m’a reconnue et m’a dit de ne pas partir. Elle voulait discuter avec moi et entendre combien Dafa est formidable.

En tant que disciple de Dafa, je n’ai jamais oublié ma mission. Un jour, mes enfants et leurs conjoints m’ont emmenée en vacances. Je ne voulais pas perdre mon temps à admirer le paysage. J’ai préparé des bannières et un parapluie avec un long manche. Sur un site touristique, mon gendre m’a aidée à accrocher une bannière. Il a levé le parapluie et l’a utilisé pour tirer la branche d’arbre vers le bas puis l’a saisie avec l’autre main. J’ai attaché la bannière et relâché la branche. La bannière était suspendue très haut dans le ciel et les touristes qui l’ont vue ont été surpris.

Plus tard, la police a vu la bannière. Au moment de partir, notre voiture a été arrêtée pour être fouillée. J’ai demandé la protection du Maître. Finalement, ils n’ont pas trouvé les autres bannières ni les documents et nous sommes partis en toute sécurité. Grâce à la protection du Maître, j’ai réussi à accrocher des bannières à d’autres endroits.

J’ai deux perches de bambou attachées l’une à l’autre. En collaboration avec d’autres pratiquants, pendant la nuit, nous avons accroché de longues bannières à de grands arbres. Cette année-là, nous avons accroché beaucoup de grandes bannières. Parfois, ma fille me conduisait pour accrocher les bannières. Je n’accroche pas seulement des bannières dans ma région, mais aussi dans d’autres localités lorsque je rends visite à des amis et à des parents.

Pendant toutes ces années, qu’il pleuve ou qu’il vente, rien n’a pu m’empêcher de travailler avec d’autres pratiquants pour clarifier la vérité ou pour accrocher des bannières. Une année, il y avait une couche de neige de plus de trente centimètres d’épaisseur. Les pratiquants et moi avons bravé le vent glacial pour aller accrocher de grandes bannières. Nous sommes sortis à 20 heures, marchant dans la neige épaisse de l’hiver nordique. Nous avons accroché plusieurs dizaines de grandes bannières. Nous n’avions pas froid du tout, mais lorsque je suis rentrée chez moi, j’ai touché la porte et j’ai senti qu’elle était chaude. J’ai touché le mur et il était chaud aussi. J’ai alors réalisé que mon corps était glacé. J’ai regardé l’heure : il était presque minuit. Je me suis empressée d’émettre la pensée droite.

Plusieurs soirs d’été, lorsque nous sortions pour accrocher les bannières, il se mettait soudain à pleuvoir à verse. Nous ne rentrions pas chez nous, mais nous accrochions toutes les bannières. Tout le monde était trempé par la pluie et nos chaussures étaient pleines d’eau. Tant que nous pouvons aider le Maître à valider le Fa, que vaut cette souffrance ? Les bannières que nous avons accrochées avec les mots « Falun Dafa est bon », « Le monde a besoin d’Authenticité-Bienveillance-Tolérance » sont restées longtemps accrochées aux arbres. Personne ne les a enlevées. Une bannière est restée plus de six mois accrochée à un arbre situé à proximité d’une voie ferrée. Les gens qui passaient à cet endroit pouvaient la voir de loin.

Au cours des deux dernières années, la plupart des pratiquants de ma région ont été surveillés. Mais cela ne m’a pas empêchée de sortir pour clarifier les faits. J’ignore les « dates politiquement sensibles » et je sors quand je veux. Je ne me soucie pas de savoir si je suis suivie par la police, car le Maître veille sur moi. La police sait à quelle heure je sors et où je vais pour étudier le Fa. Pourtant, les pratiquants de notre groupe sont très diligents. Notre groupe d’étude du Fa n’a jamais été perturbé et nous ne cessons jamais nos efforts d’aider le Maître à valider le Fa.

Lorsque j’ai été illégalement arrêtée, j’ai étudié le Fa pendant deux jours après avoir été libérée, ensuite je suis ressortie pour clarifier la vérité. Un jour de l’été 2022, je me suis coordonnée avec une autre pratiquante pour aller clarifier la vérité. Dès que je suis sortie de chez moi, j’ai été arrêtée par deux policiers. Ils m’ont demandé pourquoi je pratiquais toujours le Falun Dafa. Je leur ai raconté comment, après avoir commencé la pratique, j’avais guéri de toutes mes maladies. Ils m’ont demandé de changer de croyance. J’ai répondu : « Je suis allée à l’église et au temple, mais rien n’a donné de résultats. Depuis que je pratique le Falun Dafa, j’ai acquis une nouvelle vie. On ne peut pas être ingrat. Je ne peux rien dire de mal sur le Falun Dafa. »

Lorsqu’ils ont pris ma liste de personnes ayant démissionné du PCC et mon téléphone portable, je n’avais qu’une seule pensée : « Ils doivent me rendre cette liste, c’est pour sauver les gens. » J’ai demandé au Maître de me donner la sagesse et de ne pas les laisser trouver d’informations sur mon téléphone portable. J’ai émis la pensée droite. En moins d’une heure, ils m’ont rendu la liste et le téléphone. Cet après-midi-là, le policier m’a demandé de manger et de boire. J’ai répondu : « Je boirai et je mangerai quand je rentrerai chez moi. » J’ai demandé au Maître de me laisser paraître malade. Le poste de police a appelé mes enfants et leur a demandé de me ramener chez moi. Une fois rentrée, j’ai étudié le Fa pendant un ou deux jours et je suis sortie de nouveau pour clarifier les faits face à face.

Au printemps dernier, j’ai de nouveau été illégalement arrêtée. La police m’a menti en disant que d’autres pratiquants avaient signé des déclarations promettant de cesser de pratiquer le Falun Dafa. Je leur ai dit fermement : « Je me fiche de savoir qui d’autre a écrit des déclarations, je n’écrirai rien. » J’ai commencé à leur exposer les faits concernant la persécution. À la fin, le directeur du poste de police a dit : « Puisque vous ne voulez pas faire de déclaration, rentrez chez vous. Vous pouvez pratiquer chez vous ! » Il a demandé à deux jeunes policiers de me raccompagner chez moi. Lorsqu’ils sont sortis de la voiture, ils ont voulu me suivre à l’étage. J’ai crié : « Ne bougez pas ! » Après leur départ, j’ai regardé à l’intérieur. J’ai découvert que j’avais de la rancœur à l’égard des policiers et que j’avais manqué de compassion lorsque je leur avais clarifié la vérité. J’avais également l’esprit de compétition. Lorsque je réussissais bien, j’avais des attachements tels que le désir de me faire valoir, l’exaltation, etc.

J’ai pris le temps pour étudier le Fa et j’ai continué à sortir pour clarifier la vérité aux gens. Avec le Maître pour guide et sous sa protection, rien ne peut m’empêcher de suivre le Maître et d’avancer sur mon chemin !

Le Maître a donné un adorable bébé à ma famille

À cause de son obésité, ma belle-fille avait du mal à tomber enceinte. Elle avait suivi des traitements, mais rien n’y faisait. Le couple était marié depuis plus de dix ans, mais n’avait toujours pas d’enfant. Ma belle-fille a économisé de l’argent pour des traitements de FIV. À cause de la COVID, son projet a été retardé à plusieurs reprises. Après la levée des restrictions, elle et mon fils sont revenus d’une autre ville. Elle voulait demander un bébé au Maître. Elle a offert de l’encens et des fruits au Maître et s’est inclinée respectueusement.

Moins de trois mois après son retour, elle est tombée enceinte. L’année dernière, ma belle-fille âgée de 37 ans a donné naissance à une adorable petite fille. Elle est reconnaissante envers le Maître d’avoir exaucé son souhait. Sa mère et sa sœur étaient ravies.

Je n’ai pas eu besoin de les aider à s’occuper du bébé, car sa mère s’était proposé de le faire. Cependant, en tant que pratiquante, je dois faire preuve de bienveillance à l’égard de ma belle-fille. Je lui ai donné 10 000 yuans et elle était heureuse.

Le Maître m’a donné la détermination de cultiver et de pratiquer ! Je réitère ici ma reconnaissance envers le Maître d’avoir renforcé ma pensée droite !

Traduit de l’anglais