(Minghui.org) Je suis une vieille femme de la campagne qui a reçu peu d’éducation. J’étais faible et malade depuis l’enfance et ma famille était pauvre. On m’a diagnostiqué un cancer pelvien et une tumeur cervicale à l’âge de 42 ans. Ma famille a dépensé tout son argent en traitements et en médicaments, mais mon cancer n’a pas été guéri.

J’ai entendu dire qu’un membre de ma famille pratiquait une sorte de qigong. Je ne savais pas comment cela s’appelait, mais je voulais vraiment l’apprendre. En octobre 1996, j’ai demandé à mon neveu de m’aider (mon mari avait abandonné) et il m’a emmenée à la gare routière dans une carriole. Dans le bus, j’ai rencontré un membre de la famille de la parente que je cherchais. Avec l’aide de personnes bienveillantes, je suis arrivée sans encombre chez ma parente.

Voyant que j’étais émaciée et que j’avais du mal à me tenir debout, ma tante a eu pitié de moi. Elle m’a demandé : « Veux-tu apprendre le Falun Gong ? » J’ai dit oui. Elle m’a fait écouter la vidéo de la conférence du Maître à Guangzhou. Je ne savais pas ce qu’était le Falun Gong à l’époque, j’ai juste regardé et écouté. Parfois, je pouvais comprendre, parfois non, mais je voulais juste écouter. Lorsque j’ai appris les exercices, je devais m’appuyer contre le mur. Même si je me sentais mal, j’ai regardé la vidéo de la conférence du Maître et j’ai pratiqué les exercices avec ma parente tous les jours, sans penser à ma maladie. Au bout de onze jours, j’étais en pleine forme.

Ma parente m’a emmenée à l’hôpital pour un contrôle. Elle a payé le trajet en bus et les frais d’examen. Les résultats du diagnostic ont montré que mon cancer pelvien avait disparu. J’avais sept ou huit tumeurs cervicales auparavant, mais il ne restait qu’une petite cicatrice. Je suis très reconnaissante envers le Maître. Je m’étais allongée dans le bus pour aller chez la parente, mais quinze jours plus tard, c’est assise droite dans le bus que je suis retournée chez moi. C’est le Maître qui m’a sauvé la vie.

Le Maître me sauve à nouveau

Fin 2022, à l’approche du Nouvel An chinois, mon mari et moi avons rangé la maison. Il voulait fixer les angles de l’abri de jardin avec des clous. Il n’arrivait pas à les atteindre et m’a dit : « Comme tu es plus légère, tu peux te mettre sur la machine à laver pour enfoncer les clous. » J’ai essayé et c’était loin d’être gagné. Il a apporté quelques vêtements en coton, les a empilés sur la machine à laver et m’a demandé de me tenir debout dessus. Je n’ai pas réfléchi et je suis montée dessus. Il est allé chercher quelque chose et n’était pas là pour me soutenir. Dès que je suis montée sur les vêtements, je suis tombée de la machine à laver la tête la première.

J’ai heurté la machine à laver, j’ai roulé vers l’arrière et la machine à laver a heurté le tabouret qui se trouvait devant. Deux des quatre pieds du tabouret se sont cassés, laissant un grand creux sur la machine à laver. Lorsque mon mari s’est précipité dans la pièce, il a eu tellement peur qu’il ne pouvait plus bouger. J’ai dit : « Sors-moi vite de là. » Il tremblait lorsqu’il m’a sortie et m’a aidée à m’asseoir. J’ai souri et j’ai dit : « Ça va. Je vais bien. » J’avais presque 70 ans. Sans la protection du Maître, j’aurais été blessée et je me serais cassé des os. Je suis vraiment reconnaissante envers le Maître de m’avoir à nouveau sauvé la vie.

Un jour de la mi-mars de cette année, je suis entrée dans la maison par l’extérieur. Après avoir franchi le seuil, je me suis retournée, tenant la poignée de la porte de la main gauche et le cadre de la porte en acier antivol de la main droite. Mon pouce s’est retrouvé par inadvertance entre la porte et le cadre de la porte. J’ai tiré la poignée de la main gauche et j’ai claqué la porte. À ce moment-là, mon pouce s’est retrouvé coincé entre la porte et le cadre de la porte et j’ai perdu toute sensation. J’étais complètement sonnée. Il m’a fallu un certain temps pour reprendre mes esprits. J’ai lentement ouvert la porte et j’ai retiré doucement mon pouce droit. Je l’ai regardé longtemps et attentivement, et je n’ai constaté ni douleur ni saignement. Il n’y avait aucune déformation. J’ai fondu en larmes. C’est le Maître qui a supporté la douleur pour moi et qui m’a sauvé le doigt. Merci Maître !

Après plus de vingt ans de cultivation, je peux maintenant lire le Zhuan Falun et les autres enseignements du Maître alors que j’ai eu peu d’éducation. J’ai vécu tant de choses miraculeuses que même des milliers de mots ne peuvent décrire le salut compatissant du Maître. Tout ce que je peux faire, c’est être diligente, continuer à m’améliorer et être à la hauteur de la bénédiction du Maître.

Traduit de l´anglais