(Minghui.org) J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1998. Au cours des vingt-six dernières années, j’ai fait face à de nombreux défis et difficultés liés à mes attachements. En même temps, j’ai été témoin de la puissance de Dafa lorsque je me suis assimilée au Fa. J’aimerais partager certaines de mes expériences de cultivation en faisant libérer des pratiquantes détenues.

Travailler comme un seul corps pour faire libérer une pratiquante illégalement détenue

Chang et ma sœur aînée, qui est également pratiquante, ont été arrêtées en 2021, car elles distribuaient des documents sur le Falun Dafa. Après que la police a soumis leur cas au procureur, nous ne savions pas quoi faire pour empêcher le procureur de les inculper.

Alors que la famille de Chang avait engagé un avocat pour plaider coupable pour elle, en échange d’une peine plus légère, j’ai trouvé un avocat pour plaider non coupable pour défendre ma sœur.

Deux autres pratiquantes, Wang, Bai, et moi-même avons fait équipe pour cette libération. Wang est une personne amicale qui a une attitude positive et qui fait attention aux détails. Bai, la soixantaine, est quelqu’un de posé et qui a une pensée droite forte. Nous savions que nous devions clarifier la vérité à ces fonctionnaires afin de changer la situation.

Wang a téléchargé des modèles de documents juridiques sur Minghui.org. Elle et moi avons commencé à rédiger des plaintes contre les agents qui avaient arrêté les pratiquantes et confisqué leurs biens. En plus de déposer les plaintes en ligne, nous avons également envoyé des lettres aux procureurs pour leur clarifier la vérité.

Je me souviens du jour où j’ai envoyé les lettres. J’ai déjeuné puis j’ai émis la pensée droite. En me rendant au bureau de poste, j’ai récité sans cesse le poème du Maître :

« Les grands Éveillés ne craignent pas les épreuves

La volonté taillée dans le diamant

Aucun attachement à la vie ou à la mort

Franc et sans obstacle, le chemin de la rectification de la Loi »

(« Pensée droite, comportement droit », Hong Yin II)

Peu à peu, ma peur a disparu et je me suis sentie grande et forte. Je savais que le Maître était juste à côté de moi, m’encourageant face aux difficultés.

Comme l’avocat que nous avions engagé avait une certaine expérience dans la défense de pratiquants de Falun Dafa, nous nous en sommes trop remis à lui au début et n’avons pas fait grand-chose nous-mêmes. Comme l’avait suggéré un autre pratiquant, nous avons imprimé des comptes-rendus de cas de défense réussis publiés sur Minghui.org et les avons partagés avec l’avocat. Nous lui avons également montré comment télécharger et utiliser le logiciel anti-censure Freegate et nous l’avons encouragé à faire plus de recherches sur la façon dont le Falun Dafa est pratiqué librement dans de nombreux pays en dehors de la Chine.

Lorsque l’avocat a rendu visite à ma sœur au centre de détention, nous lui avons demandé de lui lire l’article du Maître « Cultiver l’intérieur pacifie l’extérieur » et de lui dire que nous émettions la pensée droite pour elle. Comme ma sœur avait aidé de nombreuses personnes du centre de détention à quitter le Parti communiste chinois (PCC), elle a demandé à l’avocat de nous donner la liste des noms de ces personnes. Entre-temps, certains pratiquants avaient envoyé à Minghui.org des comptes-rendus sur la façon dont ils avaient été persécutés.

De mauvaises nouvelles sont arrivées en décembre : Chang et ma sœur avaient toutes deux été condamnées à une peine de prison. Nous nous sommes calmées pour regarder à l’intérieur : nous n’avions probablement pas suffisamment clarifié la vérité auprès des personnes chargées de l’affaire. Nous aurions dû leur parler en face à face au lieu de leur envoyer des lettres. Peut-être que nous avions compté sur l’avocat pour faire des choses que nous n’avions pas très envie de faire nous-mêmes. Quoi qu’il en soit, nous devions élever notre xinxing et étudier davantage le Fa.

Après que Chang et ma sœur ont fait appel des verdicts, nous avons passé beaucoup de temps à décider si nous devions engager un avocat ou non cette fois-ci. Notre avocat nous a dit que l’audience d’appel n’était qu’une procédure ; souvent, il n’y avait même pas d’audience, car les juges se contentaient de confirmer leurs verdicts initiaux. Il nous a dit que nous ne devrions pas gaspiller notre temps et nos efforts en engageant un avocat.

Bien que nous trouvions cela incroyable, nous avons émis la pensée droite et demandé au Maître de nous aider à obtenir une audience, afin que davantage de personnes puissent entendre la vérité. J’ai également décidé d’être le défenseur non-juriste de la famille pour ma sœur.

Faire preuve d’initiative

Nous avons décidé de rencontrer la juge, présidente du tribunal intermédiaire, sachant qu’il n’y avait rien à craindre. C’est la perversité qui a peur que nous dévoilions ses mensonges.

Nous avons préparé les documents d’après les modèles que nous avions téléchargés sur Minghui.org et nous avons apporté des modifications en fonction des suggestions de l’avocat et des pratiquants. Nous avons ensuite pris rendez-vous avec la présidente du tribunal.

En attendant la juge dans le hall du tribunal, je me sentais mal à l’aise et tendue. Bai m’a dit de me détendre et a suggéré que nous émettions la pensée droite. Au bout d’un moment, Wang a appelé la juge, qui nous a dit de la retrouver au bureau des appels. Wang et moi sommes allées voir la juge, et Bai est restée dans le hall pour continuer à émettre la pensée droite.

La juge avait un regard grave et nous a demandé pourquoi nous étions là. Je me suis présentée et je lui ai expliqué l’affaire. Je lui ai dit que ma sœur avait été condamnée à tort et j’espérais qu’elle allait l’acquitter. Elle m’a répondu qu’elle n’était pas habilitée à prendre une telle décision, car il y avait des instructions internes venant d’en haut. Nous lui avons tout de même remis la demande d’appel et avons exigé que l’affaire soit entendue publiquement.

Elle a pris les formulaires de demande et nous a demandé de partir. Nous lui avons alors remis une lettre qui expliquait les faits relatifs au Falun Dafa et l’avons priée de prendre la bonne décision. Elle s’est énervée après l’avoir lue et nous a ordonné de partir immédiatement. Son attitude ne nous a pas émues, mais nous étions tristes pour elle.

Bai était encore en train d’émettre la pensée droite quand nous sommes sorties. Elle nous a demandé comment cela s’était passé. Je lui ai dit que tout s’était bien passé et que la juge avait pris nos documents. Bai a vu la lettre de clarification de la vérité dans ma main et a demandé pourquoi je ne l’avais pas donnée à la juge. Après que je lui ai dit que la juge s’était énervée et ne voulait pas la prendre, Bai a dit : « Alors nous allons donner la lettre à son assistant et lui demander de la lire. »

Nous avons appelé l’assistant pour lui dire que nous avions d’autres documents pour la juge. Il nous a demandé de monter à l’étage pour les lui remettre. Wang et Bai lui ont remis la lettre et l’ont encouragé à la lire attentivement. Il a acquiescé en souriant.

Se rendre trois fois au poste de police

Pour être le défenseur familial non juriste de ma sœur, je devais me rendre dans un poste de police afin d’obtenir des preuves de notre lien familial. J’étais très stressée, car je n’avais jamais mis les pieds dans un poste de police. Au bureau d’enregistrement des ménages du poste de police, une jeune femme m’a demandé d’attendre pendant qu’elle sortait une grosse liasse de papiers jaunis. Elle a feuilleté les pages pendant un long moment avant de trouver les informations relatives à ma famille. Elle m’en a fait une copie et je me suis sentie soulagée.

J’ai remis la preuve à la juge, qui l’a refusée en disant qu’elle ne précisait pas le lien de parenté entre ma sœur et moi. Je suis retournée au poste de police pour obtenir une autre copie. La jeune femme m’a dit qu’elle avait toujours fourni les preuves de cette manière et qu’elle n’avait jamais eu de problème. Je lui ai raconté ce que la juge avait dit, et elle a ressorti la grosse liasse de papier, a trouvé mes informations, les a copiées et a spécifié le lien entre ma sœur et moi. Je l’ai remerciée et me suis sentie à nouveau soulagée.

Lorsque j’ai présenté la preuve à la juge, celle-ci a encore refusé de la prendre, disant que le sceau n’était pas assez clair et que j’aurais pu le falsifier. Elle a également exigé que deux personnes signent la preuve pour prouver son authenticité. Elle était déterminée à me rendre la vie dure et à me dissuader de défendre ma sœur. J’ai vu que j’avais un attachement à redouter les ennuis. J’ai émis la pensée droite et j’ai demandé l’aide du Maître.

Bientôt, j’ai vu un mot apparaître dans le ciel, « Accomplissement ». J’ai compris que le Maître me testait pour m’aider à accomplir ma mission. Cette nuit-là, en faisant la méditation, j’ai senti que mon corps était léger, comme s’il flottait, et il y avait des Falun qui tournaient sur moi. C’était une sensation vraiment agréable, étonnante et magnifique. Je savais que le Maître m’encourageait.

Je suis retournée au poste de police, sachant que c’était l’arrangement du Maître. La jeune femme n’était pas là, alors j’ai expliqué à une autre employée ce qui s’était passé précédemment. Elle m’a dit que la juge faisait des difficultés parce que le tampon était en cuivre et que son empreinte n’était pas aussi claire que celle d’un tampon en caoutchouc. Je lui ai clarifié la vérité et lui ai dit que j’avais besoin de cette preuve pour défendre ma sœur, qui était emprisonnée pour sa croyance. Elle s’est montrée compréhensive et a demandé à la jeune femme de me faire une autre copie de cette preuve. En fin de compte, j’ai obtenu une nouvelle copie de la preuve, l’employée y a apposé deux fois son cachet et m’a aidée à obtenir deux signatures.

Je me suis dépêchée de retourner au centre de détention parce qu’une audience devait s’y tenir le matin même. Après avoir remis le document à la juge, celle-ci l’a regardé et m’a dit d’entrer. J’ai enfin eu l’autorisation d’être le défenseur familial de ma sœur.

Persuader le chef de la division de l’application des lois de démissionner du PCC

Tous les lundis, au palais de justice, un responsable organisait des rencontres autour d’un café pour aider les gens avec leurs questions juridiques. Nous avons décidé de nous y rendre et de lui clarifier la vérité.

Wang et moi avons parlé au chef de la division de l’application des lois, tandis que Bai est restée dans le hall pour émettre la pensée droite. Le chef m’a demandé quel était mon problème. Je lui ai dit : « C’est un dossier concernant le Falun Gong. » Il est resté silencieux pendant un moment et a dit qu’il avait déjà traité des cas similaires plusieurs années auparavant.

Lorsque je lui ai demandé comment il avait traité ces affaires, il m’a répondu : « Bien évidemment, ils ont été reconnus coupables et condamnés. »

Je lui ai parlé de l’histoire du PCC et de la raison pour laquelle l’ancien dirigeant chinois Jiang Zemin avait lancé la persécution. J’ai poursuivi en lui disant que le Falun Dafa avait été adopté par des personnes dans plus de 100 pays et régions du monde et qu’il avait reçu des milliers de récompenses. Il était d’accord avec ce que je disais, mais lorsque je lui ai demandé de démissionner du PCC et de ne pas être entraîné dans sa chute à l’avenir, il est resté silencieux.

Wang lui a dit : « Le PCC a fait beaucoup de mal. Les divinités puniront certainement ses membres pour ce qu’ils ont fait. Vous devez vous en éloigner, et démissionner du PCC est la meilleure chose que vous puissiez faire. »

Il a finalement acquiescé et nous a dit de l’appeler si nous avions besoin d’aide. Nous étions heureux pour lui.

Se débarrasser de l’attachement à sauver la face

Voilà plusieurs mois que l’audience préliminaire a eu lieu. J’ai appelé la présidente du tribunal pour lui demander quand une audience officielle serait fixée et on m’a dit d’attendre. Lorsque j’ai rappelé quelques jours plus tard, elle n’a plus répondu à mes appels.

Je me suis rendu compte que je ne l’avais pas traitée avec compassion, comme je l’aurais fait avec une véritable amie. J’ai appelé son assistant et lui ai demandé pourquoi la juge ne prenait pas mes appels. L’assistant m’a dit que les pratiquants étrangers avaient passé tellement d’appels au bureau qu’ils avaient presque paralysé la ligne téléphonique et entravé leur travail.

Le lendemain, je me suis rendue au palais de justice. Je n’ai pas été autorisée à entrer à cause des mesures de lutte contre la pandémie. Le temps était nuageux et il allait pleuvoir. J’ai émis la pensée droite à l’extérieur avant d’appeler la juge. Elle a décroché tout de suite et m’a demandé ce que je voulais. J’ai répondu : « Pas grand-chose, je voulais juste m’excuser. Nous nous sommes vues plusieurs fois et j’ai peut-être dit ou fait quelque chose d’inapproprié, je vous prie de m’excuser. S’il vous plaît, essayez d’en apprendre plus sur la vérité du Falun Dafa, et choisissez-vous un bel avenir. » Pour finir, je lui ai souhaité bonne chance, ainsi qu’à sa famille. Elle a dit « d’accord » avant de raccrocher.

J’étais heureuse qu’elle ait accepté mes excuses. Bien que j’aie une haute estime de moi-même, j’ai abandonné mon orgueil pour qu’elle soit sauvée, et j’ai fait ce qu’une pratiquante doit faire.

Les audiences en appel

Ne connaissant pas la date de l’audience, nous sommes allées émettre la pensée droite à l’extérieur du palais de justice. Wang a vu une personne, qui était l’un des directeurs du tribunal. Elle s’est approchée de lui pour lui clarifier la vérité.

Alors qu’ils parlaient du Falun Dafa, cette personne a demandé : « Ne s’agit-il pas d’une affaire concernant deux personnes ? L’une d’entre elles est assez âgée. Je crois que l’audience a lieu demain. »

Après que Wang a confirmé ces informations avec lui, nous sommes restées debout cette nuit-là pour préparer notre défense. Le tribunal ne nous a informées de l’audience qu’à 8 heures du matin le lendemain. Mais nous avions déjà terminé de nous préparer et nous savions que le Maître nous avait aidées.

C’était une journée ensoleillée, je portais un chemisier en soie bleue et j’étais de bonne humeur. De nombreux pratiquants sont venus au centre de détention, où se tenait l’audience, pour émettre la pensée droite. Je savais qu’il s’agissait d’une bataille entre le bien et le mal, et que les êtres divins étaient avec nous.

L’avocat engagé par l’autre pratiquante détenue a de nouveau plaidé coupable pour elle. J’ai été bouleversée et j’ai pensé : « Est-ce que ça veut dire que ma sœur a également plaidé coupable pendant sa détention ? Si c’est le cas, qu’est-ce que je fais ici ? » J’avais la tête vide.

À ce moment-là, la juge m’a demandé de commencer ma défense. J’ai demandé à la juge de me laisser poser d’abord une question à l’appelante, ce qu’elle a accepté. J’ai demandé à ma sœur :« Est-ce que tu plaides coupable ? » Elle a répondu : « Non, je n’ai commis aucun acte répréhensible. » Je me suis calmée et j’ai commencé à lire ma défense.

« Sur la base des faits constatés dans cette affaire, nous présentons la défense suivante : tout d’abord, un comportement criminel doit mettre en danger la société et être pénalement responsable en vertu du droit pénal. Le comportement de l’appelante n’a pas mis en danger la société. Elle est une pratiquante de Falun Gong qui vit selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Les pratiquants de Falun Gong sont honnêtes, gentils, attentionnés et ne répliquent jamais lorsqu’ils sont frappés ou humiliés. La liberté de croyance est un droit constitutionnel des citoyens. La croyance et la diffusion du Falun Gong ne nuisent à personne dans la société.

Deuxièmement, le Falun Gong est une croyance juste, pas une secte. Il est erroné de condamner l’appelante sur la base de l’article 300 du droit pénal. »

À ce moment-là, le procureur général m’a interrompue et m’a menacée. La présidente du tribunal m’a dit de lui donner la déclaration de la défense et d’arrêter de la lire. Je me suis dit : « Je ne suis pas venue ici pour faire ce que vous me dites de faire. »

J’ai continué à lire, mais seulement les sous-titres du reste de la déclaration de défense : « Troisièmement, il n’y a pas de faits clairs ni de preuves suffisantes pour accuser l’appelante d’avoir “utilisé une organisation sectaire pour saper l’application de la loi”. Quatrièmement, les preuves photographiques répertoriées dans cette affaire ne sont pas suffisamment claires pour montrer qui était là et ce que ces personnes faisaient. »

À la fin, j’ai déclaré : « Aujourd’hui, je vous expose les faits concernant le Falun Dafa parce que je ne veux pas que des personnes innocentes comme vous soient impliquées dans la persécution. La persécution des croyances n’a jamais réussi dans l’histoire. J’espère sincèrement que vous examinerez cette affaire avec bonté et sagesse et que vous déclarerez la pratiquante de Falun Dafa non coupable. J’espère que vous vous choisirez un avenir radieux. »

Tout le monde écoutait en silence, comme si l’air était figé. À cet instant, les éléments pervers des autres dimensions ont été démantelés.

Après l’audience, le juge du tribunal de première instance s’est approché et m’a menacée : « Vous finirez comme votre sœur. »

Je lui ai répondu : « Non, ce n’est pas à vous d’en décider. »

Ramener ma sœur à la maison

Après l’audience d’appel, un membre de la famille s’est rendu au centre de détention pour exiger que ma sœur soit libérée. Elle souffrait d’une grande détresse psychologique dans le centre de détention et une grosse tumeur s’était développée dans son corps. Elle avait perdu beaucoup de poids et sa santé s’était détériorée. Le traitement qu’elle avait reçu dans le centre de détention ne l’avait pas aidée et le tribunal avait refusé de la libérer sous caution.

La personne de la famille a dit à la réceptionniste : « Elle allait bien quand elle est arrivée, mais elle est tombée très malade en quelques mois. Si elle ne survit pas, je vous tiendrai pour responsable. Si vous ne la libérez pas aujourd’hui, j’appellerai la hotline du maire tous les jours. »

La réceptionniste a essayé de le calmer, mais il a dit : « Dites à votre directeur de venir nous voir ici. »

La réceptionniste est allée dans les bureaux et est revenue avec quelqu’un. Cette personne nous a dit que le directeur n’était pas là, mais qu’il pouvait nous aider. Après avoir pris connaissance de notre intention, il nous a réconfortés et nous a dit de rentrer d’abord chez nous. Nous avons continué à parler avec lui pendant un certain temps avant de partir.

Le lendemain, le juge m’a appelée tôt le matin et m’a dit d’aller remplir les papiers pour la libération de ma sœur.

Après cette longue bataille juridique, nous nous sommes tous sentis touchés et émus lorsque nous avons vu ma sœur. Nous avons remercié le Maître pour sa compassion sans limites. Le Maître a tout arrangé. Il nous a également débarrassés de nos attachements pendant le processus pour faire libérer ma sœur et nous a aidés à accomplir notre mission.

Traduit de l’anglais