(Minghui.org) J’ai plus de 80 ans. J’ai travaillé pour le gouvernement chinois avant de prendre ma retraite. Je connais donc de nombreux fonctionnaires. J’ai profité de l’occasion pour rendre visite à des parents et à des amis dans de nombreux endroits. Je leur ai parlé de Dafa et je les ai encouragés à démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse.

La gouverneure à la retraite a dit : « Je démissionne »

Le Maître a dit :

« Surtout pour ces fonctionnaires du gouvernement, ne regardez pas leur poste, à l’époque où Maître transmettait cette grande Loi, aussi je regardais seulement l’homme, je ne regardais pas leur position dans la société, ni une forme quelconque d’organisation d’un groupe, il n’y a pas de discrimination de profession, je ne regarde rien sinon le cœur de l’homme. Vous ne devez pas les considérer comme de hauts fonctionnaires, vous êtes en train de leur sauver la vie. Ce qu’ils font n’est qu’un travail ici parmi les gens ordinaires, aujourd’hui on le laisse faire, il est un fonctionnaire, si demain on ne le laisse plus faire, il n’est plus rien du tout, donc, apporter le salut aux gens, sauver les gens ne regardent pas ces choses là. » (Enseignement du Fa au moment de la Fête de la lanterne de l’an 2003)

J’ai suivi les enseignements du Maître. Quels que soient l’importance, la renommée, la distinction ou le rang des fonctionnaires, qu’il s’agisse de fonctionnaires provinciaux, municipaux, préfectoraux ou de districts, je clarifiais la vérité sur Dafa, je leur donnais des documents d’information sur le Falun Dafa et je les persuadais de démissionner des organisations du PCC.

Une fois, j’ai profité d’un voyage pour rendre visite à une vieille amie, l’ancienne gouverneure. J’ai apporté des cadeaux et des documents de clarification de la vérité. Je lui avais déjà donné des documents de clarification de la vérité auparavant. Elle était particulièrement heureuse de me voir et m’a dit joyeusement : « Vous avez toujours l'air si jeune, si belle et intemporelle après tant d’années ! »

Nous avons bu du thé et discuté dans le salon. Je lui ai raconté mon histoire : « Vous ne me trouvez pas vieille parce que je pratique le Falun Gong (également appelé Falun Dafa). J’ai souffert de toutes sortes de maladies, notamment d’ulcères gastriques, de rhumatismes et de maladies coronariennes. J’étais malade de la tête aux pieds et j’étais hospitalisée chaque année. Ni la médecine traditionnelle chinoise ni la médecine occidentale ne pouvaient me guérir. Les remèdes populaires ne m’ont pas aidée non plus. »

J’ai poursuivi : « Un responsable du district militaire provincial m’a présenté une femme maître de qigong, qui était venue chez moi à deux reprises et m’avait soignée parce que j’étais malade. En partant, elle m’a dit : « Votre maître est dans le nord-est. Il est de très haut niveau. Il viendra vous chercher tôt ou tard ! Elle m’a demandé d’être patiente. J’ai attendu patiemment et je me suis réjouie à l’avance. J’avais même l’intention de devenir moine. J’étais paralysée dans mon lit, car mon état s’aggravait. »

L’ancienne gouverneure m'a demandé avec surprise : « Quel âge aviez-vous alors ? Comment avez-vous été finalement guérie ? »

J’ai répondu : « Je n’avais qu’une cinquantaine d’années à l’époque. J’avais l’impression que des nuages noirs planaient au-dessus de moi et que tout était sans espoir. J’ai crié dans mon cœur : « Qu’un être divin me débarrasse de mes maladies. » Au bord du désespoir, un collègue m’a dit, au cours de l’été 1996, qu’un maître de qigong du nord-est donnait des cours à Jinan et qu’il était très doué pour guérir les maladies. Dès que j’ai entendu parler du maître de qigong du nord-est, je me suis dit : « Mon maître est-il vraiment ici ? » J’ai décidé d’aller assister au cours immédiatement.

« Mon lieu de travail a organisé une voiture pour m’emmener à Jinan. Le chauffeur m’a emmenée au cours. Les trois premiers jours, je n'ai pas pu m'asseoir correctement. Le quatrième jour, après avoir pratiqué le Falun Gong le soir, j’ai pu miraculeusement marcher toute seule. Mes jambes ne me faisaient plus mal et je me sentais légère dans tout mon corps.

« Ma mère âgée a été ravie de voir les changements qui s’opéraient en moi et a commencé à pratiquer Dafa à son tour. Je ne peux décrire à quel point j’étais heureuse à ce moment-là. J’ai remercié le Maître du fond du cœur et j’ai décidé de pratiquer le Falun Gong à partir de ce moment-là. Rapidement, toutes mes maladies ont été guéries. »

L’ancienne gouverneure a soudain compris et a dit : « Oh ! Vous avez donc amélioré votre santé en pratiquant le Falun Gong ! Il semble que ce Falun Gong soit vraiment extraordinaire ! »

J’ai répondu : « Oui, le Falun Gong est vraiment bon. Il est miraculeux lorsqu’il s’agit de guérir les maladies et de rester en forme. Vous devriez l’essayer. Non seulement il m’a donné un corps en bonne santé, mais il m’a aussi aidée à comprendre le sens de la vie et la manière dont un être humain devrait se comporter. »

J’ai également fait part de nombreux faits concernant le Falun Gong, en m’appuyant sur mes expériences personnelles. J’ai demandé à l’ancienne gouverneure : « Le Falun Gong n’est-il pas bon ? ». Elle a répondu : « En effet. Pourquoi ne pas continuer à le pratiquer ! »

Je lui ai dit : « Il y a quelques années, je vous ai dit qu’il fallait démissionner du Parti pour être en sécurité. Savez-vous que ce n'est pas moi qui vous aide, mais des êtres divins. Pourquoi ne pas démissionner cette fois-ci ? » Elle a accepté de démissionner.

Avant de partir, je lui ai donné d’autres dépliants de clarification de la vérité. Elle les a pris à deux mains et m’a dit qu’elle les lirait attentivement pour les comprendre plus en détail.

Oublier les griefs du passé pour sauver le directeur du Bureau 610

Le 20 juillet 1999, Jiang Zemin a amené le PCC à persécuter le Falun Gong. Les émissions télévisées étaient remplies de mensonges ; c’était accablant.

Dès que la persécution a commencé, le directeur du Bureau 610 de mon unité de travail a conduit un groupe d’agents de police à mon domicile. Ils se sont assis en cercle, comme si j’étais la cible d’une réunion de dénonciation et ont utilisé des tactiques dures et douces pour me forcer à abandonner la pratique du Falun Gong.

J’ai utilisé mon expérience personnelle avec tact pour expliquer la beauté de Dafa et je leur ai dit que Dafa avait été calomnié et accusé à tort. Le directeur du Bureau 610 a vu que je restais ferme et que je n’abandonnerais pas la pratique. Il a envoyé des agents en civil pour me suivre et surveiller mes moindres faits et gestes. Il y avait souvent des agents en civil qui se promenaient autour de ma maison.

Pendant les vacances et les jours sensibles, comme lorsque le Parti pervers tient des réunions, le directeur du Bureau 610 a fait venir lui-même la police chez moi. Je leur ai expliqué les faits à plusieurs reprises, mais ils n’ont pas voulu m’écouter. Ils n’ont pas cessé d’interférer avec moi et de me persécuter depuis plus de vingt ans.

Au début de cette année, j’ai appris par hasard que le directeur du Bureau 610 était atteint d’un cancer en phase terminale. Quiconque comprend sait qu’il s’agit d’un châtiment karmique pour sa participation active à la persécution du Falun Gong.

Je me suis sentie triste en entendant cela et j’ai voulu lui donner une autre chance. Indépendamment de mes griefs passés et avec de la compassion dans mon cœur, je lui ai rendu visite, en apportant des documents de clarification de la vérité sur Dafa. Il a été surpris et un peu gêné de me voir lui rendre visite en personne. Il a demandé à sa famille de me servir du thé et des fruits. Je lui ai posé des questions sur son état de santé, puis je lui ai raconté d’autres faits concernant le Falun Gong.

J’ai parlé de l’épidémie qui s’est produite au cours des trois dernières années ; un grand nombre de fonctionnaires du PCC, ainsi que des universitaires et des célébrités qui soutenaient le PCC, sont morts les uns après les autres. En particulier, des personnes travaillant pour le Bureau 610 sont mortes et celles qui sont mortes étaient de plus en plus jeunes. Ceux qui soutenaient encore le PCC, qui refusaient de se retirer des organisations du PCC ou qui participaient à la persécution sont les plus pitoyables.

Le directeur a approuvé mes paroles et a continué à hocher la tête. Il semblait que cette fois-ci, il avait entendu la vérité sur le Falun Gong. En fait, il s’occupait du Falun Gong depuis plus de vingt ans et savait ce qu’était réellement le Falun Gong. Il était seulement aveuglé par le pouvoir et les mensonges du Parti pervers, ainsi que par ses propres intérêts.

Je lui ai dit que réciter « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » avait un effet miraculeux sur la guérison des maladies et le maintien de la forme physique. Il l’a accepté. Il a également accepté de démissionner du PCC et a pris les documents de clarification de la vérité sur Dafa que je lui ai donnés.

J’étais heureuse de voir qu’il comprenait enfin la vérité sur Dafa et qu’il reconnaissait clairement que le fait de travailler pour le Parti pervers le conduirait à sa perte.

Traduit de l’anglais