(Minghui.org) [Note de la rédaction : de nos jours, les gens pensent qu’il est stupide d’être une bonne personne, mais en fait ce n’est pas le cas. Les gens peuvent sembler s’en tirer avec la tromperie, la prostitution et le vol pendant une courte période, mais à long terme, la rétribution suivra. Ce n’est qu’en étant une bonne personne que l’on peut récolter des récompenses à long terme. En particulier, lors de catastrophes naturelles, les personnes ayant une haute moralité sont celles que Dieu est prêt à protéger.]

Bonjour bienveillant Maître !

Bonjour compagnons de cultivation !

J’ai 72 ans et j’ai commencé à cultiver le Falun Dafa en 1998. Avant de pratiquer, j’étais accablée par de nombreuses maladies, sans espoir de recouvrer la santé. Au cœur de mes souffrances, j’ai eu la chance de rencontrer le Falun Dafa. J’ai pu continuer à vivre dans ce monde. Je suis reconnaissante envers le Maître qui m’a sauvée et qui m’a donné la possibilité de cultiver.

En obtenant Dafa en plein désespoir, ma vie est devenue radieuse

Avant d’obtenir le Fa, je souffrais de bronchite, d’asthme, de tachycardie sinusale, d’une hernie discale lombaire, d’arthrite, de néphrite, de gastrite atrophique et d’une irrigation sanguine insuffisante du cerveau. J’étais souvent en état de choc. J’ai cherché partout des conseils médicaux, mais mon état ne s’est pas amélioré du tout. On m’a alors diagnostiqué des fibromes utérins, qui se sont ensuite développés sur mes ovaires quelque temps après avoir été opérés et sont devenus cancéreux.

Le plus douloureux, c’était la bronchite asthmatique. La toux violente m’essoufflait. Surtout la nuit, je ne pouvais pas m’allonger. Dès que je m’allongeais, je toussais violemment et je devais immédiatement me redresser. Un soir, j’ai regardé le ciel nocturne et j’ai crié dans mon cœur : « Dieu, pourquoi ma vie est-elle si dure ? » J’ai passé d’innombrables nuits blanches comme celle-ci, en souffrance. Je me sentais désespérée par cette douleur interminable due à la maladie.

Alors que j’étais désespérée et au seuil de la mort, une collègue est venue me voir et m’a dit : « J’ai commencé la pratique du Falun Gong et ma maladie a été guérie. » J’avais enfin une lueur d’espoir de vivre. Le lendemain, elle m’a emmenée sur un lieu d’étude du Fa pour regarder une vidéo des enseignements du Maître. La grande compassion du Maître m’a étreinte. Je ne m’étais jamais sentie aussi à l’aise, aussi heureuse. J’ai écouté la conférence du Maître les larmes aux yeux.

J’ai dormi profondément cette nuit-là. Lorsque je me suis réveillée le matin, mon cœur était radieux dans le soleil levant, et mes douleurs et ma dépression avaient disparu. J’ai retrouvé le sourire que j’avais perdu depuis longtemps. J’ai crié du fond du cœur : « J’ai un Maître ! Je suis sauvée ! » J’ai regardé le portrait du Maître et je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer : « Maître ! J’ai lutté avec cette souffrance pendant la plus grande partie de ma vie. Aujourd’hui, je vous ai trouvé ! Je veux cultiver avec vous jusqu’à la fin. »

Persévérer dans la cultivation durant la persécution

En 2002, j’ai été arrêtée pour avoir publié des informations de clarification de la vérité et condamnée illégalement à trois ans de prison. J’ai été persécutée dans la prison pour femmes de la province. Ma division était la plus brutale de la prison pour femmes. Comme je refusais d’être « transformée », j’ai subi toutes sortes de tortures. Chaque jour, deux prisonnières me surveillaient. Mes déplacements étaient limités et j’étais souvent battue par les deux prisonnières chargées de me surveiller.

Au début, j’avais de la rancune contre elles, mais je m’en suis débarrassé par la suite. La prisonnière Amei était chef d’équipe et je lui ai dit la vérité. J’ai dit : « Les pratiquantes de Dafa mangent et vivent avec vous tous les jours, est-ce que l’une d’entre nous a eu un mauvais comportement ? Ne soyez pas une arme pour les autres, vous nous battez et nous insultez, le Parti communiste portera-t-il ce karma pour vous ? Le bien et le mal recevront leur juste rétribution, vous devrez assumer vous-même ce que vous faites. » Comme je lui disais souvent la vérité avec compassion et que je la traitais gentiment du fond du cœur, ses mauvaises actions ont été réprimées et elle a cessé de me battre.

La prisonnière Beihua était chargée de me surveiller. Elle était très méchante. J’avais l’âge de sa mère, mais elle ne faisait preuve d’aucune pitié lorsqu’elle me battait. Une fois, pour son anniversaire, j’ai utilisé l’argent que mon fils avait économisé pour moi pour lui acheter un poulet rôti et de la nourriture en conserve au supermarché de la prison. Je lui ai dit : « Quel que soit le sort qui nous est réservé ici, nous nous connaissons après tout. Aujourd’hui, c’est votre anniversaire, alors je vous ai acheté quelque chose. Je vous souhaite un joyeux anniversaire ! » Elle m’a répondu : « Oh mon Dieu. Je t’ai battue comme ça, pourquoi m’achètes-tu quand même de la nourriture délicieuse ?! » J’ai répondu : « Les pratiquants de Dafa ne sont pas rancuniers. Nous n’avions pas de griefs dans le passé, pas de haine. Si vous me battez, n’êtes-vous pas utilisée ? Vous ne comprenez pas la vérité. Si vous compreniez la vérité, vous ne me battriez pas. Vous avez été trompée et ils profitent de vous. » Elle a été tellement impressionnée par ma sincérité qu’elle a cessé de me battre après cela.

L’agente de prison Cai était la gardienne la plus méchante de la prison. Comme je refusais d’être « transformée », elle me battait violemment. Mais peu importe à quel point j’étais battue, je n’ai pas cédé. Je lui ai dit plus tard : « J’ai commencé la pratique du Falun Gong parce que j’étais malade. Si je n’avais pas pratiqué le Falun Gong, ma vie serait terminée depuis longtemps. » Lorsqu’elle a essayé tous ses stratagèmes, voyant que je restais déterminée, elle m’a laissée tranquille.

Pendant ces trois années de persécution en prison, j’ai mis de côté la vie et la mort pour défendre Dafa et je n’ai pas succombé à la perversité. Sous la protection du Maître, je suis sortie de la tanière noire avec dignité.

Me cultiver et inspirer ma famille

Le PCC a persécuté Dafa et a empoisonné les êtres avec des mensonges, amenant le monde à haïr les pratiquants de Dafa. J’ai été condamnée pour ma pratique du Falun Gong. Après avoir été persécutée, mes amis ont fait comme s’ils ne me connaissaient pas et ils ont disparu, et mes proches m’ont mise à l’écart.

Mon mari était soldat. Je ne savais pas grand-chose de lui jusqu’à notre mariage. Je l’ai trouvé très égoïste et irresponsable. Il avait perdu ses parents lorsqu’il était enfant, et il avait beaucoup de mauvaises habitudes. Après le début de la persécution du Falun Gong par le PCC, il s’est rangé du côté du Parti. Il a détruit des livres de Dafa et des portraits du Maître, et il m’a battue.

Quand je n’arrivais pas à maintenir mon xinxing, je me disputais aussi avec lui. Je me plaignais à lui : « J’ai subi d’innombrables épreuves et péchés avec toi toute ma vie. Tu n’as pas pris soin de moi. Je pratique maintenant le Falun Gong, qui a guéri toutes mes maladies, et pourtant tu viens me battre. »

Pendant les trois années où j’ai été emprisonnée à tort, mon mari ne m’a pas rendu visite une seule fois. Lorsque je suis rentrée de prison, j’ai vu une parure pour une coiffure de femme dans la chambre de mon mari. J’ai compris qu’il avait une liaison. Je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer.

Mon fils s’est marié pendant que j’étais persécutée en prison. Ma petite-fille est née peu après mon retour. Nous vivions ensemble à cette époque. Je devais faire toutes les tâches ménagères et cuisiner pour toute la famille. Ma belle-fille était très réticente à être près de moi parce que je pratiquais le Falun Gong. Elle ne faisait rien à la maison et je lavais ses vêtements. Je devais cuisiner selon ses goûts. Elle ne me parlait même pas.

Comme j’avais trop de tâches ménagères et trop peu de temps pour étudier le Fa et pratiquer, j’avais beaucoup de rancœur en moi. J’en voulais à mon mari d’avoir une liaison. J’en voulais à ma belle-fille. J’avais l’impression que ma cultivation était très difficile et fatigante. Un jour, j’ai échangé avec une compagne de cultivation et elle m’a dit : « Tu n’as pas abandonné tes sentiments. Il a eu une liaison. Peu importe à quel point ton mari est mauvais, cela aura-t-il un impact sur ta cultivation ? Non seulement cela n’affectera pas ta cultivation, mais cela t’aide à éliminer ton karma, à te débarrasser de tes attachements et à t’élever. »

Elle m’a rappelé de me souvenir de ce que le Maître a dit :

« Les choses que vous rencontrez au cours de votre cultivation et pratique — qu’elles soient bonnes ou mauvaises — sont toujours de bonnes choses, car cela apparaît uniquement parce que vous êtes en train de cultiver et pratiquer. » (« À la Conférence de Loi à Chicago », Points essentiels pour un avancement diligent III)

J’ai fait plus d’efforts pour étudier le Fa. J’ai essayé d’être gentille avec mon mari du fond du cœur et de prendre soin de lui. Je lui ai préparé des repas. J’avais déjà cuisiné pour lui auparavant, mais à l’époque, je l’avais fait avec tant de rancœur. Maintenant, j’essayais de bien le traiter du fond du cœur. Il l’a senti et a progressivement changé. Pendant son temps libre, il prenait l’initiative de discuter avec moi et de dire quelque chose du fond du cœur.

Ma belle-fille n’avait jamais compris ma cultivation de Dafa, et n’était pas non plus d’accord avec Dafa. Un jour, avec des larmes dans les yeux, elle a dit : « Maman, le médecin m’a dit que j’avais un cancer du col de l’utérus. J’ai très peur. Je suis encore jeune, mes enfants sont encore jeunes, que puis-je faire ? » Je l’ai réconfortée et lui ai dit : « N’aie pas peur, il y a un moyen, tu vois que je pratique le Falun Gong depuis plus de vingt ans, et je n’ai jamais été malade. Je n’ai jamais pris de médicaments. Tu sais tout cela. Même si tu ne cultives pas, tant que tu récites sincèrement “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”, tu seras capable de transformer le mal en bonne fortune. Dafa est tout puissant. »

En entendant cela, elle a demandé : « Est-ce que ça marchera, si je le récite ? » J’ai répondu : « Cela dépend si tu es sincère ou non. La sincérité est spirituelle. » À ce moment-là, une lueur d’espoir est apparue sur son visage. Elle s’est retournée et est allée dans ma chambre, a croisé les mains, s’est tenue devant le portrait du Maître et a supplié le Maître de la sauver. Elle m’a dit qu’une semaine plus tard, elle devait aller à l’hôpital provincial de cancérologie pour des examens pathologiques et un diagnostic plus approfondi. Je lui ai dit : « Ne pense à rien, récite les phrases avec tout ton cœur. Tout ira bien. » Elle a cru en Dafa du fond du cœur et n’a pas arrêté de réciter « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ».

Une semaine plus tard, j’ai reçu un appel de ma belle-fille de la capitale provinciale. Elle m’a dit avec joie : « Les résultats de la pathologie sont arrivés et tout est normal. » Quand elle est revenue le soir, elle m’a dit que dès qu’elle avait quitté la maison le matin, elle avait commencé à réciter « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », et elle avait aussi demandé à sa fille adolescente de l’aider à réciter les phrases avec elle. Elle a dit à sa fille : « Ta grand-mère a dit que je devais réciter sincèrement “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon” et que j’irai certainement bien. C’est mon dernier espoir. Aide ta mère et récite les phrases ! » Elle les a récitées sur le chemin de l’hôpital. Aujourd’hui, ma belle-fille est en très bonne santé. Elle est infiniment reconnaissante au Maître de lui avoir sauvé la vie.

Une tornade ne détruit pas leur maison

J’ai grandi à la campagne et nombre de mes proches vivent à la campagne. Comme j’ai été persécutée en raison de ma pratique du Falun Gong, ils m’ont tous mise à l’écart. Ils ont dit du mal de moi derrière mon dos. À leurs yeux, j’étais une anomalie, une personne indésirable.

Mon oncle et ma tante n’avaient pas d’enfants. Lorsque je leur ai rendu visite à la campagne il y a quelques années, je leur ai dit la vérité sur Dafa et leur ai dit que le Falun Gong enseigne aux gens à être bons et que les pratiquants étaient innocents et persécutés par le Parti. À l’époque, la persécution du Falun Gong par le PCC était à son paroxysme. Des membres de ma famille se sont réunis pour parler de ma pratique du Falun Gong. Comme ils étaient empoisonnés par les mensonges du Parti, ils faisaient des commentaires négatifs sur Dafa et sur moi. Chaque fois que cela se produisait, ma tante et mon oncle les arrêtaient et leur disaient : « Ne dites pas de bêtises si vous ne connaissez pas la situation. Le Falun Gong doit être bon. S’il n’était pas bon, elle [en parlant de moi] n’est pas stupide, pourquoi le pratiquerait-elle ? » Ces deux personnes âgées ont toujours eu des pensées justes sur Dafa.

Un jour, leur village a été frappé par une tornade. Les gens ont paniqué et se sont réfugiés dans leurs maisons. Certaines personnes ont fermé leurs fenêtres, d’autres n’ont pas pu les fermer avant que la tornade ne les atteigne. Ils ont entendu le vent hurler à l’extérieur et un bruit assourdissant de « clic, crac » partout. Une fois le vent passé, les gens sont sortis et ont vu une scène horrible. Les arbres étaient déracinés, les toits, qui avaient été soulevés par le vent, étaient maintenant par terre, et on voyait partout les tôles tordues des toits. Une partie des poutres des charpentes des maisons avait été emportée dans les villages voisins. Certaines personnes avaient été aspirées par les fenêtres par la tornade et s’étaient cassé les côtes. D’autres avaient eu d’autres types de blessures.

La maison de mon oncle était la première située à l’extrémité ouest du village. Sa maison était composée de deux maisons en chaume délabrées. La tornade était venue de l’ouest. Ce qui est miraculeux, c’est que la tornade, qui soufflait en direction de sa maison, a soudain tourné. Elle a évité sa maison et a écrasé tout le village. La tornade a réduit en ruines les maisons en béton armé et en briques des autres personnes et a semé le chaos. Seules les huttes en chaume de la maison de mon oncle sont restées intactes. Il a compris que Dafa protégeait les personnes bonnes.

Beaucoup de mes proches avaient une très mauvaise attitude à l’égard de Dafa. Je me suis dit que je devais les sauver. Je leur rendais souvent visite à la campagne. Lorsque des proches venaient en ville pour consulter un médecin ou être hospitalisés, j’allais les aider et leur donnais de l’argent et des choses lorsqu’ils étaient à court d’argent. Quand ils étaient hospitalisés, je leur apportais des plats que j’avais cuisinés moi-même. Je leur disais aussi la vérité sur Dafa. Chaque fois que j’allais à la campagne, je leur apportais des documents de clarification de la vérité.

L’un de mes cousins avait été le chef du village et tout le monde dans la famille l’écoutait, alors je me suis concentrée sur lui. Je lui ai donné un lecteur DVD et une clé USB de clarification de la vérité et je lui ai demandé de bien regarder. Je lui ai dit qu’il comprendrait tout après avoir vu les documents. Il a vraiment bien regardé. Après avoir pris connaissance des documents, il a tout compris. Lorsque je suis allée lui rendre visite à nouveau, il m’a demandé plus d’informations.

Il a trois fils. Dès que ses enfants sont rentrés, il a donné à chacun d’eux un dépliant de Dafa et leur a dit : « Ceci a été donné par votre tante. À tout moment, vous devez réciter “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”. » Lorsque la pandémie du virus du PCC (COVID-19) est arrivée, il a passé une série d’appels téléphoniques et a dit à ses enfants : « Dépêchez-vous et lisez les phrases. » Ses enfants ont été bénis.

Mon frère et ma belle-sœur ont refusé de m’écouter pendant des années. Ils ont également créé des obstacles au salut des autres. Il y a trois ans, ma belle-sœur est tombée d’une échelle et s’est fracturé la colonne vertébrale. Comme il n’y avait personne pour l’accompagner, mon frère m’a appelée pour que je m’occupe d’elle.

Quand je suis allée à l’hôpital, les yeux de ma belle-sœur étaient gonflés à force de pleurer, alors j’ai demandé : « Qu’est-ce qui ne va pas ? » Ma belle-sœur a pleuré et m’a dit : « Ma sœur, je me suis cassé la colonne vertébrale. » Elle m’a raconté ce qui s’était passé, puis a dit : « Je ne peux plus supporter la douleur, je ne peux plus la supporter. » J’ai dit : « C’est bon. » Elle a dit : « Que dois-je faire ? » J’ai dit : « Si tu crois ce que je te dis, tu peux réciter “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”, et tu seras bientôt en bonne santé. » Elle a dit : « Est-ce possible ? » J’ai répondu : « Oui. Regarde-moi, cela fait plus de vingt ans que je n’ai pas été malade grâce à la pratique. Tu sais comment j’étais avant. Ton petit problème passera. Tu devrais commencer à réciter les phrases maintenant. » Elle a accepté.

Le soir, je lui ai dit : « Appelle-moi quand tu as besoin d’aller aux toilettes, je t’aiderai. Ne tombe pas. » En conséquence, elle est allée aux toilettes trois fois dans la soirée, toute seule, sans me demander de l’aide. Plus tard, elle m’a dit : « La douleur est partie, je n’ai plus mal. » Le lendemain, ma belle-sœur n’avait plus mal du tout.

Toute la communauté savait qu’elle s’était cassé le dos. De nombreuses personnes sont allées lui rendre visite. Une vieille dame, qui avait également été blessée comme ma belle-sœur, a dit qu’elle avait mal tout le temps. La vieille dame a demandé à ma belle-sœur : « As-tu mal ? » Ma belle-sœur a répondu que non. La vieille dame a demandé : « Pourquoi n’as-tu pas mal après seulement deux jours ? » Ma belle-sœur a répondu : « Ma belle-sœur aînée m’a dit de réciter “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”, et je me suis rétablie. Tu devrais aussi réciter ces phrases ! » La vieille dame a suivi sa suggestion et s’est rétablie en quelques jours. À la suite de cet incident, l’attitude de mon frère a également changé. Il ne déteste plus Dafa et ne me traite plus comme avant.

Une de mes cousines était en désaccord avec Dafa depuis de nombreuses années. Elle ne me parlait pas, elle était comme une ennemie. L’année dernière, ses enfants sont venus en ville pour leur scolarité. Elle est venue les accompagner. Ils ont loué une maison, mais n’avaient ni meubles ni articles ménagers, alors je l’ai aidée. Je me suis occupée d’elle à tous points de vue. Plus tard, elle m’a dit : « Oh, grande sœur ! Dans le passé, je t’ai toujours détestée parce que tu pratiquais le Falun Gong. Mais ces jours-ci, je trouve que tu es si bonne ! Tu t’occupes de moi comme si tu étais ma mère. » Elle a été impressionnée par la gentillesse et la moralité des pratiquants de Dafa, et elle a été d’accord de tout cœur pour dire que Dafa était bon.

Aujourd’hui, mes proches ont compris la vérité de Dafa. Ils ont été sauvés en ressentant la gentillesse des pratiquants de Dafa grâce à mes clarifications constantes de la vérité et à mes actions gentilles. La gentillesse peut faire fondre la glace et la bonté peut tout changer.

Tout ce que j’ai aujourd’hui m’a été donné par Dafa. Je suis prête à devenir comme de l’or véritable, à m’assimiler à la lumière du Fa et à illuminer les autres. Merci encore, vénérable Maître ! Merci Falun Dafa !

(Partage sélectionné pour célébrer la Journée mondiale du Falun Dafa sur le site Minghui.org)

Traduit de l’anglais