(Minghui.org) J’ai été profondément touché aujourd’hui en lisant un article sur le site web Minghui, « Combien de fois encore le Maître pourra-t-il nous accorder une telle occasion ? »J’ai honte de ne pas avoir fait assez d’efforts pour écrire des articles pour Minghui à cause de mes mauvaises conceptions. Maintenant, je vais partager comment j’ai finalement reçu mes allocations de retraite après avoir suivi ma croyance dans le Maître et le Falun Dafa.

J’avais dépassé l’âge légal de la retraite il y a plusieurs années, mais je n’avais pas reçu mes prestations de retraite jusqu’à récemment. Je travaillais pour un employeur qui offrait des avantages convenables, mais j’ai perdu mon emploi après avoir refusé d’abandonner ma croyance dans le Falun Dafa. Ce fut le début de nombreuses tribulations.

Pendant plusieurs années, j’ai lutté pour obtenir de la nourriture et un logement et je n’ai pas pu voyager parce que je ne pouvais pas renouveler ma carte d’identité. Il m’a été difficile, voire impossible, de trouver un emploi et de payer ma sécurité sociale, ce qui m’a empêché de demander ma retraite.

J’ai eu connaissance de récits d’expériences similaires sur Minghui et aussi par des compagnons de cultivation que je connais : Certains ont vu leur pension suspendue. D’autres ont été contraints de restituer les pensions qu’ils avaient reçues, et d’autres encore ont été obligés de cesser de pratiquer le Falun Dafa comme condition pour bénéficier des prestations de retraite. Après avoir quitté un centre de détention pratiquant le lavage de cerveau il y a plus d’un an, je n’ai pas pu trouver d’emploi et j’ai eu du mal à subvenir à mes besoins. Le traumatisme causé par le lavage de cerveau a également eu des répercussions sur ma famille et moi-même. Nous avions besoin de temps pour guérir.

Malgré les obstacles, je n’étais pas prêt à renoncer à ma retraite. Avec une croyance solide dans le Maître et Dafa et les encouragements de mes compagnons de cultivation, j’ai décidé de faire de mon mieux pour rectifier cette situation.

À la suite de la procédure d’arbitrage des conflits du travail, j’ai demandé aux autorités de compenser mon dossier de sécurité sociale conformément à la loi sur le contrat de travail et à la loi sur l’assurance sociale. L’agence a rejeté ma demande, invoquant mon casier judiciaire en raison de ma pratique du Falun Dafa. Mes efforts pour obtenir mes dossiers personnels sont également restés vains, car mes employeurs ne conservaient pas mes fiches de paie et ma rémunération au cours des vingt dernières années avait été payée en espèces.

Le gouvernement local menait une campagne pour éliminer les pratiquants de Falun Dafa. Les responsables du Parti et la police m’ont proposé de m’aider à obtenir ma retraite si j’acceptais de signer un document par lequel je m’engageais à ne plus pratiquer le Falun Dafa. J’ai refusé. Avec l’aide de mes compagnons de cultivation, j’ai déposé une plainte auprès de l’agence de supervision de niveau supérieur.

À ma grande surprise, le directeur de l’agence de supervision s’est personnellement chargé de l’affaire. Deux semaines plus tard, mon ancien employeur m’a informé qu’il m’autoriserait à rattraper les vingt années de cotisations de sécurité sociale impayées. Mon employeur et le bureau d’arbitrage des conflits du travail m’ont conseillé de demander au tribunal de statuer en ma faveur, mais ils n’ont fourni aucun document indiquant mon contrat de travail.

Après de longues négociations, j’ai finalement reçu une fiche de salaire pour cinq ans. Insatisfaite de l’absence de preuve solide d’emploi, l’agence d’arbitrage a émis un document de refus. Selon la politique en vigueur, toute personne qui ne s’acquitte pas de ses cotisations de sécurité sociale dans les deux ans suivant son départ de l’entreprise est déboutée. Cependant, quelques jours plus tard, une nouvelle politique a été mise en place, me permettant de porter l’affaire devant les tribunaux.

Incapable de trouver un avocat, je me suis rendu seul au tribunal. Un groupe de fonctionnaires de l’autre partie était assis de l’autre côté, leur avocat, le chef de l’administration, un directeur et deux directeurs financiers étaient présents. Je ne me suis pas senti seul car le Maître est toujours avec moi. Le verdict est tombé rapidement et j’ai gagné.

Avec la bénédiction du Maître, j’ai enfin reçu les prestations de retraite que je méritais.

Traduit de l’anglais