Les non pratiquants s’opposent également à la persécution

(Minghui.org) Le Falun Dafa améliore la santé et le caractère en enseignant cinq exercices et l’importance de vivre selon Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Depuis que le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter la méthode en 1999, les pratiquants ont travaillé sans relâche pour dire aux gens la vérité sur le Falun Dafa et contrer la propagande diffamatoire du PCC. Alors que de plus en plus de personnes se rendent compte que le PCC a menti, ils s’opposent aussi à la persécution.

« Arrêtez de battre cette personne innocente »

M^me Zhang Hao travaille comme femme de ménage dans le district de Liquan, province du Shaanxi. Le 4 juin 2024, trois agents du Bureau de la sécurité intérieure de Liquan se sont rendus sur son lieu de travail, l’ont arrêtée et ont confisqué ses effets personnels, dont un téléphone portable.

Il y avait beaucoup de monde à l’hôpital où elle a été emmenée pour un examen physique obligatoire. M^me Zhang, toujours menottée, a dit aux gens présents que le Falun Dafa aide les pratiquants et profite à la société, et que le PCC détourne les lois pour persécuter des personnes innocentes.

Les trois policiers ont commencé à frapper M^me Zhang pour l’empêcher de parler. Les gens n’ont pas pu le supporter et, l’un après l’autre, ont demandé aux policiers pourquoi ils battaient une innocente personne.

La police a admis M^me Zhang au centre de détention de Liquan ce jour-là et ne l’a libérée que le 19 juin.

Le magasin de proximité de M. Sun

M. Sun Xue, 68 ans, possède un magasin de proximité dans le district de Bayan, province du Heilongjiang. Avant de commencer à pratiquer le Falun Dafa, il était un soldat retraité handicapé. Les deux tiers de son estomac avaient été retirés en raison des blessures qu’il avait subies. Il vomissait une grande partie de ce qu’il mangeait et est devenu émacié. Pendant plus de vingt ans, il a dépensé plus de 30 000 yuans par an en frais médicaux, que le gouvernement a payés. De plus, en s’appuyant sur sa canne, il se rendait de temps en temps au bureau du gouvernement du district pour demander de l’argent. Le chef du district n’avait d’autre choix que de lui donner de l’argent pour qu’il parte. À cette époque, M. Sun ne pouvait rien faire et était simplement une personne handicapée.

Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, M. Sun est devenu en meilleure santé et plus ouvert d’esprit. Grâce à l’amélioration de sa santé, il n’a plus eu besoin d’être remboursé pour ses frais médicaux, ce qui a permis au gouvernement d’économiser environ un million de yuans au fil des années. Cela n’a cependant pas empêché le PCC de réprimer la discipline et de maltraiter les pratiquants qui suivent leur croyance.

Pour gagner sa vie, M. Sun a ouvert une supérette dans le quartier, et l’entreprise se porte bien. Dans sa vie quotidienne, il suit le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, et il fait de nombreuses bonnes actions pour ses clients et les habitants locaux. En plus de faire les exercices devant le magasin, il parle du Falun Dafa aux gens lorsqu’ils entrent dans son magasin. Il aide également les gens à démissionner des organisations du PCC.

En 2023, un client a signalé M. Sun à la police. Des agents du Premier poste de poste de Bayan sont venus dans son magasin pour l’arrêter. « J’ai juste dit au client que fumer était nocif et comment être une bonne personne », a déclaré M. Sun. « Je n’ai rien fait de mal et je ne partirai pas avec vous. » Finalement, les agents sont partis et ne l’ont pas arrêté.

Des voisins solidaires

M. Gao Hengbo est un habitant du village de Xiaozhen dans la ville de Qingdao, province du Shandong. Parce qu’il pratique le Falun Dafa, il est devenu une meilleure personne et a un jour risqué sa vie pour éteindre l’incendie d’un voisin. Il traite bien ses parents comme un fils filial et tolère le mauvais caractère de sa femme.

Parce qu’il a distribué des calendriers Minghui contenant des informations sur le Falun Dafa, M. Gao a été signalé à la police et mis en prison pendant trois ans. Néanmoins, il a dit à ses parents, en particulier à sa jeune fille, de ne pas se sentir gênés à cause de ce qui lui était arrivé. Il lui a dit qu’il n’y avait rien de mal à être un pratiquant de Falun Dafa et à agir selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

Lorsque les fonctionnaires locaux harcelaient M. Gao de temps en temps, il leur racontait toujours les faits sur le Falun Dafa pour contrer la propagande négative utilisée pour vilipender la discipline. Trois policiers se sont rendus chez lui le 30 septembre 2022. M. Gao leur a demandé ce qu’ils faisaient et d’où ils venaient. L’un d’eux a répondu qu’ils étaient du Bureau de la sécurité publique. Lorsqu’il a demandé leur nom, personne n’a répondu.

Lorsqu’un policier lui a demandé s’il pratiquait toujours Dafa, M. Gao a répondu : « Bien sûr. Il n’y a pas de lois en Chine qui interdisent le Falun Dafa. »

Un policier a alors ordonné à M. Gao de retirer les affiches sur lesquelles étaient inscrites des phrases sur le Falun Dafa. M. Gao a dit : « L’Authenticité, la Bienveillance et la Tolérance sont de bonnes valeurs, et je ne les retirerai pas. » Il leur a rappelé que réciter « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » les garderait en sécurité.

Un jour, un policier du poste de police de Landi s’est rendu chez sa mère pour lui demander où il était. Lorsque sa mère lui a dit qu’il était parti travailler, le policier lui a demandé pourquoi sa voiture était toujours là. Elle a répondu : « Il a pris son scooter pour économiser de l’argent. Pourquoi ne pas utiliser votre temps pour faire ce qu’un policier est censé faire et attraper les criminels ? » Le policier est parti.

La police a ordonné à certains voisins de surveiller M. Gao, mais ils ont refusé et les ont ignorés.

Le chef et deux policiers du poste de police de Landi sont retournés au domicile de M. Gao deux mois plus tard. M. Gao leur a dit d’arrêter de les harceler, lui et ses voisins. Lorsque la police lui a dit d’arrêter de faire les exercices à l’extérieur et de distribuer des dépliants de Falun Dafa, il a demandé : « Si le PCC n’avait pas inventé autant de mensonges sur le Falun Dafa et ne nous persécutait pas, aurais-je besoin de sortir et de clarifier les faits ? » Il a également refusé de dire aux policiers où il travaillait.

Traduit de l’anglais