(Minghui.org) Les pratiquants de Falun Gong de 45 pays ont soumis, à leur gouvernement respectif, une nouvelle liste de responsables du Parti communiste chinois (PCC) ayant persécuté le Falun Gong et les pratiquants. Comme ces fonctionnaires ont participé à cette persécution, les pratiquants ont demandé qu’ils soient interdits d’entrée, ainsi que les membres de leur famille, et que leurs avoirs soient gelés.

Ces 45 pays sont les suivants :

L’Alliance des Five Eyes, à savoir les États-Unis, le Canada, le Royaume-Uni, l’Australie et la Nouvelle-Zélande ; et

Les 27 pays de l’Union européenne (UE), à savoir l’Allemagne, la France, l’Italie, l’Espagne, les Pays-Bas, la Pologne, la Suède, la Belgique, l’Irlande, l’Autriche, le Danemark, la Roumanie, la Tchéquie (la République tchèque), la Finlande, le Portugal, la Grèce, la Hongrie, la Slovaquie, la Bulgarie, le Luxembourg, la Croatie, la Lituanie, la Slovénie, la Lettonie, l’Estonie, Chypre et Malte.

Treize pays situés en Asie, en Europe et en Amérique : le Japon, la Corée du Sud, l’Indonésie, la Suisse, la Norvège, le Liechtenstein, Israël, le Mexique, l’Argentine, la Colombie, le Chili, la République dominicaine et le Paraguay. C’est la première fois que le Paraguay figure sur cette liste.

La persécution du Falun Gong par le PCC se poursuit depuis vingt-cinq ans et le régime a récemment renforcé son contrôle à l’étranger. Selon un rapport publié par l’Organisation mondiale d’enquête sur la persécution du Falun Gong (WOIPFG), le PCC a souligné un objectif lors d’une réunion organisée en mai 2024 par le ministère de la Sécurité publique : « Accorder une attention particulière à la coopération entre le Falun Gong et les politiciens occidentaux pour sanctionner les dirigeants chinois de haut niveau. Mettre fin à un tel comportement à tout prix. »

Liu Chuan, secrétaire du Parti et directeur du Département de la justice de la province du Jilin et premier commissaire politique du Bureau de l’administration pénitentiaire de la province du Jilin, figure parmi les auteurs de cette liste.

Informations sur le responsable de la persécution

Nom complet du responsable : Liu (Nom de famille) Chuan (prénom)

Nom chinois :刘川

Sexe : Masculin

Pays : Chine

Date/année de naissance : juin 1965

Lieu de naissance : Ville de Tieling, province du Liaoning

Titre et fonction

Liu Chuan a été directeur adjoint du Bureau des pétitions du gouvernement provincial du Jilin, directeur du personnel et secrétaire adjoint du comité municipal du Parti de Baicheng, secrétaire du Parti du Bureau des pétitions du gouvernement provincial du Jilin, secrétaire du Parti au Bureau des affaires juridiques du gouvernement de la province du Jilin et secrétaire adjoint exécutif du comité du Parti communiste chinois de la province du Jilin.

Depuis mars 2021, Liu est secrétaire du PCC et directeur du Département de la justice de la province du Jilin et premier commissaire politique du Bureau de l’administration pénitentiaire de la province du Jilin. Il supervise le travail du Département provincial de la justice et est responsable du comité disciplinaire du PCC du Département de la justice.

Principaux crimes

Il existe au moins cinq prisons dans la province du Jilin dans lesquelles les pratiquants de Falun Gong sont violemment persécutés : la deuxième prison de la province du Jilin, la prison pour femmes de la province du Jilin, la prison de Siping, la prison de Gongzhuling et la prison de Tiebei.

Prison pour femmes du Jilin

Sous le contrôle du Bureau 610 central et du Bureau 610 de la province du Jilin, la prison pour femmes du Jilin a joué un rôle de premier plan dans le lavage de cerveau des pratiquantes incarcérées dans cette province. Dans l’environnement isolé de la prison, les gardiennes manipulent les détenues pour que celles-ci fassent subir aux pratiquantes des méthodes de torture parmi les plus inacceptables et les plus abjectes.

Par exemple, elles placent des pratiquantes qui ont leurs règles sur un lit de torture et les attachent dans cinq directions différentes selon la méthode « cinq chevaux déchirent le corps » (voir illustration ci-dessous). Parmi les autres tortures, citons la pendaison, les coups, l’aspersion à l’eau froide et les décharges électriques, ainsi que de nombreuses autres méthodes sadiques qui ont causé la mort, des handicaps, des troubles mentaux et des blessures graves.

Illustration de torture : « cinq chevaux déchirent le corps »

La prison pour femmes du Jilin a été reconnue par le ministère de la Justice de la province du Jilin et par les responsables du PCC au niveau provincial comme un modèle pour ses tactiques sans scrupules et cruelles dans le cadre de la persécution.

En 2021, les pratiquantes de Falun Gong de la huitième division de la prison pour femmes du Jilin ont été étroitement surveillées par les détenues. Elles étaient contraintes de s’asseoir sur de petits tabourets tous les jours de 4 heures du matin à 22 ou 23 heures avant d’être autorisées à aller se coucher. Elles n’avaient pas le droit de se brosser les dents, de se laver le visage, de laver leurs vêtements ou d’aller aux toilettes.

Mme Fu Guihua, de la ville de Changchun, province du Jilin, a été arrêtée le 15 août 2019, puis condamnée à sept ans et demi de prison. Le 27 mai 2021, elle a été emmenée à la 8e division de la prison pour femmes de la province du Jilin, où elle a été soumise à une surveillance stricte. Les détenues la forçaient à rester assise sur un petit tabouret pendant de longues heures chaque jour et on lui a refusé la visite de ses avocats et des membres de sa famille. Elle était privée de sommeil et n’avait pas le droit de boire de l’eau. Elle est décédée il y a deux mois.

Prison du Jilin

La prison du Jilin a utilisé un large éventail de méthodes de torture sur les pratiquants de Falun Gong. Ils étaient notamment contraints de s’asseoir sur des planches dures pendant de longues périodes ; ils étaient battus, ou recevaient des décharges électriques. Ils ont été mis à l’isolement, écartelés dans des positions pénibles pendant de longues périodes, piqués avec des aiguilles, bâillonnés avec des chiffons souillés, brûlés avec de l’eau bouillante, on leur pinçait les globes oculaires et les testicules, ils ont été nourris de force et privés de sommeil.

Les gardiens se spécialisent dans la torture des pratiquants ayant de longues peines, en particulier ceux qui refusent d’abandonner le Falun Gong. Lorsque les pratiquants sont blessés ou handicapés pendant leur détention, ils sont emmenés à l’hôpital de la prison pour y subir d’autres sévices au lieu d’être soignés correctement. Nombre d’entre eux ont reçu des injections forcées de substances inconnues entraînant des ascites (accumulation de liquide dans l’abdomen). Les pratiquants atteints de cette maladie ont le ventre gonflé comme celui d’une femme enceinte de sept ou huit mois, mais elle s’accompagne d’une perte de poids et d’une faiblesse générale. D’autres ont attrapé la tuberculose et leurs poumons ont été endommagés.

Prison de Gongzhuling

La prison de Gongzhuling compte de nombreuses cellules réservées aux pratiquants, dont une cellule d’isolement spéciale destinée à torturer ceux qui refusent de renoncer au Falun Gong.

Le sol de cette pièce de confinement est environ un mètre plus bas que le sol à l’extérieur de la cellule. L’intérieur est extrêmement sombre et humide, et la température à l’intérieur descend à des niveaux insupportablement bas en hiver. Les fenêtres sont recouvertes de rideaux noirs, tandis que les murs et les sols sont insonorisés, de sorte que les personnes à l’extérieur ne peuvent pas entendre ce qui se passe à l’intérieur.

À l’intérieur de la pièce se trouvent des lits de mort avec des menottes pour les poignets et les chevilles pour écarteler les pratiquants dans la position de l’aigle déployé. Les pratiquants qui refusent de se « transformer » sont attachés sur ces lits de mort et écartelés jusqu’à ce qu’ils deviennent incapables de bouger. S’ils refusent toujours de renoncer au Falun Gong, ils sont simultanément électrocutés à l’aide de plusieurs matraques électriques. On leur ferme la bouche avec du ruban adhésif afin que les personnes à l’extérieur de la pièce ne puissent pas entendre leurs cris.

Parmi les autres méthodes de torture utilisées à Gongzhuling figurent les décharges électriques, les coups, la privation de sommeil, l’isolement et les longues heures de travail forcé.

M. Yu Chunbo, de la ville de Changchun, province du Jilin, a été arrêté le 12 novembre 2020 et condamné à trois ans et demi de détention à la prison de Gongzhuling vers décembre 2021. On lui a donné l’ordre d’écrire des déclarations de garantie disant renoncer au Falun Gong, et il a été torturé pendant de nombreux jours dans le bureau des gardiens, parce qu’il refusait d’obtempérer.

Le 24 février 2022, les gardiens et les détenus ont giflé M. Yu 90 fois, lui ont infligé des décharges électriques dans l’anus à l’aide d’une matraque électrique et l’ont frappé sur les cuisses, les mollets, le dos et les fesses à l’aide de règles en acier. Ils ont ensuite frotté les plaies avec du sel, avant de reprendre les coups, et l’ont ensuite de nouveau frotté avec du sel. Cette torture a duré deux heures.

Les tortionnaires ont ramené M. Yu dans le bureau des gardiens le deuxième et le troisième jour. Ils grattaient les croûtes de ses blessures avec des règles en acier, puis recommençaient à le frapper, puis à frotter les plaies avec le sel et lui infligeaient des décharges électriques. Il a été torturé de cette manière pendant deux heures chaque jour.

Le cinquième jour, les gardiens ont de nouveau torturé M. Yu. Il a eu une crise cardiaque pendant qu’il était électrocuté. Les gardiens lui ont alors administré un médicament à action rapide pour le cœur qu’ils avaient préparé.

Par la suite, M. Yu était contraint de rester debout pendant au moins quinze heures par jour et il ne recevait que très peu à manger à chaque repas. Il souffrait de malnutrition sévère et d’une perforation gastrique. Il a ensuite été hospitalisé pendant vingt-sept jours.

Le 18 avril 2022, M. Yu a été transporté dans un hôpital local pour y recevoir des soins d’urgence. Les autorités ont refusé d’autoriser sa famille à lui rendre visite, prétextant la pandémie de COVID. Sa famille, profondément inquiète, a demandé à la prison de Gongzhuling de lui accorder une libération conditionnelle pour raisons médicales, mais cette demande a été rejetée. M. Yu a continué à être détenu et soumis à des séances de lavage de cerveau par les détenus.

Les cas de persécution suivants, survenus pendant le mandat de Liu, ne représentent que la partie émergée de l’iceberg.

Voici une sélection de cas de persécution pendant le mandat de Liu :

Cas No 1 : Une femme meurt après avoir été torturée et empêchée de pratiquer le Falun Gong

Mme Xu Guizhi, de la ville de Yushu, province du Jilin, a vu sa santé se détériorer après avoir été torturée en prison de 2019 à 2021. Elle n’a pas été autorisée à pratiquer le Falun Gong après sa libération et est décédée deux ans plus tard, en janvier 2023, à l’âge de 69 ans.

Mme Xu a été arrêtée par des agents du poste de police de Zhengyang le 6 décembre 2018. Elle a été jugée par le tribunal de la ville de Yushu et condamnée à deux ans et demi de prison le 15 mars 2019. Les gardiennes de la prison pour femmes de la province du Jilin l’ont battue et torturée pour tenter de la forcer à renoncer au Falun Gong. Sa santé s’est détériorée à la suite des tortures et elle a contracté du diabète, est devenue incontinente et avait des difficultés à marcher.

Après sa libération en 2021, sa famille, terrifiée par la persécution, l’a empêchée de pratiquer. Sa santé a continué à se dégrader et elle en est morte.

Cas No 2 : Une femme de 78 ans meurt d’un cancer contracté en prison

Mme Wang Qingwen avait déjà été condamnée à une peine de trois ans de prison pour sa pratique du Falun Gong. Bien que les autorités l’aient autorisée à purger sa peine en dehors de la prison, la police l’a placée en garde à vue et envoyée au centre de détention de la ville de Liaoyuan en 2021. Elle a ensuite été transférée à la prison pour femmes de la province du Jilin, où elle a souffert de graves symptômes de maladie. Elle a été emmenée à l’hôpital de la police fin octobre 2021 et y est décédée le 26 octobre 2021. Les autorités ont incinéré son corps le lendemain et envoyé ses cendres dans sa ville natale de Liaoyuan, dans la province du Jilin. Elle était âgée de 78 ans. La prison a refusé de donner à la famille de Mme Wang des détails sur son décès. Certains responsables ont déclaré qu’elle était morte d’un cancer du rectum, d’autres d’un cancer du poumon.

Cas No 3 : Une enseignante à la retraite meurt à l’âge de 82 ans alors qu’elle purgeait une peine de trois ans d’emprisonnement

Mme An Fuzi, professeur d’université à la retraite âgée de 82 ans, est décédée en mai 2023 alors qu’elle était emprisonnée pour une durée de trois ans. Quelques mois avant le décès de Mme An, la prison a informé sa famille qu’elle souffrait de pleurésie et leur a demandé de coopérer avec les autorités pour son traitement médical. Son fils et sa fille, qui travaillaient tous deux en Corée du Sud à l’époque, ont demandé à avoir des réunions en visioconférence ou des appels téléphoniques avec elle, mais leurs demandes ont été rejetées. Invoquant la pandémie de COVID comme excuse, la prison n’a pas non plus autorisé les autres membres de sa famille en Chine à lui rendre visite en personne.

Cas No 4 : Un homme de 31 ans meurt alors qu’il purgeait une peine de huit ans et demi pour sa pratique du Falun Gong

M. Jiang Yong, habitant la ville de Changchun, province du Jilin, a été arrêté le 28 juin 2021 et condamné à huit ans et demi de prison à Gongzhuling, sous l’accusation fabriquée de toute pièce de « subversion du pouvoir de l’État ». Bien qu’il ait été dans un état critique après avoir mené une grève de la faim prolongée pour protester contre la persécution, les autorités ont refusé de lui accorder une libération conditionnelle pour raison médicale, invoquant son refus de renoncer au Falun Gong. Il est mort le 23 janvier 2023, le deuxième jour du Nouvel An chinois. Il avait 31 ans.

Cas No 5 : Un homme du Jilin meurt trois mois après avoir bénéficié d’une libération conditionnelle pour raisons médicales

M. Lin Xianchen, de la ville de Changchun, province du Jilin, a été arrêté à son domicile le 22 août 2018. Il a été condamné à cinq ans de prison et à une amende de 10 000 yuans par le tribunal du district de Kuancheng le 21 août 2019. Les autorités l’ont emmené à la prison du Jilin le 1er novembre 2019, mais ont attendu treize jours avant d’en informer sa famille.

M. Lin était souvent contraint de rester assis sur un petit tabouret du matin jusqu’à minuit. Le 2 juin 2021, la prison a informé sa famille qu’il avait été hospitalisé. Il a été confirmé qu’il souffrait d’un cancer du foie environ deux semaines plus tard, le 17 juin. Malgré son état, les gardiens l’ont maintenu menotté et entravé.

La prison ne lui a accordé sa libération conditionnelle pour raisons médicales que trois mois plus tard. Lorsqu’il est rentré chez lui le 14 septembre 2021, il était émacié. Les premiers jours, il pouvait encore manger. Mais peu après, il ne pouvait plus rien manger. Il avait 70 ans lorsqu’il est décédé en décembre 2021.

Autres cas de persécution

Cas No 1 : Les fesses de Mme Jing Fengyun suppurent et ses os sont apparents

Mme Jing Fengyun, âgée de 70 ans, a été condamnée à quatre ans de prison par le tribunal du district de Kuancheng le 28 avril 2023. Pendant qu’elle purgeait sa peine dans la huitième division de la prison pour femmes de la province du Jilin, elle a subi un lavage de cerveau forcé et a été contrainte de rester assise sur un petit tabouret sans bouger pendant de longues périodes. À la suite de ces tortures, ses fesses se sont mises à suppurer et ont été infectées, on pouvait voir ses os. Elle était également mentalement confuse et avait des problèmes de mobilité.

Cas No 2 : Après avoir enduré douze ans de torture extrême, une ancienne enseignante devient incohérente alors qu’elle purge une nouvelle peine pour sa croyance

Alors qu’elle se remet à peine du traumatisme causé par son incarcération et sa torture pendant dix ans, Mme Song Yanqun, une ancienne enseignante de 52 ans de la ville de Shulan, province du Jilin, a été à nouveau condamnée à trois ans et demi de prison en décembre 2020 pour avoir cherché à obtenir justice pour sa croyance, le Falun Gong.

Lorsque le père octogénaire de Mme Song s’est rendu à la prison le 27 février 2023 pour aller la voir, la prison l’a fait attendre du matin jusqu’à 16 heures, avant de le laisser entrer.

Mme Song était portée par deux détenues. Tous ses cheveux étaient devenus gris. Ses yeux étaient ternes. Ses membres tremblaient. Elle avait également des difficultés à s’exprimer. Elle a dit à son père qu’elle avait été envoyée à l’hôpital de la prison et qu’on lui avait fait des piqûres régulièrement. Mais lorsqu’il lui a demandé combien de temps elle avait été hospitalisée, elle a répondu qu’elle ne le savait pas. Lorsqu’il lui a demandé l’âge de sa mère, elle a également répondu : « Je ne sais pas. »

Cas No 3 : Une femme devient muette à la suite de violences en prison et on lui refuse une libération conditionnelle pour raisons médicales ainsi que les visites de sa famille

Mme Jin Min, habitante de la ville de Jilin, province du Jilin, a été condamnée le 28 août 2022 à une peine de six ans pour sa pratique du Falun Gong. Elle a contracté de l’hypertension artérielle et ne peut plus parler. Lorsque sa famille lui a rendu visite, les gardiennes lui ont dit qu’elle recevrait un traitement médical si la famille était d’accord, mais que les médecins la traiteraient comme une malade mentale. Si la famille n’était pas d’accord, elle serait renvoyée dans une cellule sous surveillance stricte.

Au cours de la persécution, des pratiquants en parfaite santé sont souvent envoyés dans des services psychiatriques dans le but de discréditer le Falun Gong et d’exercer une forte pression sur ceux qui restent résolus dans leur croyance. Le traitement dans ces établissements est inhumain à l’extrême et consiste souvent à injecter aux pratiquants des substances dangereuses qui altèrent l’esprit et qui sont connues pour endommager le système nerveux. Lors de sa précédente incarcération, Mme Jin a vu une pratiquante à qui les gardiennes avaient fait ingérer un liquide inconnu se mettre à trembler.

La famille de Mme Jin n’a pas consenti au protocole de traitement.

Traduit de l’anglais