(Minghui.org) Je suis une femme de 78 ans, originaire de la campagne. Quand j’étais jeune, j’ai eu la tuberculose et je ne suis allée à l’école que pendant quatre ans. En 1996, j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa. Je savais que je devais croire au Maître et en Dafa, et agir selon le principe du Fa, Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Le Maître nous demande de sauver les gens, c’est pourquoi je suis souvent sortie pour clarifier la vérité.

Lorsque j’ai commencé à faire cela, je n’osais pas parler directement aux gens, je ne distribuais que les documents de clarification de la vérité. Un soir, alors que je plaçais les documents dans l’entrebâillement d’une porte dans un quartier résidentiel, j’ai entendu une voix à l’intérieur qui me demandait ce que je faisais. Je n’ai pas eu peur et j’ai répondu : « Je suis ici pour sauver les gens. » La personne à l’intérieur n’a rien dit d’autre et je suis rentrée chez moi. Depuis lors, je n’ai plus eu peur. Je sais que le Maître a enlevé la substance de la peur en moi, et j’ose maintenant parler aux gens pour leur dire les faits directement.

Tendre la main au chef du village et au secrétaire de la branche du PCC

J’ai pensé que si j’expliquais la vérité au chef du village, il protégerait les pratiquants de Dafa. Je suis allée chez lui et je lui ai dit que protéger les pratiquants lui apporterait des bénédictions. Une fois qu’il a compris la vérité, j’ai continué : « À l’avenir, si vous recevez des documents de Dafa, ne les remettez pas aux autorités supérieures. Si vous le faites, ils diront que vous n’avez pas fait du bon travail. » Il a accepté.

Plus tard, quelqu’un lui a dit que les pratiquants de Falun Dafa avaient à nouveau distribué les documents, ce à quoi il a répondu : « Qu’est-ce que cela peut vous faire ? Laissez-les faire. »

Un jour, un pratiquant m’a raconté que la belle-mère du secrétaire de la branche du Parti communiste chinois (PCC) du village pratiquait le Falun Dafa et qu’il avait peur d’être impliqué. Il battait et grondait souvent sa femme pour rejeter indirectement la faute sur sa mère. Je suis allée chez eux et je lui ai dit la vérité sur Dafa. Il m’a demandé si je pouvais lui donner un exemplaire du Zhuan Falun pour qu’il le lise, j’ai dit que je le ferais. Après lui avoir donné le Zhuan Falun, il n’a plus battu ni grondé sa femme, il a même protégé nos pratiquants.

Plusieurs pratiquants de notre village ont pris l’initiative de déblayer les rues lorsqu’il neigeait en hiver. Nous avons commencé par faire des choses pour le bien d’autrui selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. En conséquence, plusieurs pratiquants de notre village n’ont jamais été persécutés.

Aller partout pour répandre la bonté de Dafa

Je clarifie la vérité, quel que soit le lieu ou l’occasion, et je parle à tous ceux que je rencontre de la bonté de Dafa. Chaque jour, avant de quitter la maison, je demande au Maître de me donner la force d’aider à sauver les gens. Je pense que peu importe que les gens veuillent entendre la vérité ou non, je la leur dirai. C’est leur choix d’écouter ou non. Expliquer la vérité sur Dafa est ma responsabilité.

Lorsque je rencontre quelqu’un qui ne veut pas entendre la vérité, je pense que c’est parce que je ne me suis pas bien cultivée et que je n’ai pas expliqué clairement la situation. J’espère alors que la prochaine fois que cette personne rencontrera un autre pratiquant, elle acceptera définitivement la vérité et aura un avenir brillant. Lorsque quelqu’un est prêt à écouter la vérité, je lui dis également de se rappeler que le Falun Dafa est bon, qu’Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon, et que le fait de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées garantira sa sécurité.

Quand l’ami de mon fils m’a vue, il a crié : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » Il m’a dit qu’il apprendrait Dafa avec moi quand il aurait le temps et qu’il me laisserait être son maître.

Mon fils lui a dit : « Il n’y a qu’un seul Maître de Dafa ! »

J’ai acquiescé : « Oui, si tu veux apprendre, nous sommes tous des compagnons de cultivation. »

Si je veux que les autres reconnaissent que Dafa est bon, je dois m’imposer de suivre strictement le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et de suivre les enseignements du Maître : de toujours considérer les autres en premier, et de montrer la beauté de Dafa à tous ceux que je rencontre.

Au cours de ces vingt dernières années de clarification de la vérité, que ce soit à mes parents, à mes voisins ou à d’autres villageois, ils acceptaient mes paroles et disaient des choses similaires à : « Je crois ce que vous dites parce que vous êtes une personne sincère et que vous dites la vérité. »

Personne ne m’a jamais signalée aux autorités. Quels que soient les ordres donnés par les autorités supérieures, les responsables du village ne sont jamais venus chez moi pour me trouver, et ils n’ont jamais appelé mon fils. J’ai longtemps dit à mon fils qu’il devait suivre sa propre voie et que je devais suivre la mienne. Mon fils ne m’a jamais empêchée de clarifier la vérité et de sauver des gens. Sous la protection du Maître, j’ai suivi mon chemin de cultivation jusqu’à aujourd’hui en toute droiture.

Je voudrais profiter de cette occasion pour dire au Maître : « Soyez assuré, Maître, que je ferai de mon mieux pour sauver plus de gens, remplir ma mission, bien me cultiver et être à la hauteur de votre salut. »

Je sais que j’ai encore beaucoup d’attachements, mais je crois que ce n’est qu’en persévérant dans l’étude du Fa et en élevant constamment mon xinxing que je pourrai bien avancer sur mon chemin de cultivation.

Traduit de l’anglais