(Minghui.org) Puisque le monde est régi par le samsara (cycle des réincarnations) et la rétribution karmique, rien n’est accidentel. L’important est que les pratiquants de Dafa, même lorsqu’ils sont dans l’illusion, puissent considérer les circonstances et les choses auxquelles ils sont confrontés comme des occasions arrangées par le Maître pour se cultiver, et qu’ils pratiquent la gentillesse envers tout le monde.

Une voisine a suivi Dafa et est heureuse

Ma voisine écoute attentivement quand je lui clarifie la vérité sur le Falun Dafa. C’est une personne qui comprend que le Falun Dafa est bon et qui fait de son mieux pour suivre le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance dans sa vie quotidienne. Elle a également accroché des affiches avec les caractères Authenticité-Bienveillance-Tolérance que je lui ai données, dans le hall d’entrée de sa maison, et a demandé à son fils et à sa belle-fille de suivre également le principe.

Un jour, elle a trouvé un grand nid de guêpes avec beaucoup de guêpes devant sa fenêtre. Son mari lui a dit : « Brûlons-le ce soir pour qu’elles ne piquent personne. » Elle s’est dit : « N’est-ce pas tuer ? Mais que dois-je faire ? » Elle est venue me voir.

Je lui ai dit : « Dites aux guêpes : “Vous ne pouvez pas vivre ici. C’est un endroit où des gens vivent. Partez vite. Rappelez-vous que Falun Dafa est bon, qu’Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon, et vous aurez un avenir lumineux.” » Elle a hésité et m’a demandé si cela fonctionnerait. Je lui ai répondu que oui, si elle était sincère.

Lorsqu’elle est rentrée à la maison, son mari était sur le point de brûler le nid. Elle lui a dit : « Ne le brûle pas encore. Nous pourrons le brûler demain matin si les guêpes ne partent pas. » Elle a fait ce que je lui ai dit. Le lendemain matin, ils ont constaté que toutes les guêpes avaient disparu et son mari a enlevé le nid vide. Elle est venue chez moi et a dit avec joie dès qu’elle est entrée : « Oh, vous aviez tellement raison. »

Résoudre un problème en faisant ce qui est juste

Cette voisine a un commerce à domicile qui vend des produits à des clients. Un client a passé une commande, mais a voulu l’annuler alors que la famille de ma voisine avait préparé les produits. Elle s’est sentie malheureuse en regardant la pile de produits chez elle. Mais elle s’est souvenue d’Authenticité-Bienveillance-Tolérance, ainsi que du principe de Dafa que je lui avais dit un jour :

« ce qui est à vous, vous ne le perdrez pas et ce qui n’est pas à vous, vous ne l’aurez pas, même si vous luttez pour l’avoir. » (Septième Leçon, Zhuan Falun)

Elle a immédiatement laissé tomber le problème et s’est sentie détendue. Elle a reçu une grosse commande deux semaines plus tard et le problème de surstockage a été résolu. Ma voisine a conseillé à son fils : « Il est difficile de faire des affaires maintenant. Nous ne sommes pas toujours payés pour les marchandises que nous livrons. Nous ne pouvons rien faire contre ce que les autres nous doivent, mais nous ne pouvons rien leur devoir. »

Bien que ma voisine n’ait pas encore commencé à pratiquer le Falun Dafa, elle suit le principe du Falun Dafa dans son travail quotidien et dans sa vie, et elle est très heureuse.

Aider ma belle-mère et m’aider moi-même

Ma belle-mère a plus de 90 ans et ses enfants s’occupent d’elle à tour de rôle. Une fois, lorsque mon tour de m’occuper d’elle est arrivé, j’ai vu qu’elle avait des difficultés à marcher. Elle semblait avoir mal à un pied lorsqu’elle le posait par terre. J’ai pensé qu’elle avait une épine au pied, alors j’ai trempé son pied dans de l’eau chaude et j’ai attendu de voir ce qui lui causait cette douleur.

Les pieds de ma belle-mère étaient bandés et les os de ses orteils semblaient cassés. J’ai vu que ses orteils étaient serrés les uns contre les autres. Ses ongles d’orteil mesuraient deux ou trois centimètres de long et s’enfonçaient dans sa chair. Comment n’aurait-elle pas eu mal ? J’ai écarté ses orteils et j’ai coupé ses ongles l’un après l’autre. Des choses sales y étaient cachées depuis longtemps. J’ai trempé des cotons-tiges dans l’eau et je les ai utilisés pour enlever la saleté petit à petit. Je lui ai ensuite lavé les orteils. Je ne me suis pas sentie dégoûtée, je l’ai fait calmement et gentiment. Les pieds de ma belle-mère ne lui faisaient plus mal et elle a pu marcher normalement à partir de ce moment-là.

En hiver, il fait très froid à la campagne et la vie est difficile. Il n’y a pas de chauffage à la maison et le seul moyen de se réchauffer est de chauffer un kang (appareil de chauffage). Le foyer de ma maison est long et étroit. Afin de garder ma belle-mère au chaud, elle et moi dormons sous la même couette la nuit, elle d’un côté et moi de l’autre. Elle avait toujours froid aux pieds, donc j’ai mis mes pieds contre les siens pour la réchauffer. Elle en a été très émue. Un jour, elle m’a soudain appelée plusieurs fois maman, en disant qu’elle voulait me rendre la pareille. Je l’ai corrigée et lui ai dit qu’elle était ma belle-mère.

En fait, elle n’était pas confuse, même si, à l’époque, je n’ai pas compris pourquoi elle disait une telle chose.

Après le décès de ma belle-mère, j’ai fait un rêve dans lequel je tenais un enfant dont les intestins tombaient de l’anus. J’ai poussé doucement les intestins avec mes doigts. J’ai senti que l’enfant allait bien, je l’ai donc couchée, mais j’ai vu que l’enfant était morte. J’ai soudain découvert que le visage de l’enfant était celui de ma belle-mère.

Ma belle-mère dans cette vie était-elle donc l’enfant que j’avais eue dans une vie antérieure ?

J’ai pensé que je devais désormais cultiver ma compassion, devenir une vraie disciple et rentrer chez moi avec le Maître.

Traduit de l’anglais