(Minghui.org) Je suis né dans les années 70 et j’ai subi un lavage de cerveau par la doctrine de l’athéisme du Parti communiste chinois (PCC). Je ne croyais pas en l’existence de Dieu. Cependant, après avoir été témoin des miracles que ma mère a connus en pratiquant le Falun Dafa, j’ai moi aussi commencé à cultiver. Cela fait maintenant plus de vingt ans et d’innombrables miracles me sont arrivés.

Dafa me transforme

Ma mère était malade avant de commencer la cultivation, et devait prendre des médicaments tout au long de l’année. Mais ses maladies ne guérissaient pas. Après avoir commencé à pratiquer Dafa, toutes ses maladies ont disparu, elle a retrouvé la forme et elle était toujours de bonne humeur.

Après avoir été témoin de la nature extraordinaire et sacrée de Dafa, j’ai changé mes conceptions et j’ai commencé à cultiver Dafa également.

Avant cela, j’étais un gros fumeur et un gros buveur. Lorsque j’étais ivre, je rentrais à la maison et je me disputais avec ma femme. Par conséquent, nous avons failli divorcer. Un hiver, je me suis endormi dans les bois enneigés après avoir bu. Lorsque je me suis réveillé, la neige sous moi avait fondu. Mes vêtements étaient gelés, mais j’allais bien. En y repensant, j’ai eu peur, car dans le nord-est, il y a eu de nombreux cas de personnes mortes de froid ou devenues invalides après s’être évanouies.

Après avoir commencé à cultiver dans Dafa, j’ai compris comment être une bonne personne, et que je devais bien traiter tout le monde en toutes circonstances. J’ai abandonné mes mauvaises habitudes de fumer et de boire, et j’ai cessé de rapporter à la maison des choses venant de mon lieu de travail. Je me suis complètement transformé, et ma famille est devenue harmonieuse. Mes collègues savaient que je pratiquais Dafa et ont acquis de la confiance en moi.

Quand la persécution a commencé

Avant la persécution, je n’étais pas diligent dans l’étude du Fa ou dans la pratique des exercices. Ce n’est qu’après le 20 juillet 1999, quand nous avons appris que nous n’étions pas autorisés à pratiquer, que moi et ma femme, qui était également pratiquante, avons commencé à chérir Dafa. Nous lisions le Zhuan Falun chaque jour.

Alors que la persécution continuait à s’intensifier, Dafa était calomnié et diffamé. Les pratiquants se rendaient continuellement à Pékin pour valider Dafa et rétablir la réputation de notre Maître. Comme ma famille a bénéficié de Dafa, nous nous sommes sentis obligés d’y aller pour sauvegarder Dafa.

La première fois que je suis allé à Pékin, c’était à l’automne 2000, avec mon frère, qui est également pratiquant. Nous avons marché jusqu’à la place Tiananmen, mais comme nous avions peur, nous n’avons rien fait pour défendre Dafa.

Les trois générations de ma famille de sept personnes ont alors décidé de se rendre à Pékin pour valider Dafa à la fin du mois de décembre 2000. Parmi eux se trouvaient un enfant de 5 ans et un nourrisson. Protégée par le Maître, notre famille est arrivée à Pékin avec succès. Le jour du Nouvel An 2001, nous avons tous les sept crié : « Falun Dafa est bon ! Rétablissez la réputation de notre Maître ! » Nous avons brandi des banderoles et distribué des dépliants.

Nous avons été arrêtés et notre famille a ensuite été séparée. Mon jeune frère et moi avons été emmenés en bus dans un centre de détention, où se trouvaient quelques dizaines de pratiquants détenus. Nous avons tous crié : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » pendant plus de dix heures.

Après cela, mon frère et moi avons été séparés. J’ai été emmené au centre de détention de Changping, où des policiers ont essayé de me forcer à révéler d’où je venais, mais j’ai refusé de leur répondre. Après avoir fait une grève de la faim pendant quatorze jours, j’ai été libéré. Le directeur m’a donné des nouilles instantanées et des saucisses à manger en chemin et m’a dit : « Vous êtes le seul à pouvoir bénéficier de ce traitement. » Mais j’ai décliné son offre.

Dans le train du retour, des passagers ont vu le sang séché sur ma tête et m’ont demandé ce qui s’était passé. Je leur ai dit que des policiers m’avaient battu parce que je pratiquais Dafa. J’avais faim dans le train et je n’avais pas d’argent pour acheter de la nourriture, alors j’ai ramassé des pommes jetées par les passagers pour me remplir l’estomac. Après plus de trente heures de train, je suis enfin arrivé chez moi. Ma femme et mon enfant m’attendaient.

Depuis lors, notre grande famille n’a jamais été réunie. Mon jeune frère a été contraint de quitter la maison et de partir errer, et ma femme et moi avons été emmenés illégalement dans différents camps de travaux forcés. Mon jeune enfant et ma mère âgée devaient compter l’un sur l’autre.

Ma mère faisait des allers-retours entre les camps de travail pour me rendre visite et rendre visite à sa belle-fille. Lorsque j’ai été libéré du camp, j’étais si faible que je ne pouvais même pas soulever un seau de 22 livres (ndt : environ 10 kg). J’ai vécu tellement de choses au cours des vingt dernières années que je ne vais pas détailler ici.

Sortir sain et sauf d’une collision

L’été où j’ai été libéré du camp de travail, ma fille m’a demandé de l’emmener faire un tour, alors je l’ai emmenée faire un tour sur mon vélo. La route près de chez moi est assez raide. Elle s’est assise derrière moi et m’a demandé d’aller plus vite.

Nous avons commencé à dévaler la pente, et nous avons accéléré encore plus lorsque j’ai pédalé fort. J’ai soudain vu un gros camion avec quatre roues avant et huit roues arrière garé devant moi. J’ai serré les freins pour essayer de m’arrêter. Les câbles de frein se sont rompus parce que j’ai serré si fort. À ce moment-là, j’ai dit dans mon cœur : « Maître, sauvez-moi ! » Comme je ne pouvais plus freiner, la bicyclette s’est élancée tout droit en direction du camion. Si nous entrions en collision, les conséquences seraient désastreuses.

À ce moment critique, une voiture blanche est soudain sortie d’un garage en bordure de route et m’a barré la route. La bicyclette a heurté la portière arrière de la voiture, et la portière a été cabossée et la vitre a volé en éclats. Le conducteur est sorti de la voiture et nous a demandé si nous étions blessés. Ma fille est tombée par terre, mais n’a pas été blessée. J’ai essuyé les débris de verre sur mes mains, qui saignaient un peu, et j’ai dit au conducteur : « Nous allons bien. »

De nombreux passants ont dit : « Vite, allez à l’hôpital ! » J’ai répondu : « Ça va, pas besoin d’aller à l’hôpital. »

Le conducteur s’est exclamé : « Vous allez bien, mais pas moi. La portière de ma voiture est cabossée et la vitre est cassée. Vous devez me dédommager ! »

Je lui ai demandé : « Combien je vous dois ? » Il m’a répondu : « Ça va si vous me donnez juste 200 yuans. »

J’ai dit : « D’accord, alors venez avec moi à la maison pour récupérer l’argent. »

À l’époque, ma famille connaissait des difficultés financières. Je ne pouvais pas faire de travaux lourds et je ne gagnais que 300 yuans par mois en faisant la vaisselle dans un snack-bar. Les spectateurs ont dit : « C’est incroyable ! Quelqu’un a été renversé par une voiture comme ça, mais n’a pas été blessé du tout ! »

Je savais que c’était parce que je pratiquais Dafa et que le Maître nous avait protégés.

Échapper de justesse à la chute d’un radiateur de 330 livres

Un hiver, j’ai récupéré des radiateurs dans une école démolie. J’ai engagé quelques personnes pour utiliser un palan afin de transporter les radiateurs depuis une fenêtre extérieure. Nous avons loué une voiture pour la garer juste sous la fenêtre, dans l’espoir de les descendre directement du deuxième étage jusqu’à la voiture.

Au cours du processus de levage, le crochet entourant l’un des radiateurs s’est soudain détaché. En conséquence, le radiateur de près de 330 livres (ndt : près de 150 kg) est tombé. J’ai entendu un grand « bang ». J’étais tellement pétrifié que je me suis dit : « Ils sont foutus ! » Un radiateur de 330 livres est tombé sur la voiture, et trois personnes se tenaient là. Je ne pouvais pas imaginer ce qui allait se passer ensuite, et je n’osais pas regarder en bas.

Ce n’est que lorsque j’ai entendu les gens en bas rire que j’ai osé regarder en bas. J’ai alors réalisé que tout le monde était sain et sauf. Les trois ouvriers m’ont dit par la suite que le radiateur était tombé verticalement sur une grande planche à compartiments, puis qu’il avait lentement glissé dans la voiture.

Si le radiateur était tombé directement sur la voiture, les conséquences auraient été désastreuses. L’une des trois personnes était un pratiquant, et les deux autres connaissaient la vérité sur Dafa. Ils ont interprété cela comme étant un miracle, comme s’ils avaient survécu à une catastrophe. Nous avons tous été témoins de la nature merveilleuse de Dafa, et nous savions que c’était le Maître qui les avait protégés.

Bénédictions obtenues après avoir appris la vérité

Une fois, j’ai clarifié les faits auprès d’un propriétaire de restaurant nommé Qian et je l’ai aidé à démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées. Il a compris la vérité sur Dafa et a souvent utilisé l’application pour contourner le blocus de l’Internet et accéder à des sites web étrangers. Chaque fois que je prenais des repas avec lui et que des clients étaient présents, il prenait l’initiative de leur dire : « Il pratique Dafa ! » Il me demandait alors de leur parler de la persécution.

Qian est passé un jour devant un chantier de construction et a tourné à un embranchement. Un livreur circulait à moto à vive allure et a percuté la voiture de Qian par l’arrière. Ce dernier a entendu un bruit sourd, s’est arrêté pour vérifier l’état du livreur et lui a demandé comment il allait. Celui-ci s’est retourné et a répondu : « Pas de problème, je vais bien. » Les deux voitures étaient intactes.

Qian m’a dit plus tard : « Avec une collision aussi importante, l’homme et la voiture s’en sont sortis, c’était incroyable ! » Je lui ai dit que le Maître l’avait protégé. Il a également été reconnaissant envers le Maître pour cela.

Il accrochait souvent une amulette clarifiant la vérité dans sa voiture. Lorsqu’elle commençait à se faire vieille à cause de l’usure, il venait me voir pour en obtenir une nouvelle. Une fois, lorsque la couleur de son amulette s’est ternie, il m’a demandé de lui en donner une nouvelle. Je lui ai dit : « Je t’en apporterai une demain. »

Il m’a répondu : « Laisse-moi aller la chercher avec toi. Demande à ton enfant d’en apporter une de la maison. Je dois m’absenter pour m’occuper de quelque chose. Quand j’en ai une dans ma voiture, je me sens très en sécurité ! »

Après avoir été licencié, j’ai travaillé de temps en temps pour Qian. Il m’a dit : « J’ai observé ta mentalité pendant que tu travaillais. Tu es différent des autres. Ils négocient d’abord et travaillent ensuite. Mais toi, tu travailles bien d’abord. » Lorsque le moment venait de me payer, je le laissais me donner ce qu’il voulait. Je ne me souciais pas s’il payait trop peu, et je ne discutais pas avec lui. Je travaillais avec acharnement sans me plaindre.

Nous avons ainsi travaillé ensemble pendant plus de dix ans. Chaque année, les comptes étaient réglés à la fin de l’année. Et il me versait des dizaines de milliers de yuans au total pour l’année. Il ne regardait jamais les relevés annuels des dépenses. Il me disait simplement : « Pas besoin de regarder, dis-moi le montant et je te paierai. »

« Je n’ai confiance qu’en toi ! »

Il y a beaucoup d’incidents violents dans les écoles de nos jours, c’est pourquoi la sécurité est maintenant plus stricte et les personnes extérieures n’ont pas l’autorisation d’y pénétrer. J’ai accepté un travail dans une école parce que les responsables de l’école avaient souvent affaire à moi. Ils savaient aussi que je pratiquais Dafa et m’ont dit que j’étais une personne digne de confiance. Ils m’ont même donné un double de la clé d’entrée de l’école.

Pendant les vacances, le directeur m’a proposé des bénéfices, mais je les ai refusés. Il m’a dit : « Tous les autres en veulent, mais toi, tu ne veux rien. » J’ai également clarifié les faits auprès de la mère du directeur et je l’ai aidée à démissionner du PCC. Elle m’a dit : « Tu es son bras droit. Il ne fait confiance à aucun des membres de sa famille qui travaillent pour lui. Mais il a confiance en toi ! » Il m’a donné toutes les clés des entrepôts et m’a demandé de surveiller ses proches lorsqu’ils travaillaient.

Toutes les dépenses de l’école étaient payées en espèces. Un jour, l’école était en vacances et le directeur a dit : « Il n’y a personne. Peux-tu, s’il te plaît, aller chercher l’argent ? Tu sais où se trouvent les clés du bureau et des tiroirs, alors va le chercher toi-même. »

Un autre chef d’établissement scolaire m’a dit : « Je te fais confiance et je te demande de faire tout mon travail. Si tu es occupé, fais d’abord ce qui est urgent. J’attendrai que tu fasses ce travail quand tu auras fini ! »

Le Falun Dafa ne m’a pas seulement transformé, il m’a aussi sauvé. La compassion du Maître m’a protégé et a fait de moi une personne digne de confiance. J’ai beaucoup de chance. Je serai plus diligent pour assister le Maître dans la rectification de Fa, et aider plus d’êtres à apprendre la vérité et à avoir un avenir lumineux !

Traduit de l’anglais