(Minghui.org) Ma mère et moi pratiquons le Falun Dafa (également connu sous le nom de Falun Gong) depuis près de trente ans. À l’occasion de la Journée mondiale du Falun Dafa, nous aimerions profiter de cette occasion pour partager nos histoires de cultivation.
Je commence à pratiquer le Falun Dafa
Ma mère m’a parlé du Falun Dafa lorsque j’étais à l’école secondaire. Elle m’a emmené à l’étude collective du Fa et aux exercices du matin, ainsi qu’à des activités de grande envergure pour présenter le Falun Dafa, et à une conférence de Fa qui a rassemblé plus de 1000 pratiquants.
Notre groupe d’étude du Fa était composé de plusieurs dizaines de pratiquants avant d’être divisé en plus petits groupes. Nous lisions le Zhuan Falun à tour de rôle et, après avoir fini la lecture, nous discutions de nos expériences de cultivation.
Une pratiquante a raconté comment elle avait réagi lors d’un test de xinxing : son mari l’avait giflée sans raison, mais en se rappelant qu’elle était une pratiquante, elle avait réussi à contenir sa colère et à ne pas riposter. Elle avait regardé à l’intérieur pour déterminer ce qu’elle avait fait d’inapproprié.
À l’époque, j’étais encore un novice dans la discipline. Je ne comprenais pas vraiment ce que représentait la cultivation. J’ai été profondément ému par son histoire. J’ai trouvé surprenant qu’elle n’ait pas éprouvé de ressentiment après avoir reçu une gifle, mais ait plutôt réfléchi à son propre comportement. Il est clair qu’elle était bien différente des gens ordinaires !
En continuant à étudier le Fa, en écoutant les partages des pratiquants et en étant témoin de leurs paroles et de leurs actions bienveillantes, j’ai peu à peu compris ce que faisait ce groupe de personnes — elles se conduisaient selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance pour devenir des personnes encore meilleures.
Au début, je ne comprenais pas vraiment ce que signifiait cultiver et pratiquer et comment cultiver. Enfant, j’avais du mal à comprendre les principes profonds du livre. Je reconnaissais simplement les mots « Authenticité-Bienveillance-Tolérance ».
Je me souviens qu’au cours du premier semestre de ma troisième année du secondaire, nous avions un nouveau professeur de géométrie qui était assez strict. Un jour, elle a exigé que les élèves se taisent et que personne ne parle. Je discutais d’un problème avec un camarade de classe lorsqu’elle m’a vu, et elle m’a puni en me faisant rester debout devant la classe pour le reste du cours.
C’était une énorme humiliation pour moi. En tant qu’élève bien élevé qui n’avait jamais été sanctionné de la sorte, je me suis senti traité de façon profondément injuste et j’ai pleuré à chaudes larmes après le cours. Cependant, je ne lui ai pas gardé rancune.
Je me suis rappelé que j’avais appris le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, et que je devais être gentil. Je savais qu’il ne fallait pas avoir de ressentiment envers qui que ce soit. C’était ma compréhension initiale et simple du principe à l’époque.
Pendant toute l’année scolaire, je n’ai pas développé de pensées négatives ou de ressentiment à l’égard du professeur de géométrie. Elle s’est progressivement rendu compte que j’étais un bon élève et a commencé à me traiter avec gentillesse. Nous avons eu une relation professeur-élève harmonieuse.
La famille de ma mère avait un lien profond avec le bouddhisme. Lorsque ma grand-mère était petite, l’un des aînés de sa famille était bouddhiste. Ma grand-mère et ma mère ont commencé à croire au bouddhisme et sont devenues végétariennes.
Cependant, malgré sa croyance dans le bouddhisme, la santé de ma mère est restée précaire. Elle avait constamment besoin de médicaments pour soigner sa néphrite, son syndrome de Ménière et, plus inquiétant encore, une grave maladie cardiaque.
Quand ma mère a commencé à pratiquer le Falun Dafa, sa santé s’est rapidement améliorée. Elle a cessé de prendre des médicaments pour le cœur et sa néphrite a disparu. Elle était toujours de bonne humeur.
Son travail l’obligeait à travailler par rotation. Par le passé, pendant son quart de nuit, elle s’éclipsait souvent pour aller dormir. Elle s’était même disputée avec son superviseur pour des avantages personnels.
Mais après avoir commencé à pratiquer Dafa, ma mère a réalisé qu’elle devait se conduire en suivant le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et prendre son travail au sérieux. Elle est devenue prévenante à l’égard de ses collègues et s’est efforcée de s’améliorer. Au lieu de s’endormir pendant son quart de nuit, elle travaillait avec diligence.
À plusieurs reprises, lorsque le superviseur est venu vérifier les équipes de nuit, ma mère était la seule à être de service, les autres étant partis dormir quelque part.
Inébranlables malgré les difficultés et les dangers
Alors que ma mère et moi pratiquions avec bonheur le Falun Dafa, le 20 juillet 1999, le chef du Parti communiste chinois, Jiang Zemin, a lancé la persécution du Falun Gong. Nous avons eu l’impression que le ciel tombait sur nos têtes et que le sang se déversait sur nous, nous secouant jusqu’au plus profond de nos êtres.
N’ayant jamais fait l’expérience d’un mouvement politique auparavant, ma simplicité et mon innocence juvéniles m’ont empêché d’avoir peur. Je ne comprenais pas pourquoi le gouvernement m’interdisait de pratiquer le Falun Gong. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est si merveilleux, et les principes de conduite personnelle que le Maître nous a enseignés sont si bons, pourquoi quelqu’un les abandonnerait-il ?
Dès le début de la persécution, les dirigeants de la communauté et la police sont fréquemment venus nous « rendre visite » à la maison. Ils ont confisqué la carte d’identité de ma mère et nos livres de Dafa. Un jour, deux directeurs de comités de quartiers sont revenus, exigeant que ma mère signe une « déclaration de garantie » de renoncement au Falun Gong. Comme ma mère n’était pas à la maison, ils m’ont demandé de la signer en son nom.
À l’époque, j’étais trop jeune pour comprendre la gravité de renoncer à la cultivation, et j’ai envisagé de signer simplement pour qu’ils partent. Cependant, dès que j’ai saisi le stylo, je me suis senti étourdi. J’ai alors réalisé que je ne pouvais pas signer et j’ai déchiré le papier à la place. Plus tard, j’ai rencontré l’un des directeurs et il m’a dit : « Vous avez bien fait de déchirer ce papier. »
Comme ma mère refusait d’abandonner sa cultivation, la police l’a souvent harcelée, tant à son domicile qu’au travail. Elle a été détenue illégalement à de multiples reprises et est devenue « bien connue » au poste de police local. Une année, vers le Nouvel An, la police a fait irruption chez nous alors que nous dormions et a emmené ma mère en détention. C’est ainsi que la police du PCC persécute des personnes gentilles et innocentes.
Ma mère avait une bonne réputation au travail parce qu’elle se conduisait selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Elle a expliqué la vérité sur le Falun Gong à ses supérieurs, qui se sont montrés compréhensifs. Chaque fois qu’elle a été enlevée et détenue, sa direction a exigé qu’elle soit libérée.
Cependant, au fil du temps, sa direction n’a pas pu résister à la pression et a dû forcer ma mère à prendre une retraite anticipée. En conséquence, ma mère a perdu les avantages liés à son travail et a dû vivre avec un revenu mensuel de quelques centaines de yuans.
À l’époque, mon père est décédé et j’étais encore au lycée. Ma mère, sa mère aveugle et moi-même avons emménagé dans un appartement loué et nos conditions de vie étaient difficiles. Finalement, grâce à un projet immobilier, un nouvel appartement nous a été attribué et nous y avons emménagé avec beaucoup de joie.
Quelques mois avant que je ne termine mes études secondaires, il y a eu une arrestation massive de pratiquants de Falun Dafa dans ma ville. Plusieurs milliers d’entre eux ont été arrêtés et nombre d’entre eux ont été brutalement battus à mort ou gravement blessés. Cette brutalité effrénée a choqué le monde entier.
La nuit de l’arrestation massive, la police est venue chercher ma mère. Comme elle n’était pas à la maison, ils m’ont emmené au poste de police et m’ont interrogé, cherchant à savoir qui étaient ses contacts et si elle faisait les exercices à la maison. J’ai répondu que je ne savais pas, car j’étais à l’école.
Ils m’ont ensuite poussé à signer la « déclaration de garantie » de renoncement au Falun Gong, mais j’ai refusé. Il était déjà tard dans la nuit, après plusieurs heures d’interrogatoire sans rien obtenir de moi, ils ont fini par me laisser partir.
J’ai retrouvé ma mère cette nuit-là et nous avons commencé à vivre en exil. J’ai appris plus tard que la police était revenue la nuit suivante pour m’arrêter. Ils voulaient terminer leur mission et faire leur rapport. Heureusement, j’étais déjà parti.
Nous n’osions plus rentrer chez nous, alors nous vivions chez des amis et des parents. L’un d’eux, bienveillant, a accueilli ma grand-mère pendant une courte période. Pour éviter que la police me harcèle à l’école, je suis allé dans un lycée privé, où j’ai finalement obtenu mon diplôme. J’ai changé trois fois d’école au cours de ma dernière année du secondaire.
En raison de la brutalité de la persécution du PCC, nous n’avons pas pu rentrer chez nous pendant des années. Ma mère, ma grand-mère et moi-même avons vécu dans la pauvreté, sans cesse en mouvement. J’ai perdu le compte du nombre de fois où nous avons dû déménager, si souvent que le mot « maison » ne signifiait plus rien. Dans mon esprit, ce n’était rien de plus qu’un endroit où dormir, et je me sentais comme un vagabond.
Me conduire selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance
En grandissant, ma compréhension de la cultivation n’était plus aussi superficielle que lorsque j’étais enfant. Au fil des ans, j’ai lu attentivement les Neuf commentaires sur le Parti communiste et j’ai acquis une compréhension plus claire de la véritable nature du PCC.
En mêlant mes propres expériences de la persécution et les enseignements du Maître, j’ai profondément réfléchi et compris, à leur juste valeur, les raisons pour lesquelles je continuais à tenir fermement à ma croyance face à une répression sévère. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est une valeur universelle. Il n’y a rien de mal à élever sa moralité et à vivre selon ce principe.
Ce que nous endurons est similaire à ce que les disciples de Shakyamuni ou de Jésus ont vécu, à savoir rester fidèle à une croyance juste face à la persécution. Aujourd’hui, nous suivons le Maître en suivant le chemin le plus juste. Même si ce chemin est difficile et semé d’embûches, nous sommes déterminés à persévérer jusqu’au bout.
Au fil des ans, dans notre vie quotidienne et dans notre travail, nous nous rappelons constamment que nous sommes des pratiquants de Falun Gong et que nous devons suivre les enseignements du Maître, en nous efforçant de nous conduire selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.
Après avoir obtenu mon diplôme, j’ai rejoint une entreprise et j’y ai travaillé pendant six ans. Lorsque j’ai commencé, j’avais peu d’expérience professionnelle et je demandais souvent conseil à ma patronne lorsque je rencontrais des difficultés.
Un jour, alors que je rencontrais une cliente, j’ai été confronté à un problème délicat et j’ignorais comment le résoudre. Comme d’habitude, j’ai demandé de l’aide à ma patronne. À ma grande surprise, elle m’a réprimandé devant la cliente et mes collègues. Même la cliente s’est sentie mal pour moi et l’a rassurée : « Ce n’est pas grave. Il peut réessayer. »
Face à cette réprimande soudaine, j’ai été momentanément désemparé, mais je n’ai pas ressenti de ressentiment ou de grief. Plus tard, ma patronne m’a expliqué qu’elle s’était volontairement emportée contre moi pour créer une porte de sortie, une marge de négociation, afin que la cliente ait l’impression que nous prenons l’affaire au sérieux. Je lui ai dit que je comprenais.
Je me suis souvenu des paroles du Maître :
« Penser aux autres pour chaque chose, d’abord bien prendre en compte les autres, et ensuite penser à soi. Je veux qu’en réussissant la cultivation, vous ayez la plénitude parfaite du Fa juste et de l’éveil juste de d’abord les autres et moi ensuite. » (Enseignement du Fa à la conférence de Fa d’Australie)
J’ai senti qu’il n’était pas facile pour ma patronne de faire tourner l’entreprise, tout en équilibrant toutes sortes de relations, et que je devais donc faire preuve de compréhension et de sympathie. En tant que pratiquant, je dois me conformer aux critères du Fa et tenir compte des autres. Un grief passager n’est rien.
J’ai essuyé ce genre de reproches plus d’une fois dans cette entreprise, et je savais qu’en tant que pratiquant, je ne devais pas me préoccuper de ces choses. En fait, je les ai progressivement oubliées.
Plus tard, je suis devenu l’employé ayant la plus longue ancienneté et le titre le plus élevé dans cette entreprise, mais ma patronne me donnait le même salaire que mes collègues, qui avaient moins d’expérience et des postes de niveau inférieur. Cette situation ne m’a jamais dérangé.
Au début, lorsque ma patronne a découvert que je pratiquais Dafa, elle a envisagé de me licencier. Son mari a dit : « Qu’y a-t-il de mal à pratiquer le Falun Gong ? Il n’a rien fait de mal, pourquoi se séparer d’un si bon employé ?! »
J’ai travaillé avec diligence dans cette entreprise pendant six ans, soutenant la patronne dans les moments difficiles. Cela fait cinq ans que je l’ai quittée, mais elle me fait encore savoir que si je revenais, elle m’offrirait un salaire généreux, ce que je refuse poliment.
J’ai travaillé dans une autre entreprise pendant six mois. Ce n’était pas très long, mais je m’entendais bien avec mon patron et sa femme. J’avais passé l’examen de niveau intermédiaire et j’avais beaucoup d’expérience professionnelle lorsque j’ai commencé. Mon patron reconnaissait mes compétences et je recevais des commentaires positifs de la part des clients.
En tant que pratiquant de Falun Dafa, j’ai gardé les enseignements du Maître à l’esprit et je me suis efforcé d’être une bonne personne partout où je me trouvais. Lorsque je rencontrais des difficultés, je me mettais à la place de mon patron ou du client, au lieu de me concentrer sur ma perte ou mon gain personnel.
Parfois, les clients négociaient pour obtenir un prix plus bas. Contrairement à certains marchands qui rognent sur la qualité pour gagner de l’argent, j’ai respecté le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Même si je gagnais moins d’argent, je suivais les procédures appropriées et j’effectuais un travail de qualité.
Pour obtenir de bons résultats, j’ai parfois dû faire des efforts supplémentaires. Je n’ai jamais pris de raccourcis. Mon patron et mes clients ont reconnu mon éthique de travail et mon professionnalisme.
J’ai eu affaire à un client difficile, et, malgré plusieurs tentatives, je n’ai pas réussi à régler le problème. La femme du patron m’a recommandé de contacter une collègue d’un magasin voisin. Tout s’est bien passé.
Ensuite, elle m’a parlé pour s’assurer que j’étais à l’aise avec cet arrangement. Je lui ai dit que j’appréciais de pouvoir apprendre de quelqu’un d’autre. Elle a répondu avec joie : « J’aime parler avec vous, il n’y a pas de barrières. »
La pandémie de COVID a éclaté pendant le Nouvel An chinois, ce qui a entraîné une baisse de la clientèle et des recettes. Le propriétaire a décidé de permettre à tout le monde commencer ses vacances plus tôt. Lorsque nous avons repris le travail après la pause, j’ai reçu un salaire complet.
Je savais que l’entreprise était en difficulté à la fin de l’année et que le patron ne réalisait pas de bénéfices. J’ai également estimé qu’il n’était pas juste d’être payé pour les jours de congé supplémentaires, et j’ai donc restitué cette partie de mon salaire. La femme du patron a été heureuse, parce qu’elle ne s’attendait pas à ce que je fasse cela. Je pouvais voir qu’elle appréciait mon caractère. Comme pratiquant de Dafa, je dois toujours être prévenant envers autrui.
Le premier mois après mon entrée en fonction, les deux adjoints du patron sont partis. Après le travail, j’aidais donc le patron à assumer certaines de leurs responsabilités, ce qu’il appréciait. Plus tard, de nouveaux employés ont été embauchés. Voyant qu’ils manquaient d’expérience, j’ai fait de mon mieux pour les former, en faisant ce que je pouvais pour alléger la charge de travail du patron.
Environ six mois plus tard, j’ai démissionné parce que je devais déménager. Le patron m’a dit à contrecœur : « Vous n’êtes pas resté assez longtemps avec nous. » Lors de mon départ, la femme du patron m’a dit : « J’espère que vous reviendrez. »
Le cadeau de Dafa
Au fur et à mesure que notre niveau de cultivation s’est élevé, notre environnement a commencé à évoluer de manière positive. Vers 2008, nous avons emménagé dans la maison d’un proche pour l’aider à s’en occuper. Durant les dix années qui ont suivi, sous la protection miséricordieuse du Maître, nous avons vécu une vie relativement stable, avec peu de harcèlement. Ce n’est qu’en 2017, avec l’aide d’amis et de parents, que j’ai finalement pu acquérir ma propre maison.
C’était au plus fort du marché immobilier et je n’avais pas beaucoup d’argent. Cependant, comme le propriétaire avait un besoin urgent de fonds, je lui ai acheté la maison directement à un prix proche du prix d’origine, sans avoir à payer de frais de courtage.
La maison n’était pas grande, mais son agencement, son emplacement et son prix correspondaient exactement à ce que je souhaitais. L’ensemble du processus de transfert s’est déroulé exceptionnellement bien, comme s’il avait été organisé spécialement pour moi. Nous savions que c’était un cadeau du Maître.
À cause de l’achat de la maison, je me suis endetté de plus de 100 000 yuans et, en 2019, je n’avais toujours pas remboursé ma dette. Dans l’espoir de faire progresser ma carrière, j’ai démissionné pour préparer un examen important. Cependant, en raison de l’apparition de la pandémie, je me suis retrouvé au chômage pendant près d’un an et demi. Ce n’est qu’en juillet 2021 que j’ai pu retrouver un emploi régulier.
Au cours des dernières années de la pandémie, l’économie chinoise est restée atone et de nombreuses industries sont en déclin. D’innombrables personnes ont eu du mal à trouver un emploi, sans parler de gagner suffisamment d’argent pour rembourser leurs dettes.
Pourtant, miraculeusement, en seulement quatre ans, après avoir repris mon emploi, j’ai non seulement remboursé intégralement mes dettes résiduelles, mais j’ai aussi réussi à mettre de côté une somme considérable. Notre vie s’est progressivement améliorée au fil des ans.
Nous n’avons pas délibérément essayé d’économiser de l’argent. Nos dépenses quotidiennes, nos activités sociales et notre mode de vie sont restés normaux, mais le solde de notre compte en banque n’a cessé d’augmenter. Ni ma mère ni moi n’avions jamais imaginé que nous serions dans une situation financière aussi stable.
Aujourd’hui, nous jouissons d’une bonne santé et de revenus stables. Aux yeux de nos parents et de nos amis, nous entretenons une relation mère-fils aimable et harmonieuse, vivant en paix et à l’abri des soucis matériels.
À un moment donné, la persécution brutale nous a presque fait tout perdre. Mais, grâce à la protection et aux conseils miséricordieux du Maître, les principes de Dafa ont progressivement dissipé notre ignorance et notre confusion.
Pas à pas, à travers les tribulations et l’adversité, nous avons développé une résilience, une intégrité et une ouverture d’esprit remarquables. En prenant avec légèreté les tentations du profit et du désir, nous en sommes venus à comprendre ce qu’est véritablement l’état d’esprit et la sagesse d’un pratiquant et ce que signifie une véritable transcendance dans la vie. En repensant à notre parcours, nous nous rendons compte que nous n’avons rien perdu. Au contraire, nous avons gagné quelque chose de bien plus grand.
Au début, Jiang Zemin a dit avec arrogance : « Éliminez le Falun Gong en trois mois ! » Il a même encouragé la politique de persécution des pratiquants consistant à « ruiner leur réputation, les ruiner financièrement et les éliminer physiquement ».
Toutefois, après vingt-six ans de répression implacable, il est clair que les pratiquants de Falun Dafa ne peuvent être écrasés. La perversité ne peut jamais vaincre la justice. Cette persécution brutale a été un échec total. Elle est totalement injuste et doit cesser immédiatement.
Conclusion
Je suis infiniment reconnaissant envers le Maître de nous avoir aidés à comprendre le but de la vie et la manière de la vivre. Les principes du Falun Dafa nous ont fait passer de l’égoïsme à l’altruisme, et cette transformation intérieure nous a permis d’expérimenter véritablement la beauté et la joie d’un niveau de vie élevé.
J’espère que de plus en plus de personnes prédestinées, comme nous, pourront recevoir les conseils et le salut du Fa de Bouddha et retrouver leur véritable moi dans ce monde chaotique.
(Article sélectionné pour la célébration de la Journée mondiale du Falun Dafa 2025 sur Minghui.org)
Traduit de l’anglais
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