(Minghui.org) J’ai 54 ans et je vis à la campagne. J’aimerais vous parler de certaines de mes expériences étonnantes depuis que j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 2012.
Une famille plus heureuse
Je souffrais de toutes sortes de malaises : maux de tête, yeux secs, ulcères buccaux, saignements et pus dans les oreilles, pharyngite chronique, mastite, gastro-entérite chronique, colite chronique, sciatique et douleurs dans les jambes. Je souffrais également d’une maladie cardiaque congénitale, de dépression, d’insomnie et de cauchemars.
J’avais à peine 40 ans lorsque j’ai commencé à ressentir les symptômes de la ménopause : angoisse, irritabilité, colère, sueurs nocturnes et sautes d’humeur. Je me sentais tellement mal que je ne pouvais pas réfléchir clairement et j’avais souvent des pensées suicidaires.
Ma famille souffrait avec moi. Un jour, mon mari m’a demandé : « Peux-tu me dire où tu n’as pas mal ? »
Ma mère m’a dit : « Tu es encore jeune, mais tu souffres autant que moi. » Ma belle-mère disait que je me plaignais toujours. C’était trop. Que pouvais-je faire ?
Tous ces soucis se sont dissipés une fois que j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa. Je n’étais finalement plus malade et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie heureuse et sereine. Le ciel était plus lumineux, les gens semblaient plus gentils et tout allait mieux, ce dont je n’avais jamais rêvé.
Ma belle-mère a dit à sa fille : « Tu devrais peut-être pratiquer le Falun Dafa. Regarde ta belle-sœur (c’est-à-dire moi). Elle travaille tout le temps, n’est jamais fatiguée et n’est plus malade. »
Les meilleurs employés
Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, j’ai essayé de suivre le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et j’ai été gentille avec tout le monde. Trois ans plus tard, mon mari, ma sœur et moi-même sommes allés travailler dans une usine qu’un parent avait ouverte dans une commune voisine. Mon mari et moi étions dans la même unité de travail, tandis que ma sœur était dans une autre. Nous avons loué un appartement pour pouvoir pratiquer le Falun Dafa ensemble.
Il m’a fallu un certain temps pour m’habituer à mon nouvel environnement. J’ai continué à faire les exercices et à étudier les enseignements du Fa, mais je n’ai pas parlé du Falun Dafa à qui que ce soit. Mon mari et mon fils vivaient avec moi et ils ont commencé à pratiquer après avoir constaté mes changements positifs. En plus de travailler douze heures par jour, nous lisions les enseignements, faisions les exercices et émettions la pensée droite. Les autres employés nous faisaient confiance, car ils voyaient que nous étions de bonnes personnes, et ils comprenaient ce que nous disions sur le Falun Dafa.
Nous suivions Authenticité-Bienveillance-Tolérance, le principe du Falun Dafa et nous étions gentils avec tout le monde. La plupart des employés prenaient des objets à l’usine et ils nous en offraient, mais nous refusions toujours poliment, en disant que ces objets ne nous appartenaient pas.
Lorsque nous avons pris une demi-journée de congé, le directeur (le neveu de mon mari) ne l’a pas inscrit sur la feuille de présence. Lorsque je le lui ai rappelé, il m’a dit que ce n’était pas grave. Je lui ai expliqué : « Nous sommes des pratiquants et nous devons être honnêtes. » Il a accepté et a corrigé le problème.
La plupart des employés venaient d’autres régions et vivaient dans des dortoirs ou des appartements. Chaque fois que je revenais de ma ville natale, je leur apportais des fruits et des légumes. Tout le monde était content.
J’essayais d’aider mes collègues. Surtout quand mon mari est devenu manager, nous aidions souvent les nouveaux ou les personnes âgées. Par exemple, il leur confiait les tâches faciles et me donnait les tâches difficiles dont personne ne voulait. En été, lorsque le nombre de ventilateurs était insuffisant, nous en donnions à nos collègues. Quoi qu’il arrive, nous étions toujours gentils envers les autres.
Yan, une collègue, était originaire de Mongolie intérieure. Elle était en mauvaise santé et sa fille tombait souvent malade. Elle n’avait pas beaucoup d’argent et devait en emprunter aux autres. Je lui ai toujours prêté de l’argent. Un jour, quand Yan est allée voir un médecin, elle n’avait pas assez d’argent pour régler la consultation, alors elle a dit qu’elle paierait plus tard. Le médecin a eu peur qu’elle ne paie pas et lui a dit : « Demain, la facture sera doublée. » Yan n’a pas eu d’autre choix que d’emprunter de l’argent. Elle a confié à quelqu’un qu’elle se sentait mal à l’aise de me demander de l’argent, car elle avait déjà beaucoup emprunté auparavant.
Je l’ai entendue, je lui ai donné de l’argent et je lui ai dit : « Va payer le médecin. C’est important. » Les larmes aux yeux, elle m’a dit : « Pourquoi es-tu si gentille avec moi ? »
J’ai répondu : « Parce que je pratique le Falun Dafa et que je prends à cœur le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. » Lorsque je lui ai expliqué ce qu’est Dafa et que je lui ai demandé de ne pas croire aux mensonges du Parti communiste chinois (PCC), elle n’a pas arrêté de hocher la tête.
Un jour, il pleuvait à verse lorsque mon mari et moi avons quitté le travail sur notre moto. Nous avons vu Yan sur le bord de la route, qui tentait de réparer sa moto. Elle n’avait pas d’imperméable et était trempée. Nous nous sommes arrêtés et je lui ai demandé ce qui se passait. Elle m’a répondu : « La chaîne a déraillé, mais je suis en train de la remettre en place. Ne vous inquiétez pas pour moi, ça va bientôt être réglé. »
Lorsque j’ai enlevé mon imperméable pour le lui mettre, elle m’a dit : « S’il te plaît, ne le fais pas. Je suis déjà mouillée. » Mais je lui ai quand même donné l’imperméable, car je ne voulais pas qu’elle tombe malade. Je savais que je n’avais rien à craindre puisque je pratiquais Dafa.
Deux sœurs originaires de la province du Shandong travaillaient à l’usine. Comme elles étaient plus âgées, elles étaient lentes et les responsables de l’usine hésitaient à les embaucher, si bien qu’elles ont été embauchées à l’essai. Mon mari et moi avons tenté de les aider en leur confiant des tâches simples. Je les ai également aidées et leur ai donné de la nourriture. Lorsque la sœur aînée est partie un an plus tard, elle m’a pris la main et m’a dit : « Merci beaucoup. Sans votre aide et celle de votre mari, ma sœur et moi n’aurions pas pu travailler ici. Vous êtes toujours si aimables. »
Je lui ai expliqué que je pratiquais le Falun Dafa et je lui ai rappelé de réciter les phrases suivantes : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Elle a hoché la tête et a répondu : « Bien sûr. Chaque fois que je penserai à vous, je me souviendrai de ces phrases. »
Il y a eu de nombreux incidents de ce genre. Mon mari et moi avons simplement fait les choses avec notre cœur pur, sans réfléchir et sans attendre de reconnaissance. Chaque fois que nous avons mentionné Dafa à de nouveaux employés, ils nous ont dit qu’ils avaient entendu dire que nous étions des gens bien. Ils étaient également heureux de démissionner des organisations du PCC. Une personne nous a dit : « Les gens disent que vous et votre mari êtes les meilleurs employés ici. »
J’ai répondu : « C’est parce que Maître Li, le fondateur du Falun Dafa, nous enseigne à être de bonnes et de meilleures personnes. »
Ma sœur
Ma sœur Lan et moi avons commencé à pratiquer Dafa au même moment. Elle souffrait d’une tumeur externe à l’utérus et le médecin lui avait recommandé une intervention chirurgicale. Lan ne pouvait pas se le permettre. C’est alors qu’elle a entendu parler du Falun Dafa.
Peu de temps après avoir appris les exercices, son affection gynécologique qui la gênait depuis longtemps a disparu, tout comme ses autres maux, y compris la tumeur utérine. Elle était très reconnaissante envers Maître Li et a dit : « Je ne savais pas qu’un problème pouvait être résolu sans dépenser d’argent. Merci, Maître Li ! »
Lan travaillait dur et était franche. Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, elle a traité les autres avec gentillesse et leur a parlé de la méthode. Elle était la seule personne de la région dans son unité de travail. Ses collègues la méprisaient parce qu’ils pensaient que les locaux étaient paresseux. Leurs tâches étant fatigantes, ils travaillaient à tour de rôle. Mais personne ne remplaçait Lan. Elle ne se plaignait pas et continuait à travailler. Quelqu’un a trouvé que c’était injuste et a aidé Lan.
Elle suivait le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Non seulement elle travaillait dur, mais à l’heure des repas, elle laissait les autres se servir en premier. Un collègue ne comprenait pas et lui a dit : « Si tu attends toujours jusqu’à la fin, il ne restera que de la soupe. »
Lan a dit : « Quelqu’un doit être le dernier. Je suis une pratiquante de Dafa et tout ira bien pour moi. »
Elle s’est absentée pour une demi-journée parce qu’il était temps de récolter le blé. Le directeur ne l’a pas noté et l’a payée comme d’habitude. Lan n’a pas voulu en profiter et a proposé de travailler une heure de plus chaque jour jusqu’à ce qu’elle ait rattrapé son retard. Ses collègues ont été impressionnés et tout le monde l’a félicitée.
Un jour, au cours d’un quart de nuit, les mains de Lan ont soudain gonflé et elle s’est sentie faible. Ses collègues lui ont dit qu’il s’agissait peut-être d’une réaction allergique et lui ont conseillé de faire une pause et de rentrer chez elle. Elle s’est rappelé qu’elle était une pratiquante, elle ne l’a donc pas pris au sérieux et a récité : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Ses mains ont rapidement retrouvé leur apparence habituelle et ses collègues ont été stupéfaits.
Le directeur de l’unité de travail de Lan ne traitait pas les employés de la même manière. Une tâche était particulièrement épuisante et le directeur la confiait toujours à certains employés, dont Lan. Cette dernière a dit au directeur : « Je pratique le Falun Dafa, je ne vais donc pas me plaindre. Mais ce n’est pas le cas des autres employés. Si vous confiez toujours cette tâche à certains employés et pas à d’autres, ceux qui ont cette charge supplémentaire ne seront pas heureux. Si vous suivez le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, je pense que cela vous sera bénéfique, ainsi qu’aux ouvriers. »
Le directeur a accepté et a commencé à traiter tout le monde avec équité. De ce fait, ses collègues ont encore plus respecté Lan. Lorsqu’elle a quitté son poste un an plus tard parce que sa fille préparait l’examen d’entrée au lycée, ses collègues lui ont dit : « Revenez l’année prochaine. »
(Article sélectionné pour célébrer la Journée mondiale du Falun Dafa 2025 sur le site web Minghui)
Traduit de l’anglais
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