(Minghui.org) Un village de montagne du nord-est de la Chine était tristement célèbre. Les maraîchers volaient les produits des autres, et leurs récoltes étaient à leur tour volées. Les vendeurs de rue devaient embaucher des personnes pour les protéger contre le vol.

Même les villages voisins étaient affectés par la criminalité rampante dans ce « repaire de voleurs ». Tout a changé lorsque le Falun Dafa a été présenté au village et que les habitants ont cessé de voler. Les gens ont été stupéfaits et ont dit : « Comment se fait-il que quelque chose que la police ou le gouvernement ne pouvaient pas changer ait été corrigé par le Falun Dafa ? »

Je sais que de nombreux pratiquants savent comment le Falun Dafa peut faire de quelqu’un une meilleure personne. Mais changer des centaines de personnes dans un village, y compris les mauvaises habitudes transmises depuis des générations semblait inconcevable. J’ai récemment visité le village avec un autre pratiquant et je voulais partager l’histoire avec vous.

Un fonctionnaire du village : « Les choses ont changé après l’arrivée du Falun Dafa. »

Je ne connaissais qu’un pratiquant dans le village, Gang, alors nous sommes allés chez lui. La porte était fermée à clé. Un grand homme est arrivé et a demandé : « Êtes-vous ici pour rendre visite à Gang ? » Lorsque nous avons répondu par l’affirmative, l’homme a appelé Gang sur son téléphone portable. Il a ensuite sorti une clé cachée, nous a fait entrer et a préparé du thé.

Il a dit : « En vous voyant sourire ainsi, je sais que vous devez être de bonnes personnes. »

J'ai demandé : « Êtes-vous un fonctionnaire du village ? Vous devez bien connaître le Falun Dafa. »

L’homme a répondu : « Ce village était un casse-tête dans le passé. Les gens se battaient et volaient beaucoup ‒ personne ne pouvait rien y faire. Tout a changé après la présentation du Falun Dafa. Lorsque nous avons collecté des frais, les pratiquants ont toujours payé en premier ; lorsque nous avons cherché des volontaires, les pratiquants ont répondu en premier ; lorsqu’il était temps de partager les bénéfices entre les villageois, les pratiquants venaient souvent en dernier et s’en allaient simplement s’il ne restait plus rien. Ils sont formidables », a-t-il dit avec un pouce levé.

J’étais ému et j’ai dit : « Les villageois ont de la chance d’avoir un fonctionnaire comme vous qui les soutient. »

Lorsque Gang est revenu, je lui ai raconté ce que l’homme avait dit et il a hoché la tête : « Oui, lui et les autres villageois font beaucoup confiance aux pratiquants. En cas de conflit, ils s’adressent à moi. Quand je partage ma compréhension d’une situation basée sur le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance du Falun Dafa, le problème est résolu. »

D’autres villageois ont remarqué que les pratiquants jouissaient d’une vie de famille harmonieuse. « Nous ne nous battons pas pour la renommée ou les intérêts matériels. Mais tout ce que nous faisons se passe bien. Les villageois le voient tous », a ajouté Gang.

Après le début de la persécution en 1999, certains fonctionnaires du village ont harcelé les pratiquants et aidé la police à les arrêter. Même si ces fonctionnaires ont été promus, nombre d’entre eux ont souffert par la suite. « Nous ne les avons pas détestés, au contraire, nous avons sympathisé avec eux », a expliqué Gang. « Nous leur avons clarifié les faits concernant la persécution du Falun Dafa et leur avons conseillé de démissionner des organisations du Parti communiste chinois (PCC). Ils ont tous été très reconnaissants. »

Lorsque de nouveaux fonctionnaires du village sont arrivés, les pratiquants leur ont clarifié les faits concernant la persécution, de sorte qu’ils se sont opposés lorsque des fonctionnaires plus haut placés sont venus harceler les pratiquants. Par exemple, la police du bourg et plusieurs fonctionnaires sont venus il y a plusieurs mois pour harceler les pratiquants. Le fonctionnaire du village mentionné ci-dessus les a arrêtés et leur a dit : « Tous ces pratiquants sont devenus de meilleures personnes grâce au Falun Dafa. Si vous venez et parlez avec eux, ils vous diront la même chose – quel est l’intérêt de venir ici pour perdre votre temps ? »

Lorsque les fonctionnaires du bourg ont dit qu’il s’agissait d’une mission du gouvernement du district, le fonctionnaire du village a répondu : « C’est facile – il suffit d’aller dans un village où il n’y a pas de pratiquants. Sinon, si vous poussez trop ces pratiquants, ils iront à différents niveaux du gouvernement pour faire appel, et nous passerons tous un moment difficile. N’est-ce pas ? »

« Il semble que ce fonctionnaire connaisse bien le Falun Dafa et n’ait pas peur du PCC », ai-je répliqué.

« Oui, c’est vrai », a poursuivi Gang. « Il a dit qu’il était né agriculteur. S’il est démis de ses fonctions, il reste un agriculteur. Il n’a donc rien à perdre. »

L’histoire de Gang

Gang, qui a la soixantaine, nous a raconté l’histoire du village. Influencés par l’idéologie communiste, les gens se battaient constamment les uns contre les autres. Les enfants observaient les adultes et copiaient leur mauvais comportement.

Les relations familiales étaient également terribles. Les membres de la famille se disputaient pour un petit bien ou pour savoir qui prendrait en charge les personnes âgées. Les parents âgés d'untel étaient malades et personne ne s’occupait d’eux. Le parent âgé de tel autre était battu. Pire encore, les villageois avaient pris la mauvaise habitude de voler les récoltes et les animaux des autres.

De gros objets disparaissaient. Si vous gariez votre moto dans la cour pendant la nuit, les roues et les moteurs de valeur avaient disparu le matin. Un vieux bœuf était amené à la rivière la nuit, et lorsqu’on le retrouvait, il ne restait plus que la peau du bœuf. Il était courant d’entendre dire que les haricots ou les poivrons de quelqu’un avaient disparu, que le poulailler de quelqu’un avait été vidé, que la vache de quelqu’un avait disparu, que la moto de quelqu’un avait disparu, et ainsi de suite. Les personnes volées maudissaient et juraient contre ceux qui les avaient volées.

Ces villageois prenaient pour cible non seulement leurs propres voisins, mais aussi les villages environnants. Même les vendeurs de rue étaient pris pour cible et dès que la charrette du vendeur était garée, un groupe de personnes l’entourait. Si le vendeur ne les surveillait pas, ils volaient ses marchandises. Même si le vendeur s’apercevait du vol, il n’osait pas les poursuivre, car il n’y aurait plus rien à son retour. Cette situation effrayait les vendeurs, si bien qu’ils évitaient de faire des affaires à moins d’emmener des gens pour les aider à surveiller leurs charrettes. Notre village était alors connu comme « un repaire de voleurs », et ce surnom est resté pendant des décennies. Les responsables du village et la police ont changé à plusieurs reprises, mais personne n’a pu remédier à la situation.

Gang a indiqué que le Falun Dafa a été présenté au village au printemps 1998. Avec l’aide des compagnons de cultivation de la ville, un point de pratique a été établi dans le village. Plusieurs villageois qui pratiquaient le qigong ont pris l’initiative de promouvoir le Falun Dafa et d’acheter à leurs frais des enregistreurs audio et vidéo, qu’ils ont mis gratuitement à la disposition de tous ceux qui voulaient apprendre le Falun Dafa. Les villageois qui ont appris le Falun Dafa ont mis de côté leurs anciennes rancunes et ont dit à leurs voisins, parents et amis : « Regardez les conférences de Falun Dafa. Elles sont très bonnes. Non seulement elles améliorent la santé, mais elles apprennent aussi aux gens à être de bonnes personnes. »

Peu de gens sont venus la première fois que les vidéos des conférences du Falun Dafa ont été diffusées. La plupart d’entre eux croyaient à moitié et doutaient à moitié, et ils sont venus regarder par curiosité et par enthousiasme. Mais la deuxième fois que les vidéos ont été diffusées, les sièges étaient pleins tous les jours, avec 70 à 80 personnes. Lors des exercices du matin, il y avait près de 100 personnes, des jeunes et des personnes âgées, des hommes et des femmes.

Le petit village s’est soudain animé. Les sujets dont les villageois avaient l’habitude de parler lorsqu’ils se rencontraient, comme le vol et la malédiction, ont immédiatement cessé. Ils ont tous parlé de : Cet exercice est vraiment bon ; je me sens rafraîchi après avoir pratiqué les exercices ; je suis plein d’énergie et je ne me sens pas fatigué lorsque je travaille ; les enseignements du Falun Dafa sont si bons et si droits. Les gens ont dit que personne ne leur avait jamais appris à être une bonne personne et qu’ils ne savaient pas à quel point la « vertu » et « l’accumulation de la vertu » étaient importantes. Ils ne savaient pas non plus qu’ils devaient rendre la « vertu » aux autres après avoir créé le karma. « Il s’avère que plus on perd de vertu, moins on a de bénédictions. Il semble que tout ce que nous faisions avant était mauvais ! », a dit un villageois.

Toutes les mauvaises habitudes des villageois ont brusquement pris fin. L’arrivée du Falun Dafa a complètement effacé l’étiquette de « repaire de voleurs » que le village portait depuis des décennies. Si le PCC n’avait pas lancé la persécution à l'encontre du Falun Dafa en juillet 1999, il y aurait eu davantage de personnes pratiquant le Falun Dafa, et davantage de personnes en auraient bénéficié.

Ce village était déjà bien connu dans le passé. Après que le PCC a commencé à persécuter le Falun Dafa, en raison du grand nombre de pratiquants, ceux-ci ont été pris pour cible par le PCC et la police. Des agents sont venus à plusieurs reprises au domicile des pratiquants de Falun Dafa pour les forcer à renoncer à leur croyance et ont procédé à des fouilles illégales de leur domicile. Certains villageois qui n’avaient pas une connaissance approfondie des principes du Falun Dafa ont eu tellement peur qu’ils n’ont pas osé pratiquer. Les pratiquants restants ont été contraints de fuir leur domicile, ils ont été illégalement condamnés à des camps de travail, enfermés dans des centres de détention et soumis à des séances de lavage de cerveau. Ils ont également dû faire face à de la pression sous de nombreux aspects, à lapression financière et à celle de la société.

« Malgré cela, nous restons fermement sur le chemin de la validation de Dafa. Nous exigeons de nous-mêmes que nous suivions strictement les critères du principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance », a dit Gang. « Dans la cruelle réalité créée par le PCC pervers, nous sommes capables de vivre une vie stable et normale, et nous vivons mieux que les villageois qui ne pratiquent pas. Nous pratiquons tous fermement selon les critères de Dafa, nous racontons ouvertement les faits aux villageois et nous les aidons à s’améliorer pas à pas, en revenant progressivement à la tradition et à la gentillesse. »

Gang nous a également parlé des compagnons de cultivation du village qui se sont élevés, ont convaincu les villageois que le Falun Dafa est bon, et ont changé leurs mauvaises habitudes. Il a dit qu’il y avait beaucoup d’exemples alors il n’en a donné que quelques-uns.

Soutenir les personnes âgées avec sincérité et sans se plaindre

Wei et sa femme pratiquent le Falun Dafa. Avant qu’ils ne pratiquent, les parents avaient donné tous leurs biens au frère cadet de Wei, qui avait ensuite refusé de s’occuper d’eux. Wei voulait s’occuper de ses parents, mais il avait l’impression qu’ils étaient injustes à son égard, ce qui lui inspirait du ressentiment. Cela a provoqué des conflits constants entre les deux frères, qui ont cessé de se parler pendant des décennies. Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, Wei et sa femme ont appris à être de bonnes personnes et de meilleures personnes. Le Falun Dafa ne les a pas seulement rendus sains physiquement et mentalement, mais les a aussi aidés à résoudre des tribulations et des crises à de nombreuses reprises. Le couple est reconnaissant envers le Falun Dafa et Maître Li (fondateur du Falun Dafa).

Ils se souviennent de ce que Maître Li a dit :

« En toutes circonstances, nous devons être bons avec les autres, traiter les gens avec bienveillance ; à plus forte raison vous devez le faire pour les membres de votre famille. » (Sixième Leçon, Zhuan Falun)

Ils ont décidé d’accueillir les parents âgés à leur domicile et n’ont pas eu besoin de partager toutes les dépenses avec le jeune frère. La mère âgée perdait parfois son sang-froid, se mettait en colère et maudissait les gens. Même si le couple la traitait bien, elle n’était pas satisfaite et racontait souvent des mensonges qui confondaient le vrai et le faux. Le couple ne prenait pas à cœur le comportement déraisonnable de la mère, mais le considérait comme une bonne chose pour se cultiver et élever leur xinxing. Comme toujours, ils ont exigé d’eux-mêmes qu’ils suivent le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et ont toujours cherché leurs propres erreurs et sur quels sujets ils pouvaient s’élever.

Finalement, la mère a été très touchée par Wei et sa femme, et elle n’a eu à se plaindre de rien. Quant à la famille du frère cadet, même si elle a hérité de tous les biens familiaux, sa femme a été malade et a dû rester longtemps à l’hôpital, ce qui a rendu leur vie très difficile. Wei et sa femme ont mis de côté toutes les rancœurs et l’égoïsme qu’ils avaient dans le passé et ont pris l’initiative de s’occuper de la famille du frère cadet. Lorsque le jeune frère manquait d’argent, le couple lui en envoyait ; lorsqu’il manquait de produits de première nécessité, le couple intervenait pour l’aider. Cela s’est produit à de nombreuses reprises et la querelle familiale a fondu grâce à la gentillesse cultivée par les pratiquants de Falun Dafa et la famille était plus harmonieuse que jamais.

L’histoire de Wang a également beaucoup influencé les villageois. Le mari de Wang avait quatre frères et sœurs qui sont tous mariés. Mais personne ne s’occupait de leur mère aveugle et handicapée. Wang était inquiète parce que son mari ne pouvait pas travailler à cause d’une attaque cérébrale et qu’elle devait donc s’occuper de toutes les tâches ménagères et des travaux agricoles. Se considérant comme une pratiquante de Falun Dafa, Wang a décidé de s’occuper également de sa belle-mère. Lorsqu’elle en a parlé avec son mari, celui-ci lui a demandé : « Tu peux le faire ? Tu sais que je ne peux pas t’aider du tout. J’espère que tu ne le regretteras pas. » Wang a répondu : « Je suis une pratiquante de Falun Dafa. Je ne le regretterai pas. »

C’est plus facile à dire qu’à faire. La famille de son mari et les villageois attendaient de voir combien de temps une femme aussi faible qu’elle pourrait tenir le coup. Après avoir ramené sa belle-mère à la maison, Wang a soigneusement organisé sa vie quotidienne et répondu à ses différents besoins. Lorsque sa belle-mère était malade, Wang l’aidait sans se plaindre. Elle faisait la lessive et la cuisine, plantait au printemps et récoltait en automne, s’occupait de sa mère, effectuait des travaux temporaires pour subvenir aux besoins de la famille et était occupée à l’intérieur comme à l’extérieur. Quelle que soit la situation, Wang préférait souffrir, être fatiguée et avoir moins de repos que de laisser sa belle-mère souffrir. Elle a traité sa belle-mère aveugle et handicapée avec beaucoup d’attention et s’est occupée d’elle pendant plus de dix ans.

Parce qu’elle pratiquait le Falun Dafa, elle a été arrêtée et détenue dans le passé. Elle a été battue et grondée par son mari qui ne pratiquait pas. Ses frères et sœurs et ses voisins ne la comprenaient pas : Pourquoi s’obstinait-elle à pratiquer malgré de si grandes tribulations ? Wang a été gentille avec sa belle-mère pendant plus de dix ans, tous ont su que le Falun Dafa est bon et que Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon grâce à ses actions.

Lorsque la vieille femme est décédée, la belle-sœur de Wang lui a dit : « Tu es étonnante. Les pratiquants de Falun Dafa sont vraiment étonnants. Nous en sommes tous convaincus. » Wang a répondu : « Tu devrais remercier le Falun Dafa et le Maître ! Si je n’avais pas pratiqué le Falun Dafa et pris le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance comme guide, je n’aurais pas été capable de faire cela. »

Ces histoires ont eu un grand impact dans le village. Les gens les ont vues de leurs propres yeux et ont admiré les pratiquants dans leur cœur. Après cela, il n'y a plus eu de cas de manque de soins pour les personnes âgées dans le village.

La belle-mère et la belle-fille se sont finalement bien entendues

Les pratiquantes Chen et Deng ont le même âge et ont vécu des expériences similaires. Après leur mariage, elles ont toutes deux emménagé dans la maison de leurs beaux-parents. Dès le début, elles se sont trouvées en désaccord avec leurs beaux-parents. Leur relation est devenue de plus en plus tendue au fil du temps. Elles n’avaient plus de relations avec leurs beaux-parents et étaient comme des ennemis.

Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, Chen et Deng ont réalisé leurs erreurs. Elles ont regardé à l’intérieur pour trouver leurs propres problèmes et ont utilisé le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance comme critère pour se donner des exigences.

Maître Li a dit :

« J’ai dit que si tu ne peux pas aimer ton ennemi alors tu ne pourras pas devenir un bouddha. Comment une divinité ou une personne qui cultive et pratique peut-elle considérer une personne ordinaire comme son ennemi ? Comment pourraient-ils avoir des ennemis ? » (Enseignement du Fa à la Conférence de Fa à Houston)

Chen et Deng se sont éveillées grace aux enseignements du Maître. Chen a immédiatement abandonné son ressentiment et a pris l’initiative de s’occuper de ses beaux-parents. Elle a pris leur soif et leur faim à cœur et les a aidés à résoudre leurs problèmes. Lors de chaque Nouvel An chinois ou d’autres fêtes importantes, Chen préparait de délicieux repas et invitait les beaux-parents chez elle pour célébrer les fêtes avec les petits-enfants.

Chen ne se contente pas de prendre soin de ses beaux-parents, mais elle leur rappelle souvent : « Récitez plus souvent les phrases : “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon” et vous aurez un corps sain et un avenir brillant. » Lorsque Chen a vu les visages aimables et satisfaits de ses beaux-parents avec leurs enfants et petits-enfants, elle a pensé : « Il s’avère que les personnes âgées sont vraiment faciles à satisfaire. Je n’avais jamais fait cela auparavant. Merci, Maître, de nous avoir sauvés, moi et eux ! »

Deng ne voulait pas non plus rester à la traîne. Son fils a divorcé et elle doit élever et s’occuper de deux petits-enfants. Elle est très occupée. Mais elle étudie les enseignements du Falun Dafa et élève son xinxing. Elle suit le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, élimine ses pensées humaines et abandonne son ressentiment à l’égard de ses beaux-parents. Deng accompagne souvent les personnes âgées pour discuter et leur rappelle d’étudier les enseignements du Falun Dafa, de pratiquer les exercices et de réciter les phrases mentionnées ci-dessus, ce qui rend les parents âgés très heureux.

Lorsque ses beaux-parents étaient malades, Deng s’occupait bien d’eux. Comme les personnes âgées vivaient dans la maison du jeune frère de son mari, Deng disait souvent à son mari : « S’il te plaît, accorde plus d’attention à ton jeune frère et aux personnes âgées, et achète tout ce que tes parents veulent. » Deng prenait également l’initiative de s’enquérir de la santé des personnes âgées et préparait à l’avance des vêtements et de la bonne nourriture. Elle achetait aussi souvent des vêtements et des fournitures pour sa belle-sœur, la remerciant pour son dévouement envers ses beaux-parents.

Tout cela aurait été impossible avant que Deng ne commence à pratiquer. Dans le passé, elle avait de mauvaises relations avec ses beaux-parents et les relations familiales étaient tendues. Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, l’énorme changement de Deng a rendu son mari très heureux. Il lui a dit avec joie : « Le Falun Dafa est formidable. S’il te plaît, étudie et pratique bien. Je m’occuperai de tout le reste. Tu n’as pas besoin de faire les travaux de la ferme. Dis-moi simplement si tu as besoin de quelque chose. Je te soutiens à 100 % dans la pratique du Falun Dafa. »

Son mari ne soutient pas seulement Deng dans sa pratique du Falun Dafa, mais il empêche également quiconque de calomnier le Falun Dafa devant lui. « Y a-t-il quelqu’un dans votre famille qui pratique le Falun Dafa ? Avez-vous lu les livres de Falun Dafa ? », demandait-il. « Si vous n’avez jamais interagi avec des pratiquants ou lu les livres de Falun Dafa, comment savez-vous que le Falun Dafa n’est pas bon ! » La personne restait souvent sans voix.

Les villageois ont également été surpris par les énormes changements survenus chez Chen et Deng avant et après la pratique du Falun Dafa. L’un d’eux a dit : « Une relation aussi terrible entre la belle-mère et la belle-fille peut être réconciliée. C’est incroyable. Il semble que nous devrions apprendre d’eux. »

Une entreprise prospère

Feng est la personne la plus âgée du village. Lorsqu’il était jeune, il avait beaucoup de frères et de sœurs et la vie était très difficile. Il a grandi en mendiant de la nourriture. Feng n’est jamais allé à l’école et ne savait donc pas compter. Après s’être marié, Feng voulait seulement vivre une bonne vie. Il a travaillé de l’aube au crépuscule tout au long de l’année, mais n’a pas réussi à joindre les deux bouts. Au lieu de cela, il a souffert de plusieurs maladies, dont la plus terrible était la migraine. Il avait toujours des vertiges et se roulait parfois par terre de douleur. Il se frappait la tête contre le mur, mais la douleur ne s’arrêtait pas. Les médecins n’arrivaient pas à le guérir et un expert a dit : « Il n’y a aucun moyen de guérir cette maladie. Elle ne peut être maintenue que par des injections régulières. » La maladie de Feng a déprimé toute la famille.

Au cours de l’été 1998, Feng a eu la chance de pratiquer le Falun Dafa. Au bout d’une dizaine de jours, toutes ses maladies ont disparu, en particulier ses maux de tête. Les amis, les voisins et les membres de la famille de Feng ont tous été témoins de ces miracles. Feng savait que Maître Li l’avait sauvé, lui et sa famille, en lui donnant une seconde vie, et il était donc déterminé à pratiquer. Il a été arrêté illégalement et détenu pendant plus de 40 jours pour sa pratique du Falun Dafa, mais il n’a pas cédé et a insisté pour continuer à pratiquer.

Feng était analphabète, mais il connaît maintenant tous les mots du Zhuan Falun. Feng peut lire seul les livres de Dafa, faire de la comptabilité et apprendre à gérer une petite entreprise. Il peut calculer des additions, des soustractions et des multiplications avec exactitude jusqu'à dix mille, ce qui est incroyable.

De nos jours, la plupart des hommes d’affaires mentent et font passer de fausses marchandises pour de vraies, dans l’espoir de s’enrichir du jour au lendemain. Mais Feng sait qu’il est un pratiquant de Falun Dafa et qu’il ne peut pas faire cela. Il doit suivre le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et vendre des produits authentiques à des prix équitables. Pour les personnes dans le besoin, les personnes âgées ou handicapées, il ne prend que le coût de la marchandise ou ne fait pas de bénéfice. Pour les marchandises dont les clients ne sont pas satisfaits, il les reprend sans condition, quelle que soit l’ancienneté de l’achat. Les gens sont prêts à acheter ses produits et son entreprise est très prospère.

Ses pairs étaient très envieux et lui demandaient : « Pourquoi vendez-vous autant de produits identiques aussi rapidement ? » Ils ont tous demandé à Feng son secret. Feng leur a parlé de son honnêteté, des faits au sujet de Dafa et des phrases « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Les membres du cercle des petites entreprises connaissent tous ce secret maintenant.

Valider Dafa avec des actions concrètes

Gong a également grandi dans ce village. Elle avait une mauvaise santé depuis l’enfance et elle est retournée chez elle pour aider les personnes âgées avec les travaux de la ferme avant d’avoir terminé l’école primaire. Lorsqu’elle avait une vingtaine d’années, la plupart de ses dents étaient tombées. Après son mariage, elle a souvent éprouvé du ressentiment et exprimé son mécontentement. Au fur et à mesure que sa santé se détériorait, elle devenait de plus en plus déprimée.

Au printemps 1998, Gong et son mari ont commencé à pratiquer le Falun Dafa. Elle a compris le véritable but de la vie et a abandonné son ressentiment et son insatisfaction précédents. Elle a commencé par être une bonne personne et à parler de Dafa aux villageois.

Gong prend l’initiative de s’occuper des personnes âgées des deux côtés de sa famille. Quelles que soient les difficultés, elle leur donne de l’argent de poche, de la nourriture et du bois de chauffage. S’il y a des plats délicieux à la maison, elle les invite à manger. Elle traite bien ses frères et sœurs, vit en harmonie avec ses belles-sœurs et ne se soucie jamais des gains et des pertes. Pendant la fête de la mi-automne et le Nouvel An chinois, six frères et sœurs amènent plus de 20 personnes de six familles pour accompagner les personnes âgées à célébrer les fêtes. Gong fait toujours les arrangements, travaille avec acharnement et ne se plaint jamais. L’atmosphère de la fête est donc paisible et toute la famille est heureuse. Les villageois et les voisins les admirent et disent : « Regardez comme les pratiquants se comportent bien. Elle n’a jamais de conflits avec ses sept frères et sœurs de sa propre famille et ses six frères et sœurs de la famille de son mari. Ils s’entendent si bien. Nous n’avons jamais vu une chose pareille. »

Gong est non seulement gentille avec ses parents, mais aussi très polie avec les autres personnes âgées du village. Elle est particulièrement attentionnée envers les enfants du village. Elle leur raconte souvent des histoires sur la bonté et les aide à se retirer des Jeunes Pionniers du Parti communiste chinois pour qu'ils soient en sécurité. Les enfants l’apprécient tous et disent qu’elle est la meilleure personne.

En termes d’intérêt matériel, Gong et son mari suivent fidèlement les critères du principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Un jour, un homme est venu au village pour vendre de grosses carpes argentées, et la famille de Gong en a acheté deux. Lorsqu’ils sont rentrés à la maison, ils ont constaté qu’on leur avait donné quelques yuans de plus, et Gong a immédiatement rendu l’argent. Après avoir expliqué la raison, elle a tendu l’argent au vendeur, mais celui-ci est resté là, hébété. Voyant cela, Gong a expliqué : « Je pratique le Falun Dafa et je ne peux pas profiter de vous. » Le vendeur l’a regardée avec des larmes dans les yeux et n’a rien dit. Gong était un peu perplexe.

Lorsque Gong s’est rendue dans un magasin voisin, elle a appris que le vendeur avait subi des pertes. Plus de dix gros poissons pesant des dizaines de kilos lui avaient été volés par des passants. Le vendeur n’a pas osé quitter les lieux pour les réclamer. Lorsque les gens du magasin ont appris que Gong avait rendu la monnaie excédentaire pour les poissons, un vieux propriétaire a soupiré et a dit : « Quelle différence énorme il y a entre voler et rendre ! » Les villageois avaient tellement honte qu’ils se sont tus.

Un été, plusieurs marchands venus d’ailleurs sont venus acheter de la fritillaire, un médicament chinois, et Gong en a vendu plusieurs centaines de kilos. Après le départ des acheteurs, Gong s’est aperçue qu’elle avait été payée 50 kilos en trop, ce qui n’était pas une petite somme. Elle a immédiatement pris l’argent et s’est lancée à leur poursuite. Elle a cherché dans presque tout le village, mais ne les a pas trouvés. Finalement, elle les a trouvés à l’extrémité ouest du village.

De nombreux villageois s'étaient rassemblés dans une maison pour vendre des fritillaires. « Je vous ai enfin trouvé ! Quand vous avez acheté mes fritillaires, le poids n’était pas le bon. Je viens vous rendre de l’argent pour les 50 kilos de fritillaires », a dit Gong aux vendeurs. « Je pratique le Falun Dafa et je ne peux pas profiter de vous. » Les acheteurs ont alors compris et ont dit : « Le Falun Dafa est si bon ! C’est différent de ce qu’ils disent à la télévision ! Nous collectons des herbes médicinales depuis plus de dix ans, et c’est la première fois que quelqu’un nous rend de l’argent. » Tout le monde était ému.

L’acheteur a dit : « Nous pouvons partager l’argent. » Gong a dit « pas question » et elle est rentrée chez elle. Au bout d’un moment, l’acheteur s’est rendu chez Gong avec une grosse pastèque et a insisté pour qu’elle la prenne, en disant : « C’est un petit cadeau de notre part. Il ne vaut pas grand-chose. » Il a ensuite noté son adresse et son numéro de téléphone et lui a dit : « Si vous en avez l’occasion, venez chez moi. Je veux avoir des amis comme vous. »

Des choses de ce genre se produisaient fréquemment parmi les pratiquants de Falun Dafa du village, comme le fait de rendre de l’argent pour le maïs, l’engrais et les produits médicinaux. Ces histoires touchantes ont profondément influencé les villageois et les ont changés. Aujourd’hui, tout va bien : il n’y a plus de vols et personne ne prend quoi que ce soit, même si cela reste ouvert. Des hommes d’affaires venus de l’extérieur du village ont dit avec joie : « Cet endroit a changé. Nous sommes prêts à venir ici. Les gens ici ont de l’argent, nous vendons plus de marchandises et nous les vendons rapidement. Quand nous venons ici, tout le monde est prêt à nous aider si nous avons une difficulté quelconque. »

Autrefois, ce village était tristement célèbre. Mais aujourd’hui, les gens n’ont plus besoin de fermer leur porte à clé la nuit. Gang a dit : « Le Falun Dafa a changé les gens dans notre village. Nous sommes reconnaissants au Maître et au Falun Dafa. Nous sommes reconnaissants au principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance d’avoir béni notre village entier. »

Traduit de l’anglais