(Minghui.org) Je pratique le Falun Dafa depuis vingt-sept ans. J’aimerais vous raconter comment Maître Li a sauvé mon mari à quatre reprises alors qu’il se trouvait dans des situations critiques, mettant sa vie en danger — et comment il en est finalement venu à pratiquer le Falun Dafa. Je tiens à exprimer ma plus profonde gratitude envers notre Maître pour sa compassion infinie et pour nous avoir sauvés.

Mon mari appartient à l’ethnie Hui. Il pratiquait l’Islam — une foi qui n’autorise généralement pas d’autres croyances — mais il ne s’était jamais opposé à ma pratique du Falun Dafa. Il s’agit de notre second mariage à tous les deux, et chacun de nous a des enfants issus d’une union précédente. J’ai su établir de bonnes relations avec ses enfants et préserver l’harmonie au sein de notre famille. Animée par la compassion qu’apporte la cultivation, j’ai toujours cherché à voir les choses de leur point de vue. En conséquence, je me suis très bien entendue avec ses fils, sa fille, ainsi que leurs conjoints. Mon mari a remarqué que je traitais ses enfants comme s’ils étaient les miens.

J’écoutais chaque jour les enregistrements des conférences du Maître, et il pouvait entendre. Il savait que le Maître enseigne aux gens à élever leur caractère moral et à faire preuve de bonté, et que les pratiquants sont de bonnes personnes.

Un jour, alors que nous n’étions que tous les deux à la maison, mon mari a eu une récidive de ses problèmes cardiaques. Il s’est plaint d’une douleur à la poitrine, et j’ai remarqué que ses lèvres étaient devenues violet foncé. Je l’ai aidé à s’asseoir. J’avais dans mon sac une amulette du Falun Dafa, je l’ai donc sortie et placée dans sa main. Ses doigts étaient glacés et très sombres. Je lui ai dit : « Récite : Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. Seul Maître Li peut me sauver. » Il était trop faible pour parler à voix haute, alors j’ai récité avec lui.

À mesure que nous répétions les paroles, la couleur est revenue peu à peu sur ses lèvres, ses doigts ont repris une teinte rosée, sa respiration s’est stabilisée, il a ouvert les yeux et s’est redressé. Lorsque je lui ai demandé s’il se sentait mieux, il a répondu : « Je vais bien maintenant. C’est arrivé si soudainement et si violemment que je me suis cru perdu. Je n’aurais jamais imaginé que ton Maître se soucierait vraiment de moi. En seulement quelques minutes, je suis revenu à la vie ! »

Mon mari était stupéfait. Lorsqu’il avait fait des crises cardiaques auparavant, il avait dû être hospitalisé pendant au moins une semaine, ce qui était coûteux, douloureux pour lui, et pesait sur les enfants. À partir de ce jour, il s’est souvenu de réciter ces paroles de bon augure : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

Un jour, mon mari a commencé à saigner du nez. Il m’a dit qu’il avait un terrible mal de tête, alors je lui ai conseillé de s’allonger. Mais à peine s’était-il couché qu’il s’est relevé en disant que la douleur empirait dans cette position. En parlant, du sang s’écoulait de son nez. Pensant qu’il s’agissait de mucus, il s’est essuyé avec un mouchoir, mais il a vu que c’était du sang. Il a une peur panique du sang et s’est mis à trembler. Il a vidé tout un rouleau d’essuie-tout, puis s’est bouché le nez avec une petite serviette. Mais le sang a alors commencé à lui couler par la bouche. Quand j’ai retiré la serviette de son nez, le sang a de nouveau jailli de ses narines. J’ai recouvert son nez avec deux grandes serviettes, mais elles ont été rapidement entièrement imbibées de sang.

Je lui ai dit : « Demandons de l’aide au Maître et récitons les paroles de bon augure. » Son visage était livide et il tremblait de tout son corps. Incapable de parler, il a simplement hoché la tête pour me faire comprendre qu’il les récitait silencieusement dans son esprit.

Au même instant, sa fille et son gendre sont arrivés. En voyant tout ce sang, ils ont été horrifiés et ont conduit mon mari à l’hôpital. Mais dès que le médecin a retiré la serviette, le saignement s’est arrêté. Après avoir réalisé des radios et effectué plusieurs examens, le médecin a annoncé que mon mari avait eu une hémorragie du tronc cérébral. Intrigué, il a confié : « Je n’ai aucune explication quant à la manière dont ce sang a pu lui sortir par le nez. Si ce sang était resté dans son cerveau, il serait mort. » Il a ajouté à mon mari : « Vous êtes véritablement béni. Votre vie ne devait pas s’achever aujourd’hui. Vous devez être protégé par des êtres divins ! » Mon mari et moi avons alors compris que le Maître l’avait sauvé une fois de plus !

Mon mari a été impliqué dans deux accidents de voiture, dont il est ressorti indemne grâce à la protection du Maître. Le second accident s’est produit à l’entrée de notre résidence. Alors qu’il se rendait à cette entrée, une voiture l’a percuté. Il a été projeté en l’air avant de retomber sur l’herbe. Étourdi, il ne comprenait pas ce qui venait de se passer. La jeune mère qui conduisait la voiture, prise de panique, a éclaté en sanglots. Elle a accouru pour lui venir en aide et a demandé : « Pouvez-vous vous asseoir ? » Mon mari voulait simplement comprendre pourquoi il se trouvait là, étendu. Elle s’est alors excusée : « Je suis désolée, je me dépêchais d’aller chercher mon enfant et je vous ai percuté. Vérifiez si vous êtes blessé, je vous conduirai à l’hôpital. »

Ce n’est qu’alors que mon mari a repris ses esprits et a dit : « Jeune femme, ne pleurez pas. Je vais bien, il n’est pas nécessaire de m’emmener à l’hôpital. Ramenez-moi simplement chez moi. » Voyant qu’il ne saignait pas, elle l’a aidé à se relever et l’a raccompagné à la maison.

Lorsque la mère m’a vue, elle a immédiatement commencé à expliquer ce qui s’était passé, ne cessant de s’excuser. Mon mari lui a répondu : « Ce n’est rien. Ce n’était pas intentionnel. Allez chercher votre enfant. » Elle nous a remerciés encore et encore, nous a donné son numéro de téléphone en nous disant d’appeler si jamais quelque chose n’allait pas. Je lui ai répété : « Ne vous inquiétez pas, tout va bien. »

Après son départ, j’ai demandé à mon mari : « Tu vas vraiment bien ? Cela semblait plutôt grave. »

Il a répondu : « Je n’ai pas entendu la voiture. J’ai juste eu l’impression qu’une rafale de vent m’avait soulevé et jeté sur un tas de coton. Il m’a fallu un certain temps pour comprendre ce qui s’était passé. Ce n’est que lorsqu’elle est venue m’aider à me relever que j’ai réalisé que j’avais été percuté. »

C’était l’heure de pointe, et lorsque les passants avaient vu un homme âgé percuté et projeté en l’air, ils avaient pensé aussitôt qu’il était mort. Plusieurs d’entre eux s’étaient approchés alors pour aider la jeune femme à relever mon mari.

Mon mari a dit que cela lui avait rappelé les paroles du Maître :

« Nous disons que le bien ou le mal surgit d’une seule pensée, une différence dans la pensée provoque un résultat différent. À son âge, une personne ordinaire aurait-elle pu tomber ainsi sans être blessée ? Eh bien, elle n’avait même pas une égratignure. Le bien ou le mal ne surgit que d’une seule pensée. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)

Mon mari a déclaré :

« Je me suis dit : “Je vais bien parce que ma femme pratique le Falun Dafa. Le Maître possède un pouvoir infini et va me protéger.” Le Maître enseigne aux gens à être attentionnés envers autrui ; à vivre selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance ; et à ne pas causer de tort aux autres. Cette jeune femme traverse des difficultés : elle travaille loin de chez elle, doit s’occuper d’un jeune enfant et préparer les repas pour sa famille. Elle conduisait vite parce qu’elle se dépêchait d’aller chercher son enfant. Je veux suivre les enseignements du Maître. Il m’a sauvé la vie une fois de plus. Je veux moi aussi pratiquer le Falun Dafa ! »

Ses paroles m’ont émue aux larmes. Du fond de mon cœur, je n’ai cessé de remercier le Maître et de remercier Dafa ! Cette nuit-là, j’ai dit à mon mari :

« Même si tu ne pratiques pas encore le Falun Dafa, tu en as déjà retiré tant de bienfaits. Tu es reconnaissant ; tu suis le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance ; tu prends en compte les autres dans les situations difficiles ; et dans les moments cruciaux, tu te souviens et agis selon les enseignements du Maître. Quand tu dis que tu veux pratiquer le Falun Dafa, est-ce que tu le penses vraiment ? »

Mon mari a répondu : « Bien sûr que je le pense. Depuis que le Maître m’a sauvé la première fois, j’y réfléchis constamment. Au fil des années, j’ai vu combien tu es bonne envers mes enfants. Tu fais des choses qu’aucune personne ordinaire ne pourrait ou ne voudrait faire. J’ai aussi observé que tu te couches à minuit, te lèves avant quatre heures pour faire les exercices, ne fais jamais la sieste, et pourtant tu es pleine d’énergie, jamais fatiguée. Ce n’est pas à la portée de la plupart des gens. De plus, tu n’as pas pris de médicaments ni été à l’hôpital depuis des années. Ma famille est musulmane depuis des générations, mais rien n’est aussi miraculeux que le Falun Dafa, surtout quand ces accidents sont survenus : à chaque fois, je suis resté indemne. Le Maître ne te protège pas seulement toi, il me protège aussi. Quand une personne cultive, toute la famille en bénéficie. C’est pourquoi j’ai dit à Dieu : “Le Maître du Falun Dafa enseigne aux gens la bonté et l’élévation du xinxing. Il m’a sauvé la vie à plusieurs reprises quand j’étais en danger. Je vais pratiquer le Falun Dafa.” »

Le lendemain après-midi, nous avons entendu frapper à la porte. C’étaient la jeune mère et son mari venus rendre visite à mon mari. Ils avaient apporté de nombreux cadeaux. Après avoir discuté un moment, mon mari m’a fait un signe pour que je leur parle de Dafa. J’ai commencé par expliquer pourquoi nous ne pouvions pas accepter leurs présents, puis je leur ai fait part de la vérité sur le Falun Dafa. Juste au moment où j’allais les encourager à renoncer au Parti communiste chinois et à ses organisations pour la jeunesse, la jeune femme a souri et m’a interrompue. Elle a dit : « Nous étions vraiment destinés à nous rencontrer ! Ma belle-mère et ma belle-sœur pratiquent toutes deux le Falun Dafa, tout comme vous. Elles m’en ont déjà parlé et m’ont aidée à me retirer du PCC ! »

J’ai été remplie de joie et j’ai répondu :

« Nous sommes comme une famille ! Nous ne pouvons absolument pas accepter ces cadeaux. Ce n’est pas facile pour vous de travailler loin de chez vous. Nous ne pouvons pas aller à l’encontre des enseignements du Maître. »

Mon mari a ajouté : « Le Maître nous enseigne à penser d’abord aux autres. Regardez, je vais parfaitement bien. Maître Li veille sur moi, alors ne vous inquiétez pas. »

Voyant que nous refusions catégoriquement d’accepter les cadeaux, ils les ont repris avec gratitude.

Lors de notre étude collective du Fa, j’ai annoncé à tout le monde que mon mari souhaitait pratiquer le Falun Dafa. Ils ont été très heureux pour lui. À cette époque, les exemplaires des livres de Dafa se faisaient rares, mais un pratiquant a réussi à lui procurer un exemplaire du Zhuan Falun. Lorsque j’ai remis le livre à mon mari, il l’a serré contre sa poitrine des deux mains et a déclaré avec enthousiasme : « Maintenant, j’ai aussi le Maître ! Je dois me souvenir de ce jour. » Ce jour coïncidait avec son anniversaire. Après avoir entendu son père parler de la grande compassion du Maître, son fils aîné a commencé lui aussi à pratiquer le Falun Dafa aux côtés de son père. Nous adressons notre profonde gratitude à notre Maître, compatissant et grandiose !

Traduit de l’anglais