(Minghui.org) Il y a quelques années, alors que j’attendais à un feu rouge, j’ai remarqué un grand panneau indiquant « Cours de Qigong gratuit ». À l’époque, je souffrais de divers malaises physiques, en particulier de graves migraines, et je me suis donc rendue au cours. Tout le monde était assis en cercle et lisait un livre intitulé Falun Gong. Nous avons ensuite fait les exercices. Après avoir pratiqué, j’ai senti que mon esprit était plus clair et mon corps plus léger. J’ai réalisé que le Qigong n’était pas quelque chose que les autres pourraient faire pour moi, mais je devais le pratiquer moi-même.

Il manquait quelque chose

Environ deux mois plus tard, le massothérapeute chinois auquel je rendais souvent visite m’a parlé du Falun Gong en Chine et m’a conseillé d’arrêter immédiatement de le pratiquer. C’est ainsi que j’ai cessé de pratiquer le Falun Gong.

Cinq ans plus tard, le jour de mon 60e anniversaire, je me suis dit : si ma vie devait s’arrêter ainsi, qu’est-ce que je laisserais derrière moi ? Chaque jour, j’étais occupée à travailler et à prendre soin de mes enfants, et j’avais l’impression qu’il me manquait quelque chose d’important, mais je n’arrivais pas à me souvenir de ce que c’était, alors je l’ai mis de côté dans un coin de mon esprit, en me disant qu’un jour, je m’en souviendrais.

La chance revient me visiter

Peu de temps après, ma fille s’est sentie mal et est venue habiter chez moi. Ce jour-là, un dépliant a été déposé dans notre boîte aux lettres. Ma fille m’a dit : « Maman, allons ensemble à ce cours de qigong ! » J’ai regardé le dépliant et j’ai vu qu’il s’agissait du même cours de qigong que celui auquel j’avais assisté auparavant.

À la demande de ma fille, je l’ai accompagnée à contrecœur, pensant que les membres seraient différents de ceux d’avant et que cela n’aurait pas d’importance. Une fois de retour du cours de qigong, j’ai appris que le gérant de l’appartement de ma fille était un pratiquant de Falun Gong. À son invitation, nous avons commencé à pratiquer tous les jours dans le bureau du gérant. Bientôt, nous sommes devenues en bonne santé et énergiques.

Avant que je n’aie mémorisé tous les mouvements, ma fille les faisait déjà parfaitement, et elle lisait les livres de Falun Gong chaque fois qu’elle en avait le temps. Un jour, elle a dit qu’elle sentait quelque chose tourner dans son ventre et que c’était très inconfortable. J’ai immédiatement compris qu’il s’agissait d’un Falun qui tournait, et j’ai dit avec joie : « C’est super ! Ne t'inquiète pas, le Maître te protège. »

Après cela, j’ai pris ma décision et j’ai commencé à pratiquer assidûment. En moins de deux mois, j’ai remarqué que je n’avais plus besoin de prendre de médicaments contre les maux de tête et que je dormais profondément. Depuis, je n’ai plus jamais pris de médicaments.

Après avoir personnellement expérimenté les effets extraordinaires du Falun Gong, j’ai juré de le pratiquer tous les jours. Le Falun Gong a non seulement rétabli ma santé, soulagé mes insomnies, mes tendinites et trente ans de rhume des foins, mais il a aussi élevé mon xinxing. Je ne me dispute plus avec mon mari comme avant.

Comprendre le véritable sens de la vie

Cependant, le travail devenant de plus en plus prenant, j’ai progressivement réduit mes exercices à une courte méditation avant le coucher. Un jour, j’ai commencé à tousser de façon persistante et plus tard, en prenant une douche, j’ai craché du sang. J’ai immédiatement demandé à ma fille, qui était à l’étranger, de m’aider à émettre la pensée droite. Mon mari m’a emmenée à l’hôpital, où le médecin m’a dit que j’avais peut-être la tuberculose, et qu’il soupçonnait même un cancer du poumon, et m’a admise dans un service d’isolement.

La peur et l’anxiété m’ont empêchée de dormir pendant trois jours et trois nuits. J’ai continué à étudier le Fa, à pratiquer les exercices et à réciter « Lunyu – À propos de Dafa ». Chaque respiration que je prenais sonnait comme une guitare cassée, et il m’était difficile de me retourner dans mon lit.

Je me répétais silencieusement « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » en essayant de me calmer. La méditation d’une heure a passé rapidement et je n’ai pas eu mal aux jambes. Pendant tout le processus, je n’ai pas toussé une seule fois.

Finalement, il a été confirmé que j’avais une infection virale dans les poumons qui provoquait une inflammation. J’ai quitté l’hôpital deux semaines plus tard. Dès le jour où je suis rentrée chez moi, j’ai décidé de prendre ma retraite et j’ai résolu de cultiver et de faire les trois choses tous les jours.

J’ai jeté tous les médicaments, j’ai décidé de ne pas me rendre à mes rendez-vous mensuels de suivi et j’ai écrit une lettre à mon médecin traitant pour l’informer que je pratiquais le Falun Gong tous les jours.

J’ai rejoint un projet de Dafa et j’ai travaillé comme relectrice. J’ai beaucoup appris de mes compagnons de cultivation et j’ai également ressenti la grandeur du Fa.

Oui, j’avais enfin trouvé la chose importante dont je n’arrivais pas à me souvenir le jour de mes 60 ans. J’ai compris le véritable sens de ma vie et je me suis sentie pleine d’énergie.

Découverte de nombreux attachements à la suite d’un accident

Le 4 septembre 2024, alors que je rentrais chez moi en voiture, j’ai été victime d’un accident à 50 mètres de chez moi. Alors que je tournais à droite sur un carrefour à trois voies, je ne me suis pas arrêtée et une moto a soudain surgi et est entrée en collision avec mon véhicule. La moto est tombée au sol et le conducteur a été blessé et hospitalisé pendant seize jours.

J’ai immédiatement arrêté la voiture et j’ai imploré silencieusement : « Maître, s’il vous plaît, sauvez cette personne ! » En attendant l’ambulance, je me répétais sans cesse : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Mon mari et moi sommes allés ensemble à l’hôpital. Le médecin a dit que le patient avait eu le poumon percé par une côte, provoquant une hémorragie, et qu’une intervention chirurgicale d’urgence était nécessaire. En entendant cela, mon visage a pâli et j’étais terrifiée.

L’accident s’est produit pendant la journée et il n’y avait personne ni aucune voiture aux alentours. Je me trouvais juste au coin de la rue et j’avais donc baissé ma garde. Mon mari m’a dit calmement : « Si tu t’étais arrêtée trois secondes à cet endroit, tu aurais pu éviter la collision ! C’est donc de ta faute ! » En réalité, je n’avais même pas remarqué le panneau d’arrêt à l’intersection. Je savais que mon mari avait raison.

Après m’être calmée, j’ai réalisé que j’avais toujours été négligente et inattentive. Je me mets en colère lorsque les gens n’utilisent pas le passage pour piétons et traversent la route en diagonale ou lorsque les piétons avancent trop lentement sur un passage pour piétons dépourvu de feux de signalisation. Je suis même agacée lorsque je vois des voitures couper la file et je me dis : « Comment peuvent-ils faire ça ? » Parce que je ne fais pas passer les autres en premier, j’ai toujours de l’insatisfaction et des plaintes dans mon cœur. Ces pensées négatives sont égoïstes et se renforcent. C’est précisément sur ce point que je devais travailler.

Ce soir-là, mon mari a reçu un appel téléphonique et s’est dit bouleversé. Il s’est avéré que le motocycliste était le collègue de mon mari. C’est une personne au grand cœur et il souriait lorsque nous nous sommes rencontrés.

Sans m’en rendre compte, j’étais devenue de plus en plus égocentrique et j’avais perdu mon humilité, ce qui a conduit à cet accident de voiture. En raison de ma compréhension limitée du Fa, il y avait des lacunes et des insuffisances importantes dans ma pratique. Le Maître m’a protégée à un moment critique.

Le Maître a mentionné dans le Fa :

« Je vous ai toujours dit qu’il fallait d’abord penser aux autres lorsque vous faites quelque chose. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Loi de Chicago en 2004 », Enseignement du Fa dans les conférences IV)

Je dois faire passer les autres en premier, regarder à l’intérieur de moi lorsque je suis confrontée à une situation, identifier et éliminer mes attachements afin d’élever mon xinxing. Il est de la plus haute importance d’identifier les attachements et d’en prendre conscience.

Chaque épreuve est une opportunité. Si je ne peux pas la comprendre, l’épreuve peut devenir encore plus importante, ce qui me permet de continuer à apprendre. Sur le chemin de la cultivation, lorsque je rencontre des conflits ou que je me sens contrariée, je me tourne toujours vers l’intérieur et je me mesure aux critères Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Si je peux suivre les enseignements du Fa et du Maître inconditionnellement, je pourrai m’améliorer.

Voilà ce que j’ai compris à mon niveau actuel ; veuillez me signaler tout ce qui est inapproprié.

Merci, Maître ! Merci, Dafa !

Traduit de l’anglais