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"Utiliser la raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement la vraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandue et pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité) |
[Site Minghui] Le 1er janvier 2001 vers 10 heures, le général CHI Haotian s’est rendu Place Tian’anmen pour observer la situation des disciples de Dafa qui vont faire appel. Vers 11 heures, LUO Gan et d'autres personnes du bureau de la sécurité publique sont arrivés Place Tian’anmen, et ils ont notifié aux agents sur place qu’il faut empêcher les disciples de Dafa et les passagers qui arrêtaient un véhicule.
Récit de la défense de la Loi Place de Tian’anmen du 29 déc. 2000
Le 29 déc. 2000, beaucoup de monde est passé par la Place de Tian’anmen, de nombreux compagnons de pratique ont rectifié la Loi en soulevant des banderoles et en distribuant des tracts etc… certains d'entre eux, malgré leurs yeux gonflés, leurs nez et leurs bouches en sang suite à une avalanche de coups, ont continué à crier les slogans « le Falun Dafa est bon ! », « Rendez l’innocence au professeur Li et au Falun Dafa ! », « Suffoquer la cruauté ! », etc. Il y a avait tellement de banderoles et de tracts qu’on les voyait partout. Même si les agents spéciaux, les policiers en civil, et les policiers en uniforme étaient nombreux ils ne sont pas arrivés à s’occuper de tout. Des compagnons de pratique ont déployé une banderole de 99 mètres près du mât de la Place de Tian’anmen, ils ont tous crié ensemble « le Falun Dafa est Bon ! », « Rendez l’innocence au Falun Dafa ! », « Le bien sera récompensé par le bien et le mal par le mal ! », etc. Pendant que ces personnes cruelles continuaient à nous frapper violemment par des coups de poings et des coups de pieds, nous protégions toujours de nos mains la banderole, cela a duré une dizaine de minutes. Nous étions à peu près 100 personnes à protéger la banderole. Les policiers ont utilisé des ciseaux pour couper la banderole, et en utilisant les parties de banderole découpée, on nous a divisés en 7 ou 8 groupes. Tant que nous ne lâchions pas la banderole, ils continuaient à nous donner des coups de poing et de pied. Les compagnons de pratique qui ne voulaient pas monter dans la voiture de police, continuaient à crier les slogans propageant la Loi, cela a duré à peu près une vingtaine de minutes. Après j’ai quitté la Place.
Aujourd’hui est le dernier jour de l’an 2000, de nombreux disciples de Falun Dafa, pour ne pas laisser se prolonger la cruauté jusqu’au nouveau siècle, sont allés Place Tian’anmen les uns après les autres, utilisant leur sang et leur vie pour exposer clairement la vérité au gens, pour prouver la Loi, pour exposer la cruauté au grand jour.
Vers 10h30, un disciple (homme) après avoir été battu violemment jusqu'au sang, a été jeté dans une voiture de police (du sang n’arrêtait pas de couler) qui l'a évacué. A midi, les disciples de Dafa ont déployé successivement des banderoles de Falun Dafa. Dans l’après-midi, à la Place de Tian’anmen, les disciples qui étaient venus de la province de Shandong ont déployé une banderole mesurant plus de 100 mètres ! Ce geste a étonné les policiers et la foule qui étaient présents. Trois voitures de police ont commencé à foncer vers la banderole. Les disciples de Dafa, afin de la protéger, d’empêcher cet acte cruel, et de laisser les gens lire encore un peu plus, allaient être heurtés, mais les voitures de police ont ralenti. La banderole de 100 mètres a donc pu être déployée. Quelle que soit la férocité de la persécution, la grandeur d’âme des disciples de Dafa et leurs actions ont ébranlé chaque personne qui ont vu cette scène! Ces policiers ont eu peur face à cette action des disciples, à tel point que l’un d'entre eux a voulu arrêter dans la foule un des leurs (un soldat militaire en civil). Ce dernier a commencé à se bagarrer avec celui qui l’avait arrêté. Il est alors devenu la risée de tous.
Au moment du changement de siècle, le service de la sécurité publique a commencé une vaste campagne d’arrestation contre les disciples de Falun Gong. Seulement à la Place de Tian’anmen, plus de 4000 personnes ont subi des interrogatoires, plus de 3500 sacs ont été fouillés, vers la nuit, à peu près 300 disciples ont été arrêtés, parmi eux se trouvaient environ 100 hommes et 200 femmes. Vers minuit, dans la petite forêt de bambous du musée d’histoire, un groupe de disciples de Falun Gong a été arrêté. Les voitures utilisées par la police pour transporter les disciples de Dafa étaient même insuffisantes. D’après une estimation, le 31 déc, en seulement une journée, presque de 10 000 disciples de Dafa ont été arrêtés à la Place de Tian’anmen. A Pékin, les arrestations contre les disciples de Dafa n’ont pas cessé depuis le matin jusqu’à l’aube du surlendemain. On estime qu’il y a presque 10 000 personnes qui ont été arrêtées. Les véhicules préparés pour transporter les disciples n’étaient pas suffisants.
D’après les informations données par une personne au sein de la police, le 31 déc, vers 17h, une notification a été donnée par le bureau de la sécurité publique. Elle indique que toutes les routes principales devront être "en état de siège", qu’il faudra mettre en poste un très grand nombre de soldats militaires et que toutes les portes d’entrée à Pékin seront gardées par ces soldats. Plusieurs autobus seront garés à chaque entrée pour renvoyer les disciples de Dafa venus de tous les coins du pays pour faire appel. De plus le service de la sécurité publique a demandé à tous les autres services régionaux de la sécurité publique, et aux comités des résidents du quartier, d’envoyer les disciples de Dafa aux commissariats de police de leur région pour jugement. La notification disait également qu’en ce qui concernait des disciples de Dafa qui seraient arrêtés par des policiers, il ne faudrait pas dire qu’ils avaient été arrêtés par des policiers, mais par des soldats militaires.
Le 1er janvier 2001
Au matin du nouveau siècle, les disciples de Dafa qui avaient déployé des banderoles à la Place de Tian’anmen ont été frappés par des policiers en service, jusqu'à avoir les joues couvertes de sang.
Lorsqu’on hissait le drapeau national, quatre disciples de Dafa ont déployé des banderoles. Après la cérémonie, est apparu le climax des appels au gouvernement des disciples de Dafa, des groupes et des groupes de disciples n'ont pas cessé de se rendre à la Place de Tian’anmen.
A 10 heures, des disciples de Dafa ont déployé des banderoles à l’extérieur de la Porte An Ding dans un autocar "Pékin A" en provenance d’une autre ville.
Au midi, un étudiant japonais de l’Université du Peuple a photographié des scènes dans lesquelles les policiers battaient les disciples de Dafa. Comme il refusait de donner sa pellicule aux policiers, il a été envoyé au 5ème service du bureau de la sécurité publique.
A la Place de Guang’anmen, deux disciples ont été arrêtés tandis qu’ils distribuaient des tracts.
Des disciples de la province de Hebei, après avoir distribué un grand nombre de documents exposant la vérité du Dafa, sont rentrés chez eux sains et saufs.
Un taxi de marque Xiali derrière lequel avait été accrochée une banderole de Dafa, a roulé à toute vitesse sur le périphérique ; il n’a pas été arrêté par la police.
Sur beaucoup de voitures de police et des postes des policiers on a trouvé « Zhen, Shan, Ren » et « Falun Dafa est bon ! » peints au pistolet de couleur.
En même temps, d’innombrables disciples de Dafa ont exposé la vérité du Falun Gong aux différents endroits de Pékin, révélant la cruauté aux gens de toutes sortes de manière.
Paroles d’un chauffeur de taxi qui a vu des actes féroces Place Tian’anmen.
Le 1er janvier au matin, je prenais un taxi pour aller à la Place Tian’anmen, j’ai aperçu beaucoup de policiers en civil et en uniforme sur les deux côtés de l’avenue de Chang’an. Quand nous sommes passés par la Place, nous avons vu des voitures pleines de disciples de Dafa. Elles sont parties les unes après les autres. Certains disciples ont déployé des banderoles en dehors des voitures. Nous avons vu de loin un jeune disciple qui courait à toute vitesse en soulevant une banderole de Dafa, 6 ou 7 policiers en civil lui couraient après. Ce disciple s’est échappé, mais à la fin, ils ont fini par le battre par terre. Le chauffeur m’a dit : « Ce matin j’ai eu un touriste qui voulait visiter la Place. Quand il a vu que ces policiers arrêtaient, frappaient sans aucun scrupule des gens, il m’a dit avec indignation que n’importe quelle personne qui a la moindre bonne conscience ne supporterait pas de voir cela. » A la fin, ce chauffeur a dit lui-même avec colère : « Pourquoi n’osent-ils pas mettre leur uniforme et arrêter les gens avec loyauté ? »
Place Tian’anmen au mois de décembre 2000, la sagesse de Dafa s’est épanouie partout---
( 1 ) : Une réponse intelligente permet de ne pas être contraint
Un disciple subissait un interrogatoire d’un policier en civil : « Le Falun Dafa est-il bon ou mauvais ? » ce disciple s’est dit qu’il n’avait même pas encore prouvé le Dafa, il ne fallait donc pas se laisser arrêter. Il s’est montré alors un peu étourdi : « Je ne comprends pas ce que voulez dire ! » Le policier qui ne voulait pas le lâcher lui a demandé : « Qu’est-ce que tu as dans tes poches ? » Le disciple lui a répondu : « Du papier toilette. Pourquoi vous me demandez ça ? Comment ça se fait qu’un homme qui va Place Tian’anmen doit répondre à toutes ces questions ? » Le policier est alors parti. Après s'être reposé pendant un petit moment, ce disciple a déployé la banderole---
( 2 ) : Les voix de la justice ont retenti au-dessus de la Place
Un disciple a saisi le moment où beaucoup de monde se trouvait sur la Place pour sortir un micro sans fils qu’il avait déjà préparé, et crier avec une voix éclatante : « Le Falun Dafa est bon ! Le Falun Dafa est une Loi orthodoxe ! Rendez l’innocence à notre Maître ! » Il criait en courant, et en même temps, il a sorti de ses poches des tracts exposant la vérité du Dafa, puis les a distribué en criant. Après la distribution, il a sorti rapidement de sa poche une banderole de « Le Falun Dafa est bon ! »--- De nombreux policiers se sont mis alors à courir partout, à ramasser les tracts, à arracher le micro, la banderole. C’était très animé.
( 3 ) : Je suis la banderole du Falun Dafa
Un disciple qui avait déployé une banderole, voyant que les policiers couraient vers lui, a trouvé une solution intelligente à la dernière minute. Il a enroulé la banderole autour de lui, et en même temps, il a jeté dans l’air de nombreux tracts de Dafa comme des flocons de neiges. Les policiers en civil ont eu grande peine pour finir d' arracher la banderole.
( 4 ) : Utiliser la distraction
Un disciple, :lorsqu'il a vu le nombre de personnes croissant sur la Place, s’est faufilé dans un groupe de gens, et a crié : « Le Falun Dafa est bon ! » Lorsque les policiers ont entendu cette voix, ce disciple est allé se faufiler dans un autre groupe et a crié : « Le Falun Dafa est bon ! » Lorsque les policiers sont venus vers lui, il s’est tu, et quand les policiers sont partis, il a crié de nouveau. C’est ainsi que ce disciple a tenu tête aux policiers pendant 2, 3 heures, et est entré chez lui sain et sauf.
( 5 ) : Sagesse collective--- « un groupe de touristes »
Quand un groupe de touristes d’une autre ville est arrivé sur la Place pour visiter, deux touristes se sont mis de côté, et ont déployé une banderole de Dafa. Ils ont crié : « Le Falun Dafa est bon ! » Les policiers se sont jetés férocement sur eux, et ont commencé à les frapper. Tout de suite certains touristes parmi le groupe ont voulu faire cesser la violence policière, certains sont allés leur parler, certains ont profité de l’occasion pour distraire les policiers afin que d’autres prennent des photos---
( 6 ) : Utiliser « la couleur de protection », s’échapper au danger de façon ingénieuse
Quand on nous a poussés dans une petite voiture de police, et fouillé notre corps, à l’extérieur se trouvaient d'autres disciples de Dafa qui ont déployé des banderoles pour prouver le Dafa. Au moment où les policiers sont sortis de la voiture pour les attraper, comme le chauffeur était occupé à inspecter les alentours, j'ai poussé une grande sœur vêtue d’un vêtement foncé (comme celui des policiers), et je lui ai dit : « Allez, vas-y vite ! » Elle est sortie de la voiture sans hésitation en suivant ces policiers. Lorsque le chauffeur a tourné la tête pour nous surveiller, il n’a fait attention qu'à ceux qui étaient habillés en rose ou rouge, cette grande sœur a donc pu s’échapper ingénieusement sous ses yeux grâce à cette « couleur de protection ».
Reportage rédigé le 03/01/2001, envoyé le 03/01/2001
http://www.minghui.org/mh/articles/2001/1/3/6403.html
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