"Utiliser la raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement la vraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandue et pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité) Histoire de Maomao qui défendait la Loi [Site Minghui] ( Maomao est un disciple de Dafa âgé de 11 ans, le premier jour du nouveau siècle, il est venu du Sud avec sa mère, tonton Ming et tata Hui, jusqu’à la Place Tian’anmen de Pékin. C’était déjà la deuxième fois qu’il s’y rendait, et la cinquième fois pour sa mère, pour prouver Dafa. Le jour du nouvel an, vers 7H30 du matin, nous sommes arrivés Place Tian’anmen où se trouvaient déjà beaucoup de policiers en uniforme et en civil. Nous avons fait le tour de la Place, voyant de nombreux tontons et tatas qui soulevaient sans interruption des banderoles en criant : « Le Falun Gong est bon ! », « Le Falun Dafa est une Loi orthodoxe ! »Des policiers en uniforme et civils se sont immédiatement jetés sur eux, les ont frappés violemment. Puis ils les ont poussés dans des voitures qui étaient déjà là. Maman aurait bien voulu soulever une banderole, mais nous ne l’avions pas apportée. A ce moment-là, maman a vu une banderole perdue par un autre disciple, alors elle est allée la ramasser. Un policier l’ayant vue, lui a demandé : « Toi aussi, t’en fais partie ? » Maman a crié alors à haute voix : « Le Falun Dafa est bon ! », « Le Falun Dafa est une Loi orthodoxe ! », « Rendez l’innocence à notre Maître ! », « Rendez l’innocence au Falun Dafa ! » En suivant maman, j’ai crié aussi à haute voix : « Le Falun Dafa est bon ! », « Le Falun Dafa est une Loi orthodoxe ! » Tonton Ming et Tata Hui qui sont venus avec nous criaient aussi en courant d’un autre côté. Beaucoup de policiers se sont précipités sur nous, et nous ont frappé avec une matraque de police en fer, ils m’ont donné plusieurs coups de pieds. Nous continuions de crier incessamment, à la fin, ils nous ont empoignés à la gorge en couvrant notre bouche de leur main, et nous ont traînés jusque dans une voiture. Tout ce temps, maman ne leur a pas du tout obéi, tandis qu’elle essayait de se débarrasser de leur contrôle, ils la frappaient alors plus fort. Dans la voiture, ils maintenaient maman contre terre en mettant leurs pieds sur sa tête et sa poitrine, appuyant sur l’ arête du nez avec un bâton en fer. Je criais à côté d’elle : « Ne frappez pas ma mère, ma mère est la meilleure personne du monde ! » Quand j’ai voulu me jeter sur maman pour la protéger, un policier m’a arrêté en utilisant une matraque de police, puis après m’avoir plaqué à terre, ils se sont assis sur moi, ce qui m’a rendu incapable de bouger. A cet instant, maman criait aussi : « Pourquoi frappez-vous un enfant, une femme du peuple ? » La voiture s’est arrêtée devant le sous bureau de la sécurité publique de la Place Tian’anmen où se trouvaient encore plus de disciples : des pépés, des mémés, des tontons, des tatas, des grands frères et sœurs. Ils nous ont d’abord envoyés dans une cave, puis dans une cour encerclée de murs sur lesquels s’affichaient pleinement des banderoles du Dafa, des grands et des petits emblèmes du Falun etc. Nous criâmes ensemble à haute voix : « Suffoquer la cruauté ! La rectification de l’Univers par la Loi ! Rendez l’innocence à notre Maître ! Libérez-nous ! » Notre voix était si uniforme, si retentissante que les policiers n’osaient même pas nous approcher. Nous criions incessamment, en récitant le Hong Yin (les poèmes) du Maître, et des Jinwen, beaucoup d’entre nous ruisselaient de larmes. A ce moment-là nous avons vu tomber du ciel une poudre marron qui ressemblait à de la neige, mais qui n'était pas de la neige. Après, on a entendu dire que les disciples qui étaient sur la Place avaient également vu de la poudre tomber sur eux. Je pense qu’il s’agissait des débris d’ ossements des vies cruelles détruites dans d’autres espaces. Après on nous a fait partir de là en voiture. J’ai compté qu’il y avait à peu près 5 voitures et chacune était bourrée de disciples. La nôtre avait pour destination la ville de Tongzhou. Pendant le trajet, on faisait descendre sans arrêt des disciples qui étaient ensuite pris par d’autres voitures plus petites. A la fin, maman, tata Hui, moi et 4 autres personnes sommes arrivées au commissariat de police de Beiwan de la ville de Tongzhou, il était presque 9H du matin. Dans le commissariat de Beiwan, on m’a enfermé séparément dans une pièce où se trouvaient une dizaine de policiers. Ils m’ont posé des questions telles que comment je m’appelais, d’où je venais, mais je ne leur ai pas répondu. A ce moment-là un policier, en appuyant sur ma tête et saisissant mes mains, a sorti une matraque électrique pour me donner des décharges. Je lui ai dit : « Vous allez nous donner des décharges ! » Une policière qui était à côté m’a dit : « Il ne te donne pas de décharge, il a seulement pris un bâton, il a des pouvoirs paranormaux. » Ils voulaient continuer à me tromper. Je leur ai dit à haute voix : « Vous ne pouvez pas me frapper, je suis un enfant, je n’ai pas commis de méfaits, vous violez la loi tout en la connaissant, je vais vous accuser, je vais montrer ce que vous faite sur Internet pour le faire connaître à tous les tontons et tatas, j’ai retenu le nom de votre commissariat. » Ils étaient tous surpris par mes paroles, ils ne m’ont vraiment pas frappé. Un policier m’a même dit : « Nous te taquinions tout à l’heure, ne prends pas ça sérieux. » Ensuite, ils m’ont encore dit : « Ta maman n’aurait pas du t’emmener, tu devrais bien faire tes études à la maison. » J’ai dit : « Ce n’est pas ma mère qui m’a forcé à venir, c’est moi qui voulais venir. Après avoir pratiqué le Falun Gong, je ne suis plus tombé malade, mes notes ont progressé, tout mon entourage dit que je suis devenu sage et intelligent. Je veux dire à tout le monde que le Falun Gong est bon. » Comme ils ne savaient plus quoi demander, ils m’ont puni en m’ordonnant de rester debout pendant 5 heures, en me tenant debout je n’ai pas ressenti la moindre fatigue, c’était aussi confortable que de m’allonger sur un lit. Je sais que c’est le Maître qui m’a aidé. Par contre, j’étais très inquiet pour ma maman, je leur ai demandé de m’autoriser à aller la voir, mais ils ne me l’ont pas permis. J’ai demandé alors à aller aux toilettes afin d’en profiter pour voir ma maman, malheureusement, ils me suivaient toujours Au retour, j’ai entendu la voix de ma maman, elle criait à haute voix : « Rendez-moi mon fils, je veux mon fils, il est encore un enfant, vous ne pouvez pas le traiter ainsi ! » Alors, je me suis mis aussi à crier à haute voix en pleurant : « Je veux ma maman ! » Ils n’étaient toujours pas d’accord, et m’ont emmené dans un bureau de service. Je leur ai demandé comment allai ma maman, un policier m’a dit que parmi eux, ma mère était la plus difficile, et il m’a dit que ma mère était digne d’un disciple du Dafa. Après j’ai entendu dire que ma mère n’avait toujours pas voulu coopérer avec eux, elle ne leur avait donné ni son nom, ni son prénom, ni notre adresse, ni son empreinte digitale, elle n’avait pas fait la photo, 7 ou 8 policiers n’ont pas réussi à la faire obéir. Ils lui ont donné des coups de pied pour la forcer à dire son nom et son prénom, elle leur a répondu : « Vous pouvez me frapper, me tuer, utiliser des couteaux, des pistolets, je peux vous donner ma tête, mais mon cœur est à mon Maître. » Après avoir entendu cela, ils ont cessé de la frapper, et de la contraindre. Vers 5 heures de l’après-midi, ils nous ont enfin renvoyés dans une petite voiture, et après avoir roulé pendant très longtemps, à peu près 50 à 100 kilomètres, ils nous ont jeté ma mère et moi de la voiture dans un endroit désert. Nous avons obtenu de nouveau la liberté, et accompli une activité pour défendre la Loi, j’étais vraiment très content. Puis après bien des revers de fortunes, nous sommes retournés à Pékin, là où nous habitions auparavant, et nous y avons retrouvé tonton Ming et tata Hui qui avaient été eux aussi libérés. Ils avaient aussi refusé de dire leur vrai nom et prénom, tonton Ming a dit qu’il s’appelait « Rien ne reste » (Wucun). Maintenant, nous sommes déjà rentrés chez nous en sécurité, seulement ma mère est couvertes de plaies à force d’avoir été frappée, elle a des difficultés à se déplacer, de plus elle a beaucoup de fièvre. Voilà le parcours de ce voyage pour défendre la Loi à Pékin pendant le nouvel an, je vous l’ai raconté, j’espère que les tontons et les tatas du site de Minghui peuvent m’aider à le montrer sur Internet, à révéler les actes cruels de ces policiers qui exécutent la loi, alors qu’ils violent la loi. |
Le 03/01/2001
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