"Utiliser la raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement la vraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandue et pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité)
Le 23 janvier 2001, le matin, à la veille du Nouvel An Chinois, des pratiquants de Manchester et du centre du Royaume Unis se sont rassemblés pacifiquement devant le consulat de Chine à Manchester pour faire appel contre l’interdiction du Falun Gong et les violations des droits de l’homme à l’égard des pratiquants, en Chine. Ils ont déployé des bannières colorées et ont accompli la série de cinq exercices. A 11h.30 environ, 4 pratiquants ont commencé à franchir le cours chemin du portail d’entrée au consulat pour présenter une lettre pour demander la levée de l’interdiction et la possibilité d’avoir un dialogue pacifique. Lorsqu’ils eurent parcouru à peu près la moitié du chemin, un membre de l’équipe du consulat fit son apparition et demanda aux pratiquants de quitter les lieux ajoutant que leur lettre ne serait pas acceptée. Comme des pratiquants essayaient de le persuader gentiment d’accepter la lettre et qu’ils n’avaient aucune mauvaises intentions, un consul se précipita à l’extérieur du bâtiment. Après un coup d’oeil sur un pratiquant occidental d’une certaine carrure, il dirigea son attention vers un pratiquant chinois plus petit et le bouscula. Il se saisit ensuite de la lettre et la déchira. Faisant des remontrances hors de proportions, il accusa les pratiquants de faire obstruction au travail du consulat, et de ne pas suivre l’exigence de "Ren" (Tolérance). Les pratiquants firent remarquer qu’il ne remplissait pas son rôle officiel en refusant d’accepter la lettre et que sa colère n’était pas nécessaire et indigne de son rôle de représentant de la Chine. Heureusement, toute la scène était enregistrée par la caméra tenue par un de nos pratiquants. Après nous avoir repoussés à l’extérieur du portail, l’équipe du Consulat sembla réaliser cela et tenta de couvrir la camera avec les mains, à l’extérieur du territoire du consulat, ils étaient effrayés à l’idée d’être exposés au publique. Il y avait un contraste évident entre l’action pacifique des pratiquants et les manières brusques et pleines de violence des officiels du Consulat de Chine. Avant cet événement, nous avions contacté la police locale et l’avions informée de ce que nous allions faire. Il était très heureux de nous donner l’autorisation et nous avaient dit qu’il ne serait pas nécessaire de nous surveiller. Pourtant, malgré les actions de violences menées contre les pratiquants, le consulat chinois avait fait un rapport à l’officier de police et nous avait accusé d’interférer dans leur travail normal. Ainsi, un seul officier de police se rendit sur place et se tint tranquillement dans un coin pour remplir son devoir. Après que notre manifestation fut terminée, un de nos pratiquants l’approcha pour le remercier d’avoir été présent. L’officier de police sourit et dit : "Il (le Consulat Chinois) a certainement besoin d’une bonne dose de démocratie. Des pratiquants du Royaume Unis Le 26 janvier 2001 http://www.clearwisedom.net/eng/2001/Jan/28/PFWO12801 2.html |
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