"Utiliserla raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement lavraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandueet pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité)
L’expérience d’un disciple de Dafa sur la protection du Fa à Beijing
Je suis âgée de cinquante-cinq ans. Le 1erjanvier 2001, j’ai passé à travers des postes et des postes de contrôle pourarriver à Tiananmen, dans le but de réaliser mon souhait tant chéri :prouver le Dafa.
Quandje suis allée à la Place Tiananmen, j’ai vu passer une camionnette de policeaprès une autre. Des policiers en uniformes et ceux en civil se trouvaientpartout. Ce n’était pas une atmosphère de joie pour l’arrivée du nouveaumillénaire, mais donnait aux gens un sentiment d’agressivité.
Quandun autre pratiquant et moi venions juste d’entrer dans la Place par le Sud,deux policiers en civil se sont dirigés tout de suite vers nous et nous ontinterrogés. J’ai pensé qu’il ne fallait pas hésiter, donc j’ai sorti rapidementla bannière déjà préparée et j’ai crié : “ Falun Dafa est bon !Redonne à notre Maître sa pure réputation ! ” Un groupe de policiersen civil se sont plongés sur moi, ont pris la bannière et ont commencé à medonner des coups. Ils m’ont donné des chocs électriques avec leurs bâtons quicrachaient du feu, mais je ne ressentais pas la douleur et j’ai continué àcrier : “ Falun Dafa est bon ! Redonne à notre Maître sa pureréputation ! ” Les policiers n’ont pas le droit de battre lesgens !” Quelques-uns m’ont poussé par terre. Plus tard, ils m’ont sourihypocritement et ont changé d’attitude. Quand la camionnette de police étaitvenu et que le monde autour ne pouvait plus voir, ils ont révélé leurs regardsféroces et ont recommencé une autre série de coups. Leurs sourires n’étaientqu’un spectacle.
Ilsnous ont envoyés à différents endroits par groupes. Comme toutes les placesétaient remplies de pratiquants, j’ai changé de places quatre fois de suite.Finalement, ils m’ont mis dans une chambre au comté de Changping. Sur leplafond, il y avait plein de chaînes métalliques qui y étaient suspendues. Il yavait aussi des menottes, des aiguilles électriques, etc. Ça avait l’air d’unechambre de torture. Plusieurs policiers, aussi une policière, sont venusm’interroger. “D’où viens-tu ?” “Je ne te le dirai pas.” “C’est quoi tonnom ?” “Je ne te le dirai pas”. La policière a commencé à parler :“Situ ne nous dis rien, dans un moment, tu vas parler à un chien !” Deuxpoliciers ont utilisé des bâtons pour me battre de la tête au pied. Je saignaispendant tout ce temps, mais je ne sentais pas la douleur. À ce moment, ils ontamené un chien-loup. Le chien-loup s’était montré très agressif avec ses dentset avec le bruit ses pattes. Il m’a fait un geste de menace envers moi. Lepolicier l’a lâché et a dit :“Mords-la” !
J’aigardé la droiture de mon esprit et j’ai fixé mes yeux sur le chien et luidisant :“Bête, tu oses me mordre ?! Je suis un cultivateur deBouddha. Si tu fais du mal, je ne t’offrirais pas le salut.” C’était vraimentmiraculeux. Juste après mes paroles, le chien-loup s’est couché à plat ventreet n’osait pas me regarder. La policière a crié :“Ça c’est étrange !Ça c’est étrange !” Quand elle a dit ça, elle a donné des coups de piedsur le derrière du chien et criait :“Va la mordre ! Va lamordre !” Cependant, peu importe comment elle criait et frappait le chien,ce dernier n’a pas bougé et jetait un regard de douleur à son maître.À ce moment,je me suis senti mal et j’ai pensé :“Ces personnes ne valent pas plus quedes bêtes et une bête peut comprendre ce que je dis. Ce n’est pas étonnant queLu Dongbin [Note : Lu Dongbin est undieu connu dans le Taoïsme] ait dit qu’il donnerait le salut à un animalplutôt qu’à un être humain.”
Envoyant que cette tactique cruelle ne marchait pas, ils ont commencé à me battreet à m’insulter. Un policier malveillant cria :“Enlève sesvêtements !” J’étais fortement contre l’idée de coopérer avec eux et jeleur ai dit avec justice :“Vous faites ces vilaines choses, vous allez lepayer.” Ils m’ont abusé en me disant :“Le corps de cette fille a bonneforme.” Et d’autres mots qui sont intolérables à écouter. Ils n’étaient pascapables d’enlever mes vêtements peu importe ce qu’ils essayaient, donc ils ontcontinué à me battre. Après m’avoir battu, ils m’ont abusé, puis ils ontrecommencé. Plus tard, ils m’ont battue jusqu’à ce que mon sang coulait de mabouche et de mon nez. Ils ont pressé mes mains à terre et les écrasaient avecleurs bottes de cuir. Très vite, la peau sur mes mains était déchirée et il yavait du sang partout. Ils m’ont torturée de cette manière pendant plusieursheures. C’était sombre et j’ai perdu connaissance, mais je pouvais encoreentendre clairement ce qu’ils disaient. Je n’avais qu’une pensée :“Ne pascoopérer avec le mal.”
Ilsont vu que j’ai perdu connaissance, alors ils ont arrêté. Pour être sûr quej’avais vraiment perdu connaissance, ils ont allumé une chandelle et ont brûlémes paumes. Mais je n’ai senti rien qu’un chaud chatouillement. Sans recevoirde réactions de ma part, ils ont appelé un docteur. Ce dernier m’a examinée eta dit :“Son pouls est faible et la pression de son sang est très basse.Envoyez-la à l’urgence.” Ne voulant pas porter la responsabilité, ils m’ontconduite à un endroit d’emprisonnement. Une personne là-bas m’a regardée et adit :“On ne peut pas accepter cette personne. Vous battez les gens commeça et vous voulez juste jeter la responsabilité sur quelqu’un d’autre ?”Ils ont dû m’emporter à l’hôpital. Quelques-uns d’entre eux sont descendus pouraller signer le registre. Le conducteur s’est retourné vers moi et m’ademandé :“Tu peux marcher par toi-même ?” J’ai fait signe que non. Ilest entré dans l’ hôpital et m’a laissée seule dans la camionnette.Soudainement, j’ai réalisé que c’était une chance que Maître m’a offerte pourm’évader. J’ai enlevé la serrure et la porte s’est ouverte. Tout d’un coup,j’étais remplie d’énergie et je me suis enfuie dans la noirceur. Après un moment,j’ai entendu les sons des sirènes et j’ai vu les lumières briller. J’ai courujusqu’à un bâtiment et j’étais désespérée. Les personnes qui m’ont vue ontessayé de me chasser hors de là et quelques-uns ont dit qu’ils allaient appelerla police. J’avais un mauvais sentiment et je pensais que les gens étaient sansbienveillance À ce moment, les policiers me cherchaient de portes en portes. Àcôté de moi, j’ai vu une grosse poubelle et je m’y suis cachée dedans sanspenser à la saleté. Juste après, quelques motos se sont arrêtés près de lapoubelle, mais ils ne m’ont pas retrouvée. Ils m’ont cherchée pendant un longmoment, et graduellement, c’était devenu calme et je suis sortie de lapoubelle.
Dansla noirceur de la nuit, je ne pouvais pas reconnaître les directions et jemarchais aveuglement. Je ne sais pas j’ai pu marcher quelle distance. J’ai vu àpeine un signe disant “département XX de XX comté”. Hé, j’étais sorti du comtéde Changping. J’ai pensé qu’il y avait des pratiquants à Beijing et je devaisaller à Beijing. Mais les policiers ont pris mon argent. Je n’avais pas mangédepuis longtemps et je me sentais froide et affamée. Juste à ce moment, j’aientendu quelqu’un rouler avec sa bicyclette. Je me suis approchée du son etj’ai demandé à la personne :“S’il vous plaît, dîtes-moi comment aller àBeijing.” La personne avait l’air très étonnée et n’a pas dit un mot jusqu’à cequ’il était sûr que j’étais une femme. “Tu as pris la direction inverse.Qu’est-ce que tu as fait ? Que fais-tu ici à minuit? Il y a des loups.” Etil m’a demandé :“Est-ce que tu pratiques Falun Gong ?” J’aidit :“Si je pratiquais et que les policiers me poursuivaient, queferais-tu ?” il m’a répondu :“les personnes qui pratiquent Falun Gong sontde bonnes personnes. J’ai déjà caché plusieurs pratiquants de Falun Gong chezmoi. Si tu me fais confiance, suis-moi.” Je me suis sentie chaude dans le cœur,et j’ai pensé qu’il y avait encore beaucoup de personnes sensibles, mais je luiai dit :“Merci, ce serait suffisant si vous me disiez juste vers quelledirection je devrais aller.” Il a dit :“Bien, va juste devant et traverseune intersection ; puis tu seras sur l’autoroute. Il y aura des autobusallant à Beijing.”
Puis,j’ai marché vers la route. Le vent froid soufflait et j’avais froid, faim etj’étais épuisé. J’ai trouvé un arbre et me suis accotée dessus pendant unmoment, mais je n’osais pas m’étendre par terre. J’avais peur que je ne seraispas capable de me relever. Et j’ai repris ma marche après le repos. Je marchaiset marchais et soudainement, un Falun clair et coloré s’est levé du sol devantmoi, il y avait aussi quelques fleurs de lotus. La scène étaitmagnifique ! Ils ont volé haut dans le ciel et j’ai vu les étoiless’écarter pour faire de l’espace pour le Falun et les fleurs de Lotus. Après unmoment, le Falun a disparu, laissant une trace lumineuse. Puis, un dragon vertest sorti du sol et m’a cligné des yeux. Ébranlant sa queue et ouvrant sesgriffes, il montait vers le ciel. J’étais très emportée et j’ai oublié lafatigue, la froideur, et la faim. J’ai sauté et bondi comme un enfant dans lanuit et j’ai crié fortement :“Falun Dafa est bon ! Dafa est bon!Bon ! Bon ! …” Mon cœur était très léger et je ne me sentais ni seuleni apeurée. Je savais que les dragons Célestes et Falun protégeaient Dafa (etmoi). Remplie de confiance, j’ai continué ma marche.
Jene savais pas quelle distance j’avais marché. Finalement, j’ai vu un lampadaireet j’ai su que c’était l’autoroute quand je m’y suis approché. J’ai regardé laGrande Ours dans le ciel, j’ai estimé ma direction et l’heure : 2 AM.J’ai continué à marcher et j’ai vu des personnes qui dormaient dans des abris.Je me suis approchée d’un jeune homme qui travaillait là et je lui aidit :“Jeune homme, je passe par ici et je vous prierais de me donner àboire, est-ce possible ?” Il s’est retourné la tête et a reculé dequelques pas. J’ai su que c’était mon corps ensanglanté, mes cheveux hirsuteset ma face sale qui lui ont fait peur. J’étais désolé pour ça, mais je nepouvais pas trouver de l’eau pour me nettoyer. Puis, j’ai dit :“Je ne suispas une mauvaise personne. J’ai eu un accident, puis-je avoir un endroit où mereposer ?” Il ne m’a pas répondu et j’étais partie. Bientôt, il m’arattrapée et a dit :“Je connais une place où tu peux te reposer et je peuxt’y emmener.” Je l’ai suivi et nous sommes arrivés dans une salle de chaudièreset il faisait très chaud en dedans. Il m’a préparé des nouilles chaleureusementet m’a dit :“Tu n’as pas l’air d’avoir eut un accident.” J’ai dit :“Peuimporte, je suis une bonne personne. Si les policiers étaient sur mes traces,que ferais-tu?” Il m’a demandé encore :“Est-ce que tu pratiques FalunGong ?” J’ai dit :“Si je te dis que je pratique, le diras-tu à lapolice?” Il a tapé sur son torse et a dit :“Je suis un homme brave deShandong, je n’ai pas peur. Comment pourrais-je faire ça ? Les personnesqui pratiquent le Falun Gong sont bonnes.” Il a aussi dit qu’il y avait despratiquants dans ville natale. Il a aussi révélé qu’il voulait que sa familleapprenne le Fa. Je lui ai dit :“Je n’ai rien à te donner. Je te donne unephrase—La lumière de Bouddha illumine partout, les gens bons recevront debonnes récompenses.”
C’étaitl’aube et j’étais sur le point de partir. Il fouillait ses poches et adit :“Je n’ai que vingt yuan. Le billet pour aller à Beijing c’est dixyuan. Tu pourras acheter quelque chose à manger avec le reste. Je te souhaitebonne chance à Beijing.” Il m’a envoyé dans l’autobus. Plus tard, j’étaisarrivé à ma ville natale grâce à l’aide des pratiquants à Beijing.
Jen’ai pas d’autres choses à dire, et je sais seulement que je dois aller prouverDafa comme ça maintenant. En fait, Dafa me donne beaucoup plus que ce que j’aifait.
Un disciple de Dafa
8 Janvier 2001
Traduit en Anglais le 18 février 2001:
Versionoriginale en Chinois : http://minghui.cc/mh/articles/2001/2/17/8133.html
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