"Clarifiez la vérité intégralement, ayez la pensée droite pour éliminer la perversité, apportez le salut aux êtres, préservez résolument la Loi" (La Grande Loi est indestructible).
1er Octobre 2001, "Fête" Nationale en Chine : la Police du Liaoning tue une Pratiquante de Falun Gong en la jetant du haut d'un immeuble
Alors que les yeux du monde entier sont braqués sur la crise en Asie Centrale et les répercussions des attentats aux Etats-Unis, le régime chinois profite de cette période pour prendre des mesures répressives encore plus drastiques vis-à-vis des pratiquants du Falun Gong. Le dernier exemple.
YU Xiuling était une femme de 32 ans, résidente du septième groupe du village Qichengzi du bourg Damiao du district Chaoyang dans le Liaoning. Le 14 septembre 2001, elle a été emmenée de chez elle illégalement par les policiers du bureau de la sécurité publique de l'arrondissement de Longcheng de la ville de Chaoyang, et mise en garde à vue à Shijiazi.
D'après des sources fiables, le 19 septembre à 8 heures du matin, YU Xiuling a été emmenée au bureau de la sécurité publique de Longcheng. Les policiers ont voulu la forcer à abandonner la pratique de Falun Gong et à avouer la provenance des prospectus qu'elle avait en sa possession. YU Xiuling est restée du début à la fin très ferme dans sa position, croyant résolument que "Zhen-Shan-Ren [vérité-bonté-patience]" est une conviction juste, et que pratiquer Falun Dafa n'est pas un crime.
Pendant l'interrogatoire, les chefs des sections politique et juridique, HUANG et SUN l'ont frappée et torturée sans arrêt jusqu'à 9 heures du soir. A l'issue de 13 heures de tortures, elle n'avait plus qu'un souffle de vie. A ce moment quelqu'un a dit de l'envoyer à l'hôpital, mais un autre a dit : "ne l'envoyez pas à l'hôpital, si on n'arrive pas à la sauver, ça sera difficile de se justifier". En voyant la situation, HUANG et SUN ont craint que leur crime soit dévoilé, ils ont jeté YU Xiulian par la fenêtre du quatrième étage, YU est morte sur le coup. Le soir même vers minuit, ils ont incinéré la dépouille à toute vitesse. Comme à l'habitude, les autorités ont affirmé qu'il s'agissait d'un suicide.
Durant les 13 heures qu'a duré sa torture, YU Xiuling avait les mains attachées au radiateur, et était torturée par plusieurs policiers à la fois. Comment alors aurait-elle pu se suicider en se précipitant par la fenêtre ? Cela évoque le cas de ces 15 femmes massacrées au mois de juillet dans le camp de travail de Wanjia, dont les dents étaient cassées et les oreilles remplies de sang, mais dont les autorités ont affirmé qu'elles s'étaient pendues.
Une Loi bouddhique qui enseigne aux gens à s'orienter vers la bonté est calomniée, diffamée ; de bonnes personnes qui s'orientent sincèrement vers la bonté sont privées de leur vie les unes après les autres ; pourtant les bourreaux dont les mains ont trempé dans le sang d'innocents restent impunis. Dans ce pays qui a une histoire civilisée si ancienne, où sont les droits de l'homme ? où est la justice ? où est la conscience ?
La Sous-Commission des Droits de l'Homme aux Nations-Unies mentionnait déjà au mois d'août que la Chine est coupable vis-à-vis du Falun Gong de terrorisme d'Etat. Elle établissait en même temps que les accusations du régime chinois concernant le Falun Gong sont des fabrications pures et simples. Dans une période où la violence est omniprésente, où on ne parle que de guerre, les pratiquants du Falun Gong offrent, eux, l'image résolue de la résistance pacifique, et continuent à faire appel pour leurs droits fondamentaux. Sans aucune violence et sans aucune haine, ils continuent à défendre le principe bouddhique de Vérité, Bonté, Patience.
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