Lorsque nous croyons en Maître et en Dafa avec fermeté, nous pouvons surmonter tous les obstacles
Par Li Zhenzi
Le 26 octobre 2002
(Vraiesagesse.net)
Contexte: À Pékin, une pratiquante de 70 ans s'était rendue au bureau des appels plusieurs fois, pour parler en faveur de Dafa. Elle avait aussi été cinq fois déployer des bannières sur la Place Tiananmen, elle avait clarifié la vérité de nombreuses fois et distribué du matériel de clarification de la vérité là-bas depuis le début de la persécution en juillet 1999. Presqu'à chaque fois elle s'est débrouillée pour entrer chez elle saine et sauve la journée même.
Lorsque les méchantes gens l'ont emmené de force vers une classe de lavage de cerveau, elle leur a montré la vérité de sorte que la perversité l'a laissé partir avant que trois heures se soient écoulées. Depuis lors, la perversité n'a plus osé la harceler. Pendant ces "dates sensibles", [les vacances nationales, les anniversaires d'événements importants] les pratiquants étaient surveillés étroitement, le domicile de la veille dame également. Mais elle s'est arrangée pour faire ce qu'elle voulait. Elle disait, "je n'ai pas peur d'eux. J'agis comme s'ils n'existaient pas". Sa priorité quotidienne était de clarifier la vérité de Dafa. Elle a distribué d'innombrables dépliants, suspendu beaucoup de bannières et d'affiches. Lorsqu'elle n'avait pas de matériel, elle n'attendait pas, elle parlait aux gens directement et écrivait à la main du matériel de clarification de la vérité. Pourtant, elle sentait qu'elle pouvait faire mieux. Nous lui avons demandé à plusieurs reprises d'écrire un article pour partager ses expériences et encourager ainsi ses compagnons de pratique, elle a écrit l'article qui suit: "Lorsque nous croyons en Maître et en Dafa avec fermeté, nous pouvons surmonter tous les obstacles."
Pendant les trois dernières années de rectification par la Loi et de clarification de la vérité, j'ai fait de mon mieux pour faire ce que le Maître nous a demandé de faire. Bien que je vive à Pékin, je suis toujours sous la protection bienveillante du Maître, alors que le mal est omniprésent ici. J'ai fait à maintes reprises l'expérience de la solennité et de la grandeur de la Loi et j'apprécie l'honneur d'être un disciple de la période de la rectification par la Loi.
1. Rectifier la Loi à la Place Tiananmen
J'ai été à la Place Tiananmen plusieurs fois pour faire appel pour Dafa. Chaque fois, je suis rentrée saine et sauve sous la protection de Maître. Cela m'a vraiment montré le pouvoir de Dafa.
Le 25 avril 2000, je me suis rendue à la Place Tiananmen pour dérouler une bannière pour la première fois. Mon cœur n'était pas ferme et des officiers de police en civil m'ont arrêté avant que je puisse même ouvrir la bannière. J'ai été envoyée dans un centre de détention et relâchée plus tard à cause de ma trop haute pression sanguine.
J'ai tiré la leçon de ce premier incident, et je suis retournée à la Place Tiananmen le 20 juillet 2000. À 9h environ, j'ai vu des compagnons de pratique être battus sur la Place Tiananmen pour avoir validé le Fa. J'ai rapidement déroulé la bannière en criant "Falun Dafa est bon". À la troisième reprise plusieurs officiers de police ont bondis vers moi pour saisir la bannière et me pousser dans un bus. Dans le bus, j'ai dit quelque chose qui ne leur a pas plu et ils ont commencé à me donner des coups de poings et de pieds. C'était l'été et la température était élevée: 39C (env. 102F). Ils portaient de lourdes bottes de cuir et me donnaient de très forts coups de pieds dans la région du foie, des reins et dans l'estomac. Je ne sentais aucune douleur. Il n'y a pas eu de traces de contusion ensuite. J'ai compris que c'était à cause de la protection de Maître. J'ai été envoyée dans la cour d'un poste de police local, où étaient détenus plus de 200 compagnons de pratique. Nous avons récité ensemble le Lunyu (préface de Zhuan Falun) et les Hong Yin (recueil de poèmes du Maître). Nos cœurs étaient fermes. Aux environ de 5h de l'après-midi la police s'est mise à frapper les pratiquants avec des bâtons électriques et a envoyé la plupart d'entre eux dans des bus. Une douzaine de pratiquants de Dafa et moi-même avons été laissé dans la cour. A 9h du soir environ, j'ai remarqué que personne ne nous surveillait, alors j'ai été dans un bureau pour demander à un officier de police, "Où se trouve la porte principale?" Il a indiqué un endroit et je suis partie. À la porte d'entrée, j'ai trouvé un garde de sécurité et lui ai demandé où se trouvait la station de bus pour rentrer chez moi, et il m'a donné le renseignement. Simplement ainsi, je suis rentrée à la maison, ouvertement et dignement.
La troisième fois que j'ai été à la PlaceTiananmen avec une compagne de pratique, j'ai élevé la bannière de mes mains, et tout en courant j'ai clamé "Falun Dafa est bon". La police ne m'a pas attrapé avant que j'aie déjà parcouru la moitié de la place. Ils m'ont poussé dans la voiture de police. Au poste de police, parce que j'ai refusé de donner mon nom, ils m'ont enfermé dans un bureau vide. Aux environs de 7h du soir un officier m'a dit que le chef de la police voulait me parler et m'a fait monter dans une voiture pour me rendre au rendez-vous. Lorsque la voiture passait le long de l'autoroute de Changping, elle s'est arrêtée soudainement au bord de la route. Un officier m'a dit de sortir. Une nouvelle fois, je suis retournée à la maison saine et sauve.
Autour du 1er octobre, jour de vacance national, j'ai été pour la quatrième fois sur la Place Tiananmen. Une compagne de pratique a fait le tour de la Place Tiananmen avec moi deux fois sans rencontrer d'autres pratiquants. Alors nous avons décidé de ne pas attendre plus longtemps. Nous avons sorti nos bannières et crié, "Falun Gong est bon!". Un car de police est arrivé et a emmené cette compagne de pratique. J'ai continué à faire appel mais la police n'est pas venue m'attraper. Puis, j'ai plié la bannière et je suis rentrée chez moi. Deux policiers étaient installés dehors, devant la porte de ma maison et me surveillaient nuit et jour. Ils m'ont demandé où j'avais été. Je n'ai rien répondu, tout en pensant, "Il ne me font pas peur".
Un jour très venteux, c'était le Jour du Nouvel An, j'ai été pour la cinquième fois sur la Place Tiananmen. J'avais amené quatre bannières avec moi, j'ai pensé les suspendre aux pins, devant le Grand Hall du Peuple. Quand je suis arrivée, il n'y avait que très peu de piétons sur la place, la plupart d'entre eux étaient des policiers en civil. Après un moment j'ai remarqué que j'étais suivie, mais j'ai tout de même trouvé l'occasion de suspendre toutes les bannières aux arbres. Je me suis rendue compte que j'avais amené trop peu de bannières. Lorsque je suis arrivée à Zhenyangmen, un ancien portail au sud de la Place Tiananmen, j'ai pris tranquillement un flyer de Dafa et je l'ai placé sur la porte rouge. Puis, j'ai placé plus de flyers à l'entrée des stations de métro et sur des mâts de drapeaux. J'ai placé mon dernier poster sur une voiture de police.
A plusieurs reprises, j'ai été sur la Place Tiananmen pour envoyer des pensées droites, pour placer et distribuer du matériel de clarification de la vérité et pour clarifier les faits directement aux touristes. Sous la protection bienveillante de Maître, je suis toujours rentrée en toute sécurité avec ma croyance ferme en Dafa et mes pensées droites.
- Clarifier la vérité et offrir le salut aux être vivants
Le régime de Jiang a persécuté et insulté le Dafa, et je sais que nous devons faire vite pour révéler la situation aux gens. Pendant ces trois dernières années de clarification de la vérité, malgré que les obstacles et les interférences n'ont jamais cessé, tout s'est très bien passé sous la protection bienveillante de Maître et grâce à mes propres pensées droites. Ma confiance a grandi avec le temps.
Le compagnon de pratique de qui je reçois le matériel de clarification de la vérité que je distribue a changé huit fois. Souvent, nous entendions que des compagnons de pratique étaient arrêtés. Nous avons appris de ces pénibles leçons et avons fait de notre mieux pour progresser dans notre chemin de cultivation. Chaque fois que je perdais les contacts, je m'arrangeais pour trouver de nouveaux contacts dans l'espace d'un mois et je me suis assurée que le processus de clarification de la vérité n'était pas interrompu.
En 2000, aux environs du jour de vacance national du 1er octobre, des voitures de police, des patrouilles pédestres, des policiers en civil et des gardes de sécurité étaient partout, surveillant les pratiquants. A minuit le 29 septembre, une compagne de pratique m'a appelé et m'a demandé de me rendre quelque part le plus vite possible. Elle était suivie par la police et avait besoin que je l'aide à déplacer tout le matériel de clarification de la vérité qu'elle avait chez elle. Je lui ai dit, "Peu importe que ce soit difficile, je viens. Le Maître est avec nous! Le Fa est avec nous! Tout ira bien". J'ai entassé plus de 20.000 flyers et plus de100 livres sur un trois-roues pour les amener chez d'autres pratiquants. Sur mon chemin, il y avait beaucoup de policiers en civil. Je continuais à me dire, "Une pensée droite peut soumettre cents démons". Entre temps je suis arrivée à l'endroit indiqué, il faisait sombre. Pour finir, j'ai apporté le matériel aux compagnons de pratique, saine et sauve.
Une fois, une compagne de pratique et moi sommes allées dans un parc pour placer des depliants de clarification des faits. Dans un petit coin arborisé, à environ 10 mètres d'une place de danse en plein air, j'ai commencé à placer des depliants, pinceau et colle dans les mains, lorsque deux policiers en civil m'ont repéré. J'ai immédiatement enlevé ma veste blanche, je l'ai mise dans mon sac et j'ai déposé le sac dans le panier de la bicyclette de la compagne de pratique. Je lui dit de partir tout de suite. Elle a roulé vers l'est. J'ai fait un tour et me suis dirigée vers l'entrée ouest du parc. Avant peu, j'ai entendu deux bicyclettes s'arrêter derrière moi. La police m'a dévisagé, confuse. Ils ont pensé qu'ils m'avaient attrapé mais ne pouvaient comprendre ce qui était advenu de ma veste blanche et de la jeune dame qui se promenait avec moi. Je suis sortie du parc avant que la police n'ait compris quoique ce soit.
Beaucoup de choses se sont passées pendant le processus de clarification de la vérité, et le pouvoir de Dafa a été ainsi manifesté. Une fois, je n'avais plus de matériel de clarification des faits. Je suis sortie avec un pinceau dans la poche et j'ai écrit des mots de clarification de la vérité sur les murs des bureaux, dans les parcs, sur les ponts et sur les murs d'immeubles résidentiels. Une nuit, alors que je me concentrais pour écrire sur l'entrée d'un immeuble de bureaux je n'avais pas entendu une personne venant de derrière. Lorsque je l'ai remarqué, il n'était qu'à deux pas de moi. Je n'avais pas le temps de me sauver. Et il a passé près de moi, sans remarquer du tout ce que je faisais.
Une autre fois, j'écrivais, "Falun Dafa est bon" sur le mur d'un dortoir de police, l'encre m'a manqué alors que j'avais juste écrit "Fa". Lorsque j'étais sous un réverbère pour contrôler ma bouteille d'encre, un officier en uniforme est venu dans ma direction. Je n'avais pas le temps de m'en aller. Tout ce que je pouvais faire, c'était jouer avec la bouteille et rester calme. La police m'a regardé et a passé à côté de moi, devant le "Fa" que je venais d'écrire.
Il y a tant d'histoires semblables. Toutes nous montrent le miracle de Dafa et la bienveillance du Maître. Maître poursuit son enseignement des principes de Dafa. Nous pourrions toujours faire mieux, comprenant Dafa dans notre cœur et nous mettant fermement à agir suivant les instructions de Maître. En étudiant la Loi, je sens comme le temps qui nous reste est limité et combien les choses sont urgentes, et il y a tant de choses que nous ne faisons pas bien. J'apprécie sincèrement la bienveillance sans limites de Maître.
Je ferai de mon mieux pour m'améliorer dans le temps limité laissé pour les disciples. Chers compagnons de pratique, utilisons pleinement le temps que Maître a arrangé pour nous disciples, et ensemble offrons la salut à plus d'êtres avec nos pensées droites et nos actions justes!
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