(Minghui.org) Le camp de travail de Shisantou est témoin de la capacité de nos pratiquants de Dafa à résister aux épreuves.

  1. La méchanceté qui se cache derrière le « système de la chaîne »

   La police se sert de criminels tels que des prostitués, des drogués pour surveiller les pratiquants soumis à ce qu’on appelle le « système de la chaîne », ce qui est décrit par un officier de police comme être « raccordé partout et toujours .» Les pratiquants sont sous une surveillance constante dans le camp de travaux forcés. Les pratiquants perdent leur liberté lorsqu’ils sont placés dans le camp de travaux forcés et ils perdent ce qu’il leur reste de leur liberté et leur droit les plus fondamentaux avec ce système.

   Certains drogués qui ont une mentalité déviée attaquent les pratiquants innocents avec brutalité et se mettent bassement ensemble sous la contrainte des officiers de police dans le    « système de la chaîne .» Pour forcer les pratiquants à renoncer à leurs croyances, les criminels ont fait usage d’aiguilles d’acier et d’esquilles de bois pour agresser les pratiquants à la    poitrine ou sur les extrémités. Ils tirent les cheveux des pratiquants, tordent les parties sensibles de leur corps, et donnent des coups sur les paumes de leurs mains. Une droguée du nom de Xie a utilisé un moyen très lâche pour torturer plusieurs pratiquantes de Dafa, provoquant des dommages sérieux et attirant l’indignation des autres prisonniers. Pour couvrir les crimes du camp de travaux forcés, le gardien Jiang a donné à Xie l’entière responsabilité, ainsi le camp de travaux forcé ne devait pas rendre de compte. Donc le temps d’emprisonnement de Xie a été allongé de six mois. Après, Jiang l’a réconfortée en lui disant,” Lorsque cet incident sera oublié, nous nous arrangerons pour réduire ta peine. »

  2. L’obscurité et l’horreur

   Pour forcer les pratiquants à écrire des garanties de renoncement au Falun Gong, ou de copier et mémoriser les “règles et principes de l’équipe,” des gardiens avec des badges de la police sur leur casquettes sont arrivé avec des bâtons de police, faisant usage de violence et se comportant de manière inhumaine avec les pratiquants. L’officier Zhao a expliqué aux autres    comment utiliser les bâtons électriques, et le pratiquant Ling de Nanjing a perdu conscience après des chocs prolongés. Le pratiquant Wang de Nantong a été traîné dans une salle vide et a reçu des chocs pendant environ trois heures, rendant tout son corps noir et bleu. Lu, pratiquant de Changzhou a été choqué pendant si longtemps que son pied gauche ne le portait plus, un gros hématome s’est formé sur son front, et il a perdu conscience..

   Les internés savent que dans le groupe no 4 de la section des femmes, lorsque les officiers torturent les pratiquantes de Dafa, ils augmentent le volume de la musique pour couvrir les bruits de leur actes pervers. C’est un « secret de polichinelle » là-bas. Pourtant, parfois les cris de souffrances vous glacent les os et la musique ne peut les couvrir.  

   Pour forcer les pratiquants à copier “l'avis public” de renoncement au Dafa, l’officier Zhang fait s’accroupir les pratiquants nuit et jour au sol. Hong et Qin, deux pratiquants ont dû supporter cela pendant 10 jours et 10 nuits. Li, chef d’équipe a forcé Chen, un pratiquant à rester debout 4 jours et 5 nuits sans sommeil, encourageant des criminels à le battre violemment à volonté, sans lui permettre de se laver la figure ni les dents. Pour finir Li a utilisé la « soupe de poisson » ( une    torture qui consiste à verser de l’eau sur le corps et de le soumettre ensuite aux chocs des bâtons électriques) pour le torturer. Chen était gravement blessé ­ il avait des bosses douloureuses sur sa tête et des tâches noires et bleues sur tout le corps.

   En septembre dernier, pour obliger des pratiquantes à écrire une “déclaration de renoncement” comme on l’appelle, l’équipe no 3 de la section des femmes n’a pas laissé les pratiquantes dormir et a ordonné aux membres du “système de la chaîne » de suivre les pratiquantes, espérant briser leur volonté. Les pratiquantes de Dafa sont entrées dans une grève de la faim l’une après l’autre, et pour finir , elles furent autorisées à dormir de minuit à 4 :30 du matin. Cette situation s’est prolongée pendant deux semaines, et la « punition » n’a pris faim que le 1er octobre, le Jour National.

  3. Des officiers de police scandaleux

   Dans l’équipe no 3 de la section des femmes l’officier Zhao harcèle, injurie, et est malveillant. Lorsque les officiers Xu, Jiang et Zhang travaillent, les droguée et les prostitués leur servent des collations. Les prisonniers les attendent même lorsqu’ils prennent leur douche. Une fois, lorsque Xu finissait sa collation, elle mit son pied sur la table et laissa des enveloppes de graines de tournesols et des papiers de bonbons partout. Elle se mit à crier, « Amenez un criminel pour nettoyer ça pour moi et amenez moi un bol d’eau !” Elle ne voulait pas se déplacer du tout. Les règlements n’existent que de nom, et ces officiers de police ont terni et déshonoré la réputation de la police avec leur actes.

   La première règle dans “Douze Interdictions pour respecter la loi et les règlements” publiés par le bureau du camp de travail de la province de Jiangsu affirme clairement, « Il est interdit aux officiers de police de battre, de jurer ou d’infliger des châtiments corporels aux détenus. » Pourtant, la majorité des officiers de police méprisent la loi et les règlements. Ils frappent et torturent illégalement les pratiquants de Dafa détenus de manière violente. Nous croyons vraiment que tous les actes pervers recevront leur rétribution en temps voulu!

Traduit le 3/17/2002