Les pratiquants de Falun Dafa retenus au camp de travaux forcés de Tuanhe améliorent leur environnement avec la pensée droite

(Minghui.org)

La police au camp de travaux forcés de Tuanhe avait tellement peur des contacts entre pratiquants que, dès qu’elle voyait un couple de pratiquants parler, elle les écoutait ou les faisait cesser. Un jour, des pratiquants faisaient des exercices dehors dans la cour. Un pratiquant était assis d’un côté de la cour tandis que deux autres pratiquants parlaient tout en marchant. Aussitôt, on a vu un chef d’équipe courir vers les deux pratiquants. Tout de suite, le pratiquant assis sur le côté a envoyé la pensée droite pour empêcher le chef d’équipe de traverser la ligne médiane de la cour. Quand le chef d’équipe a coupé cette ligne, il a soudainement changé de direction et à la place, il est allé voir la partie de basket qui était en train de se dérouler, comme s’il avait oublié les deux pratiquants qui parlaient. Dans cette atmosphère extrêmement cruelle, les pratiquants ont utilisé la pensée droite pour améliorer leur environnement.

Un autre jour, la police a donné l’ordre à un collaborateur [ancien pratiquant de Falun Gong qui s’est égaré à cause du lavage de cerveau et de la torture] de parler à une conférence pour servir de «modèle» pour les pratiquants qui ont été récemment détenus là-bas. Dès que les pratiquants furent dans la salle, presque tous ont commencé à envoyer la pensée droite pour éliminer à fond les éléments pervers dans les autres dimensions qui contrôlent le collaborateur faisant du tort au Falun Dafa. A ce moment-là, il y eut un grand calme dans l’assemblée. Restreint par le pouvoir de la pensée droite dans d’autres dimensions, le collaborateur a balbutié quelques mots n’ayant aucun sens et a fini son discours à la hâte. Le chef d’équipe a dû en rester là.

Dans des lieux comme celui-ci, il est important d’utiliser la pensée droite pour restreindre la propagation de mensonges trompeurs et pour éliminer,  tous ensemble, la perversité.

Traduit en Europe le 5 février 2003