(Minghui.org)
19 mai 2003
HONG KONG (AP) -- Mardi un groupe américain des droits de l'homme accuse qu'une loi anti-subversion prévue détériorera les libertés à Hong Kong et encourage les législateurs à rejeter le projet de loi.
« L’heure a sonné pour les libertés civiles à Hong Kong, » a dit Brad Adams, directeur exécutif de la division Asiatique de Human Rights Watch. « La majorité absolue des habitants de Hong Kong sont opposées à ce projet de loi. Nous invitons le Conseil Législatif à observer l'opinion publique et à rejeter fermement la législation.»
La loi anti-subversion se heurte à l'attaque féroce des groupes des droits, des législateurs pro-démocratie et d'autres depuis que les fonctionnaires ont commencé le travail là- dessus l'année dernière.
Mais le gouvernement de Hong Kong a le solide soutien des alliés pro-Pékin et pro-affaires au Conseil Législatif ainsi le projet de loi paraît orienté vers un passage certain les mois à venir.
Human Rights Watch a indiqué que le projet de loi comme il est écrit maintenant « introduirait les standards légaux chinois par la porte arrière et pourrait éroder à jamais les libertés civiles » qui distinguent Hong Kong de la Chine.
Depuis le retour de Hong Kong à la souveraineté chinoise en 1997, il a été administré sous un soi- disant « un pays, deux systèmes » un arrangement qui garantit l'autonomie locale considérable et les libertés civiles.
Mais Hong Kong a aussi été constitutionnellement requis de proscrire , la subversion, la sédition, la trahison, la sécession et les autres crimes contre l'État. La législation prévue a suscité un des plus grand combat politique du territoire depuis son retour.
Human Rights Watch dit que des lois semblables de subversion en Chine continentale sont régulièrement employées pour condamner et emprisonner des journalistes, des activistes au travail, des entrepreneurs d'Internet et académiques.
Le gouvernement de Hong Kong indique que la loi est nécessaire pour protéger la sécurité nationale et les fonctionnaires ont à plusieurs reprises contesté les suggestions que les libertés de Hong Kong sont sous menace.
Connie Lam, un porte-parole du Bureau de la Sécurité, n'a eu aucun commentaire immédiat sur les allégations de Human Rights Watch.
Des inquiétudes ont été soulevées à l'effet que la loi puisse être employé pour viser la méditation Falun Gong [ groupe ], qui est interdit [... ] en Chine mais reste jusqu'ici légale à Hong Kong. [... ]
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