En agissant selon les paroles du Maître, j’ai été libérée d’un camp de travail forcé

Le 23 juillet 2003

(Minghui.org)

Dans « Conférence et explication de la Loi à la Conférence de la Loi du New York métropolitain », le Maître nous a dit : « Un article publié sur le site Minghui décrivait une élève clarifiant les faits au sujet de Dafa et criant ‘Dafa est grand’ partout où elle allait. ‘Peu importe où ils m’emmènent, je ne vais prêter attention à aucune chose que les policiers cruels disent et peu importe la violence avec laquelle vous me frappez ou les terribles injures que vous me dites, je vais rester simplement ainsi.’ Le camp de travail était tellement effrayé qu’ils l’ont renvoyée à la hâte. ‘Nous ne voulons pas d’elle.’ C’est parce qu’ils pensaient : ‘Nous n’arriverons pas à la transformer et en plus de ça, elle va influencer un grand nombre de personnes.’ (Le public rit) Et ensuite ils ne pourront pas recevoir un bonus. (Applaudissements) Ils n’avaient aucun moyen pour s’en occuper – où la police locale pourrait-elle la mettre ? Ils n’avaient aucun moyen de s’en occuper, alors ils l’ont renvoyée à la maison. » [trad.non officielle]

Une récente expérience m’a aidée à mieux comprendre le pouvoir omnipotent de Dafa et la signification des paroles du Maître. Aussi longtemps que nous nous comportons selon Dafa et que nous nions les arrangements des forces anciennes, nous pouvons surmonter n’importe quelle difficulté.

En juin 2003, j’étais trop « occupée » par le travail de Dafa et je ne prêtais pas attention à l’étude de la Loi, aussi j’ai été arrêtée en même temps que plusieurs autres compagnons de pratique à notre dépôt de matériel. Les officiers de police ont pris une clé et les documents qui étaient dans mon sac. Il y avait beaucoup de personnes présentes et qui regardaient, alors j’ai crié : « Falun Dafa Hao [Falun Dafa est bon] ! La police est en train d’arrêter de bonnes personnes ! »

Comme nous arrivions au poste de police, j’ai regardé en moi pour chercher les erreurs et j’ai réalisé plus profondément le sérieux de la pratique de Dafa. J’ai pris conscience que je devais faire face à ce qui arrivait avec la pensée droite et que je devais prendre l’initiative, alors j’ai dit à la police : « Vous enfreignez la loi, quand vous l’appliquez. La Constitution stipule que les citoyens ont la liberté de croyance. Je suis innocente, laissez-moi partir ! » Ensuite j’ai crié par la fenêtre aux passants : « Dafa Hao [Dafa est bon] ! »

La police m’a rapidement traînée dans une autre salle et a demandé à deux personnes du bureau de la sécurité publique de m’interroger. Ils n’étaient pas qualifiés pour m’interroger ! Alors je leur ai parlé du principe que « le bien sera récompensé par le bien et le mal par le mal ». Ils ont continué à me poser des questions sur les documents. J’ai fermé les yeux et j’ai envoyé la pensée droite avec la main dressée devant la poitrine. Quand ils ont arrêté de parler, je leur ai dit : « Au cours des cinquante dernières années, tous ceux qui ont rendu la vie difficile aux autres ont eu une fin honteuse. Vous devriez en tirer la leçon. Falun Dafa s’épanouit dans plus de 60 pays. Jiang Zemin est poursuivi en justice dans plusieurs pays. Le jour va venir où son pouvoir s’en sera allé ; s’il vous plaît, ménagez-vous une sortie. »

Il semblait que l’un d’entre eux comprenne mes paroles. Je leur ai demandé leurs noms et les ai écrits. Ils sont devenus beaucoup plus réservés. L’un d’eux m’a autorisée à téléphoner à la maison, ainsi les compagnons de pratique savaient que j’avais été arrêtée et envoyaient la pensée droite pour m’aider. Les livres de Dafa chez moi étaient protégés.

Après un jour de vains interrogatoires, plus de dix policiers ont fouillé ma maison. Ils ont contraint mon mari à coopérer. Mon mari a dit à contrecoeur : « Je vais coopérer. Mais si lors de vos recherches vous ne trouvez rien, vous devrez relâcher ma femme. » Ils n’étaient pas d’accord.

J’ai pensé que je devrais sortir pour faire davantage de travail de Dafa. La nuit, plus de dix policiers me veillaient et ne me permettaient pas de dormir. J’ai dressé les mains devant la poitrine pour envoyer la pensée droite. J’ai demandé au Maître de m’aider à m’échapper, mais il n’y avait aucune chance. Le Maître a dit : « C’est parce qu’elle a atteint ce point dans la cultivation et est vraiment arrivée à ce royaume – ‘Maintenant que vous m’avez arrêtée, je ne pense pas du tout à rentrer. Maintenant que je suis arrivée ici, je suis venue pour valider la Loi » « Conférence et explication de la Loi à la Conférence de la Loi du New York métropolitain » [trad.non officielle]

Comme je m’étais tordue la cheville et que j’avais les pieds enflés, j’ai décidé de sortir ouvertement, ce qui serait bénéfique à la clarification de la vérité. Dès que quelqu’un viendrait vers moi, je lui clarifierais la vérité et je lui dirais : « Falun Dafa Hao. »

La police n’avait rien trouvé après m’avoir interrogée pendant deux jours. Le deuxième soir, j’ai été envoyée dans un centre de détention. J’ai continué à crier : « Dafa Hao ! » pour que tous les pratiquants de Dafa détenus et les criminels l’entendent. J’ai aussi chanté les chansons « Falun Dafa Hao », « Etre sauvé », etc. Nous avons entendu des applaudissements depuis les cellules. La police enrageait. Ils m’ont injurié et m’ont tirée par les cheveux. J’ai continué d’envoyer la pensée droite.

Le jour où j’ai été arrêtée, j’ai commencé une grève de la faim. Le quatrième jour de mon arrestation, j’ai vomi du sang. En voyant cela, les policiers ont dit : « Pas de problème ! Vous n’allez pas mourir, même si vous ne mangez pas pendant quinze jours. » Le matin du cinquième jour, ils m’ont trompée en me disant que ma famille arrivait pour venir me chercher et me ramener à la maison. En fait, j’ai été envoyée dans un camp de travail forcé. C’était la troisième fois que j’étais envoyée dans un camp de travail forcé. Sur la route, je récitais sans cesse : « Les grands Eveillés ne craignent pas l’amertume / Leur volonté est fondue de diamant / Aucun attachement à la vie ou à la mort / Francs et purs sur le chemin de la rectification de la loi. » (Pensée droite comportement droit, Li Hongzhi le 29 mai 2002)

J’ai continué à envoyer la pensée droite et à crier : « Falun Dafa Hao » où que j’aille. Je suivais la Loi du Maître et j’avais confiance que je pouvais nier les arrangements des forces anciennes. J’ai d’abord pensé que la police n’allait pas m’envoyer encore une fois dans un camp de travail forcé, mais ce n’était qu’une illusion.

Pendant l’examen physique à l’hôpital du camp de travail, ma pression sanguine et la température de mon corps étaient en-dessous de la normale. J’ai continué à clarifier la vérité sur Dafa à la police, mais ils ne m’écoutaient pas et voulaient juste que le camp de travail m’accepte. Ils ont même voulu dépenser beaucoup d’argent pour cela. J’ai vu qu’ils étaient à bout et je suis restée tranquille, même s’ils m’injuriaient et me donnaient des coups de pieds.

Je me suis assise par terre et j’ai envoyé la pensée droite pour empêcher la perversité de me persécuter. A ce moment-là, j’ai senti que j’étais vide, comme si j’étais sans existence. Les policiers allaient et venaient, en haut et en bas des escaliers. Ils ont voulu me nourrir de force. Comme des criminels essayaient de me nourrir de force, j’ai résisté de toutes mes forces. Plusieurs policiers voulaient me frapper, je les ai arrêtés en disant : « Comment osez-vous me frapper ! » Ils ont battu en retraite. J’ai crié : « D’accord ! Laissez-moi rester. J’aimerais plutôt mourir qu’être ‘réformée’. Je vais réciter tous les nouveaux articles du Maître, alors tous ceux qui ont dévié vont se réveiller. » Un des chefs a vu la scène et est parti. Ils savaient que j’allais le faire !

Après un moment, un des policiers m’a dit : « Nous ne savons pas comment faire avec vous, nous allons vous renvoyer à la maison. » Je savais que c’était la protection du Maître et l’aide des compagnons de pratique qui m’avait rendue capable de surmonter les difficultés. Après quatre ans de traversée d’épreuves, nous avons mûri maintenant. Nous sommes de plus en plus droit maintenant. Peu importe quel truc la perversité joue, nous suivons simplement la Grande Loi du Maître. En faisant ainsi, nous pouvons nier les arrangements de la perversité et suivre le chemin que le Maître veut que nous suivions.

Voilà mon expérience personnelle. Compagnons de pratique, corrigez mes erreurs s’il vous plaît.

En dernier, souvenons-nous des paroles du Maître pour terminer cet article. « Vous êtes des disciples de Dafa, alors si vous voulez bien faire pour avancer, vous devez vous concentrer davantage sur la cultivation. » (Enseignement de la Loi à la Conférence de la Loi du Milieu des Etats-Unis 2003) [trad. non officielle]

Traduit le 5 août 2003