(Minghui.org)
M. Li Hongfu, 29 ans, est un pratiquant de Falun Dafa de Ganshui, comté de Qijiang à Chongqing. Après avoir commencé la pratique en 1997, il a suivi les principes de Vérité-Compassion-Tolérance, devenant ainsi une bonne personne. Les membres de sa famille et ses proches disent tous qu’il a changé en une personne complètement différente, vraiment une bonne personne
En juillet 2000, il a été arrêté pour avoir publiquement clarifié la vérité. La police de Dadukou l’a illégalement condamné à un an de rééducation par le travail. En détention au camp de travail de Xishanping, il a souffert de tortures inhumaines. En raison de sa persistance à pratiquer le Falun Gong, sa peine au camp de travail a été prolongée de 9 mois.
Vers la mi-décembre 2001, le capitaine de police Liu Hua au camp de travail a utilisé 6-7 criminels pour battre avec brutalité Li Hongfu. Ils l’ont traîné sur le devant du corps jusqu’à la cours, l’ont maintenu à terre et lui ont enlevé ses chaussures et ses chaussettes. Ils lui ont ensuite fourré les chaussettes dans la bouche et utilisé la semelle de leurs bottes de cuir pour lui battre le visage, la tête et le bas du dos. Ils lui ont aussi donné des coups de pied dans le dos et sur la poitrine. Le visage de Li est alors devenu très enflé et il souffrait de blessures internes, à plusieurs endroits. Après l’avoir battu, ils l’ont enfermé dans une petite cellule et lui ont ordonné de prendre des postures militaires chaque jour. En même temps, les criminels Deng Ping, Liu Renguang et Zheng Wei ont continué chaque jour, à le battre, causant à Li un éclatement de la rate et des côtes cassées. Li avait de grandes difficultés à respirer et il vomissait un liquide jaunâtre.
Craignant qu’il ne meure, le camp de travail l’a envoyé pour un traitement d’urgence au 9e Hôpital du Peuple du district de Beifu. A la radiographie et l’échographie, on a trouvé que le corps de Li était gravement blessé. La police a toutefois menti en disant que Li était malade. Les médecins n’étaient pas d’accord et persistaient à dire que les blessures de Li devaient provenir de coups. A l’hôpital, Li a eu des perfusions chaque jour. Afin d’esquiver la responsabilité de sa mort éventuelle, le camp de travail a mis Li en liberté conditionnelle pour raisons médicales et a ordonné à sa famille de venir le chercher.
Photo de Li après sa libération.
Quand Li est sorti de l’hôpital, il pesait seulement 40 kgs environ, ayant perdu presque 13 kgs. Il ne pouvait pas marcher tout seul et avait besoin de quelqu’un pour le soutenir. A son retour à la maison il a souffert de douleurs abdominales aiguës et vomissait souvent. Il est maintenant extrêmement faible et doit compter sur sa famille pour prendre soin de lui. Son coude droit est très enflé et il ne peut pas bouger le bras.
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