Craignant le scandale, les fonctionnaires des camps de travaux forcés et des prisons refusent de libérer les pratiquants qui ont été persécutés jusqu’au seuil de la mort

(Minghui.org)

Depuis que la persécution du Falun Dafa a commencé en juillet 1999, les gardiens et la police des camps de travaux forcés et des prisons en Chine ont torturé jusqu’au seuil de la mort beaucoup de pratiquants illégalement emprisonnés qui refusaient de renoncer à leur croyance dans Falun Dafa. En outre, ils refusent souvent de libérer les pratiquants qui sont dans un état critique, et ils ne préviennent pas non plus les familles de venir chercher une autorisation de sortie pour raisons médicales, ce qui est un droit légal.

Si un pratiquant est sur le point de mourir, les tortionnaires informent sa famille de vite venir le chercher. A ce moment-là, il ne peut souvent ni parler ni écrire. Lorsqu’un pratiquant est persécuté à mort, il est fréquemment incinéré avant l’arrivée de la famille afin qu’elle ne puisse pas voir son corps. Parfois la famille doit reprendre le cadavre de leur cher parent.

Les membres du personnel des camps de travaux forcés et des prisons essayent de forcer les pratiquants à renoncer à leur croyance, et tuent lentement ceux qui refusent. Ils ne les libèrent pas. Ils libèrent souvent ceux qui sont sur le point de mourir, pour empêcher la mort d'être prise en compte dans les statistiques des camps de travaux forcés ou des prisons. Ils espèrent également cacher leur mauvaise conduite. C'est le comportement typique du parti communiste perfide, malfaisant et violent." Nous faisons appel à l'attention des gens du monde entier pour qu’ils prêtent attention aux meurtres des pratiquants de Falun Dafa dans les camps de travaux forcés et les prisons de Chine

Traduit de l’Anglais en Suisse le 21 janvier 2005