(Minghui.org)

En 2002, au camp de travaux forcés Masanjia, j’ai connu une pratiquante de Dafa de la ville de Lingyuan, province de Liaoning. Elle a 53 ans cette année. Cette femme, alors qu’elle était aux mains des autorités, envoyait fréquemment la pensée droite. Elle avait mémorisé la Loi et elle recopiait et partageait les articles du Maître avec d’autres pratiquantes. Elle gardait le livre Zhuan Falun et les articles de Maître tous les jours dans sa poche. Elle les lisait dès qu’elle en avait l’occasion. Le camp de travail a fait quelques rondes de fouilles, mais ses pensées étaient droites et ses actions étaient droites. Grâce à la protection compatissante du Maître, elle a réussi à surmonter beaucoup d’épreuves et à sauvegarder les livres de Dafa et les articles du Maître.

Une fois, lors d’une réunion avec des centaines de personnes, le chef de la police a ordonné à tout le monde de parler de leur compréhension de Falun Gong. Cette dame a dit fermement : « J’ai bénéficié du Falun Gong, dans le passé, j’avais beaucoup de maladies et ne pouvais pas travailler, ni vivre normalement. J’étais souvent en arrêt de travail pour cause de maladie et malgré que je dépensais beaucoup d’argent, je ne guérissais pas. Alors que je souffrais autant et qu’il me semblait qu’il aurait été mieux pour moi d’être morte que vivante, j’ai commencé à pratiquer le Falun Gong. Je me servais des standards de ‘Vérité, compassion, patience’ pour me cultiver et être une bonne personne. Je me suis rétablie sans dépenser un centime. J’ai pu retourner travailler. J’ai été kidnappée pendant que j’étais à un cours. Je n’avais commis aucun crime et je crois toujours en ‘Vérité, Compassion, Patience’. » Ses mots ont effrayé la perversité et sauvegardé Dafa.

Cette dame n’a pas coopéré avec la perversité et n’a rien fait de ce qu’elle lui ordonnait de faire. La police disait que « son casier était vierge. » Elle ne récitait pas les règlements à l’intérieur de la prison, ni ne chantait leurs chansons, ni ne participait aux activités artistiques et sportives, ni ne faisait de la gymnastique et ne faisait pas de Taiji Quan.

Après la 16e Rencontre nationale du parti communiste en Chine, une nouvelle vague de persécution a commencé. Une douzaine de policiers et de collaborateurs ont ciblé cette femme pour la persécution. Elle a appelé Maître à l’aide dans sa tête. Ils ont pris sa tension artérielle, elle atteignait 280. Les policiers étaient stupéfaits et ils lui ont demandé ce qu’elle avait eu comme maladie. Elle leur a dit : « Autrefois, j’avais beaucoup de maladies, tel que des crises d’apoplexie, une maladie du cœur, de la tuberculose, maladie du foie et ainsi de suite. La police s’est alors empressée de lui demander comment elle en avait été guérie. Elle a répondu : « J’ai été hospitalisée plusieurs fois, j’ai consulté beaucoup de médecins et j’ai pris beaucoup de médicaments, mais je ne guérissais pas. C’est seulement après avoir pratiqué le Falun Gong que je me suis rétablie. » Les policiers ont lancé un « Ah » en chœur et sont restés bouche bée.

Et ainsi, sous la protection de Maître, cette femme a gardé ses pensées droites et fait des actions droites. Après moins de 5 mois au camp de travail de Masanjia, elle a réussi à s’échapper des mains de la perversité.

Traduit en France le 19 mars.