(Minghui.org)

Un matin au début du mois d’août en 2004, trois policiers m’ont amené au commissariat local, après mon retour du travail temporaire à l’extérieur de la ville.

Au commissariat, la police m’a interrogé mais m’a aussi battu, frappé et injurié. Quelles que soient les méthodes qu’ils utilisaient pour essayer de me « transformer», je n’ai dit qu’un seul mot : « Pratique! » Je me suis souvenu des paroles du Maitre :

 
 « Au milieu des grandes tribulations il faut être résolu,
la volonté d'avancer diligemment ne doit pas être changée »

(« Être résolu », Hongyin II).

Quoi qu’il arrive, je suivrai le Maître. Mon cœur est inébranlable dans le pratique de Falun Dafa.

Ce jour-là, un policier a voulu me choquer avec une matraque électrique. Finalement, il s’est choquer lui-même et la matraque n’avait plus de courant.

Ils se sont rendus compte que les méthodes agressives n’allaient pas avec moi et que je n’avais pas peur d’eux, ils ont donc essayé d’utiliser la tromperie. J’ai ignoré tout ce qu’ils essayaient de faire. Les disciples Dafa n’ont pas l’attachement à la peur. Avec des pensées et actions droites, le pouvoir des pensées droites augmentent. Lorsque les policiers n’avaient plus aucune tactique, ils m’ont envoyé au centre de détention du comté où ils emprisonnent les criminels.

Le 3 août 2004, lorsque je suis entré dans la prison, ils m’ont demandé : « Quel crime as-tu commis? » J’ai dit: « Aucun. Je pratique le Falun Gong. Notre Maître nous demande d’être de bonnes personnes selon les critères de « l’Authenticité, la Bienveillance et la Tolérance ». Je n’ai rien fait de mal! » Les gardes ont demandé à un criminel de me battre. J’ai récité la formule de la rectification de la loi du Maître : « La Loi rectifie l’univers, la perversité est complètement éliminée. La Loi rectifie le Ciel et la Terre, rétribution immédiate dans cette vie». Je lui ai dit : « Vous ne pouvez pas me battre parce que je suis un disciple Dafa. C’est un péché si vous me frappé ! » Le grand criminel a dit : « Je veux juste te battre. » Il m’a alors frappé fort sans penser si c’était bien ou mauvais. Par miracle, il a immédiatement hurlé de douleur et était incapable de marcher. Il s’est plié en deux sous la douleur.

J’ai été l’aider à sortir de la cellule. Il a baissé la tête honteusement. (Il ne pouvait pas encore marcher même lorsque je suis sorti de la prison avec des pensées droites. » D’autres criminels dans la prison ont tous dit : « Falun Dafa est mystérieux! » J’ai immédiatement commencé à leur dire la vérité au sujet de Falun Dafa et de la persécution. J’ai réalisé que je n’avais aucune liberté en étant emprisonné au centre de détention. Comment pourrais-je bien faire les trois choses? Ils devaient me relâcher sans condition! J’ai donc commencé une grève de la faim.

Un jour, deux jours, trois jours. Au quatrième jour, les gardes ont eu peur. Lorsqu’ils m’interrogeaient, j’envoyais des pensées droites et leur disais la vérité sur Dafa. Le médecin, qui prenait ma pression, a été surpris de découvrir qu’elle était normale. J’ai dit à Maître dans mon cœur : « Je dois être à la hauteur des critères de Dafa et être un véritable pratiquant lors de la période de la rectification de la loi. » J’ai continué la grève de la faim pendant six jours. Le matin du sixième jour, tous les fonctionnaires de la prison sont venus. Je leur ai parlé de Dafa. Un responsable de la prison a dit : « Si le Falun Gong peut améliorer ta santé, alors pratiques-le! » Ils ont demandé à quelqu’un de ma famille de venir me chercher.

J’ai quitté dignement cet endroit pervers.

Traduit au Canada le 30 mars 2005