Un résumé à propos des pratiquants de Falun Gong qui de manière permanente et grave ont été blessé physiquement et mentalement par la persécution

(Minghui.org)


Les pratiquants de Falun Gong mentionnés dans cet article étaient de bonnes gens en bonne santé physique et mentale. Parce qu'ils ont persisté à pratiquer le Falun Dafa et souhaité vivre selon les principes de « Vérité, Bienveillance et Tolérance », ils ont refusé d'être soumis au lavage de cerveau par le régime de Jiang. Par conséquent, le Parti communiste chinois (PCC) les a torturés jusqu'à ce qu'ils soient physiquement handicapés ou qu'ils aient une défaillance psychique en raison de mauvais traitement physique ou de substances neurologiques. Beaucoup de gens ont perdu la vie après qu'ils aient été physiquement handicapés ou aient eu une défaillance psychique.

« Le but est de vous torturer jusqu'à ce que vous souhaitiez être plutôt mort que vivant » a dit la police en les torturant. Pendant plus de cinq ans, sous la politique de génocide de « les diffamer [ la réputation des pratiquants de Falun Gong], les ruiner financièrement et les détruire physiquement, », la brutalité de la police est devenue toujours plus grave. Les innombrables cas de torture cruelle, d'abus sexuels, d’amendes exorbitantes, d'injections des substances neurologiques, de lavages de cerveau, de mises à pied, de fouilles et saccages de maisons, de persécution mentale de type éducatif et autres sont devenus la norme pour les agences d'application de la loi chinoises dans tout le pays. Les exemples ci-inclus énumérés sont seulement la pointe de l'iceberg.

Une persécution cruelle est la cause d'une vie d'infirmité

Le PCC contrôle l’esprit des gens par des méthodes brutales et il a mis ses méthodes à exécution à un niveau sans précédent pour forcer les pratiquants à renoncer à leur croyance et à écrire des déclarations qui dénoncent le Falun Gong, le PCC emploie toutes sortes de méthodes inhumaines extrêmes de torture, ayant pour résultat le handicap d’un nombre immense de pratiquants devenant par la suite physiquement infirmes. Certains pratiquants ont dû avoir des membres amputés. Certains pratiquants ont eu leurs membres gravement déformés et paralysés. Quelques pratiquants ont perdu la vue ou l’ouïe et le visage de certains pratiquants a été mutilé sévèrement.

Mme Xu Fayue, une pratiquante de Falun Gong de la ville de Jinan, province de Shandong, a eu plusieurs de ses orteils amputés en raison d'engelures

(Référence : http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2001/5/14/10046.html)

(Légende des deux images) La pratiquante de Falun Gong Mme Xu Fayue a dû être amputée de plusieurs de ses orteils en raison de la persécution dont elle a souffert

Le soir du 12 janvier 2001, les policiers de la ville de Jinan, province de Shandong, sont apparus chez Xu Fayue (diplômée de la Cour des mines de Shandong en 1997) et chez cinq autres pratiquants de Dafa et les ont arrêtés. Les policiers venaient de l'Unité de la sécurité politique du Bureau de sécurité publique de la ville de Jinan et du commissariat de police de Liulishan. Ils n'avaient aucun mandat, n'ont donné aucune raison et ne se sont pas identifiés avant l’arrestation des pratiquants. En chemin vers le commissariat de police, Xu a refusé de coopérer avec les demandes illégales du personnel de police, ainsi trois ou quatre policiers l'ont battue sauvagement.

Au commissariat de police de Liulishan, Xu Fayue a été menottée avec les mains derrière le dos et forcée de s’asseoir les pieds nus sur le sol de ciment très froid. Dès que les chefs du bureau pour la sécurité publique du district sont arrivés, la police et le directeur de commissariat de police de Liulishan lui ont couvert les yeux d’une serviette et lui ont sauvagement donné un coup de pied à la tête. Ceci lui a causé un saignement abondant de la région oculaire, du front et de la bouche. La serviette qui lui cachait les yeux a été entièrement imbibée de sang. Après un interrogatoire qui s’est avéré inutile, la police lui a mis un casque d’acier lourd sur la tête et l'a attachée à une chaise avec des cordes et des menottes. Sa main gauche était attachée au dos de la chaise de façon si douloureuse qu’elle ne pouvait ni s'asseoir ni se plier. La police l'a laissée dans une chambre où la température était en-dessous de 10 degrés Celsius. Deux policiers la surveillaient pour s'assurer qu'elle ne ferme pas les yeux. Xu Fayue a dû supporter cette horrible situation toute la nuit. Le lendemain matin, elle a vomi en raison de l'intensité de la douleur. Ils ont finalement détaché la corde de sa main gauche. Tout au long de cette tribulation il y avait un policier dans la cinquantaine qui maudissait Xu Fayue avec un langage sale et grossier, lui donnant brutalement des coups de pied lui et criant : « Je vais vous tuer et vous étouffer jusqu'à mourir ! »

L'après-midi du 13 janvier, Xu et cinq autres pratiquants ont été envoyés à la prison de Liuchangshan. Ils ont fait une grève de la faim pour protester de leur emprisonnement illégal. Cinq jours plus tard, Xu Fayue a été attachée à un lit et gavée de force. Elle a suffoqué pendant le processus et elle est presque morte. Elle a été menottée au lit, les mains et les jambes étirées aussi loin que possible et couverte seulement d’une mince couverture, sauf les mains et les pieds exprès, une torture de plus dans le froid de l’hiver. Comme elle était attachée au lit, on ne lui permettait pas d’aller aux toilettes, ses vêtements et son matelas ont été imbibés de son urine et salis de ses excréments. Elle avait les mains et les pieds exposés au vent glacial par la porte ouverte et elle a perdu toute sensation dans le corps. Ensuite après avoir été maltraitée et torturée de cette manière pendant cinq jours, elle avait les mains violet foncé et extrêmement enflées. Ses pieds étaient engourdis et glacés. Les premier, troisième et cinquième orteils de son pied droit ont tourné au noir. Effrayé par la possibilité d'être responsable, les gardiens de la prison et les médecins l'ont envoyée à l'Hôpital général de police, qui est également connu comme l’hôpital pour camp de travaux forcés. Les médecins de l'hôpital ont fait le diagnostic de gelures au second degré au pied gauche et à la main droite. Son pied droit a souffert de gelures au troisième degré et les premier, troisième et le cinquième orteils étaient complètement morts, émettant une odeur fétide. Après presque un mois, la majeure partie de son grand orteil, le troisième orteil en entier et une partie du cinquième orteil de son pied droit ont été amputés. Xu Fayue ne pouvait toujours pas marcher normalement trois mois plus tard.

M. Wang Xinchun, 29 ans, est torturé et handicapé, perdant les deux pieds

(Référence : http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2004/7/20/50454p.html)

M. Wang Xinchun, 29 ans, a commencé à pratiquer le Falun Gong en 1998. Wang demeurait à la Ferme forestière du district de Jinshantun, ville de Yichun, province de Heilongjiang.

Wang Xinchun a été torturé et handicapé, perdant les deux pieds

Le 8 janvier 2002, lorsque Wang Xinchun distribuait des tracts de clarification de la vérité à la Ferme forestière, le chef de police Wang Wei et policier « A » l'ont aperçu. Wang a essayé de s'échapper mais les policiers Wang Shoumin et Min Changchun l'ont poursuivi toute la nuit jusqu’au lendemain matin. Wang ne connaissait pas l'endroit et il est tombé dans le fleuve. Ses jambes étaient mouillées jusqu'aux genoux et ont rapidement gelé. La police a encerclé la montagne. Deux jours plus tard, Wang Wei et policier « A » ont arrêté Wang. Wang Wei et le directeur de la police Cui Yuzhong ont donné l’ordre au policier « A » de mettre les pieds de Wang dans un lavabo avec de l'eau très chaude (ce qui n'est pas la chose à faire et aggrave la gelure et cause des dommages graves). Par la force, la police a retiré les chaussures de Wang pour lui mettre les pieds dans l'eau chaude. Une partie de la chair était collée dans ses chaussures en raison de la glace. La police a même dit : « Vous voyez comme nous sommes gentils en s'occupant de vous comme de nos propres enfants. » C'était extrêmement cruel. Quand ils ont arrêté Wang sur la montagne, Wang pouvait encore marcher et ses jambes n'étaient pas complètement gelées. Ce n’est qu’après que la police lui ait mis les pieds dans l’eau bouillante qu’on lui a fait ces dommages irréversibles.

À midi, il n'y avait que le policier « A » qui surveillait Wang. Le policier « A » a saisi Wang par le torse pour le secouer et le gifler au visage. Les pieds de Wang ont continué à enfler avec des boursouflures. La partie inférieure de ses pieds s’est également boursouflée très probablement à cause de l’eau bouillante. Wang a été renvoyé à la maison vers les 17 heures.

Plus tard, la police du district de Jinshantun, le « Bureau 610 » et les fonctionnaires du gouvernement local sont allés à trois reprises chez Wang sans y être invités pour le filmer. La police a propagé des mensonges à son sujet partout. On a clamé que « Wang Xinchun était allé en montagne et ses pieds avaient gelé. Il était revenu à la maison pour se mettre les pieds sans l’eau chaude pour faire fondre la glace, ce qui a causé son handicap. »

Par la suite les pieds de Wang se sont décomposés et sont tombés ce qui lui a donné son handicap permanent.

La pratiquante Mme Fu Li a eu les mains handicapées par la torture subie au camp de travail de Wanjia

(Référence : http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2004/12/3/55202.html)

Mme Fu Li pratiquante de quarante et un ans est de la ville de Shuangcheng, province de Heilongjiang. En 2000, elle a eu les mains handicapées et son corps a été couvert de cicatrices en raison de la torture au camp de travaux forcés de Wanjia dans la ville de Harbin, province de Heilongjiang.

(Légende des deux images) Photos fournies par la victime elle-même, Mme Fu Li

En octobre 1999, Mme Fu Li est allée à Pékin pour valider le Falun Dafa pour la deuxième fois. La police armée l'a arrêtée à la Place Tiananman. Les fonctionnaires du Bureau 610 de la ville de Shuangcheng l'ont alors emmenée de nouveau à la ville de Shuangcheng et l'ont gardée à la prison no2. À la mi-novembre, le département de police de la ville de Shuangcheng l'a envoyée au camp de travaux forcés de Wanjia dans la ville de Harbin, province de Heilongjiang, sans cause valable ni jugement légal.

Au camp de travaux forcés de Wanjia, Mme Fu Li a enduré un traitement inhumain. La police lui a attaché une corde autour des pouces, puis l'a suspendue en l’air par cette corde. Ses pouces devaient soutenir tout le poids de son corps ! Après avoir été suspendue pendant longtemps comme cela, ses pouces se sont déformés et ses mains ont été handicapées. Elle n'arrivait plus prendre soin d'elle-même.

La plupart des pratiquants incarcérés au camp de travail de Wanjia souffrent de la gale (parasites) en raison de l'humidité et de la torture physique. Ils ont des lésions sur tout le corps.

Mises en scène de la persécution

Mme Zang Yuxia, pratiquante de la ville de Daqing, province de Heilongjiang est persécutée jusqu'à ce qu'elle ait le visage défiguré

(Rf : http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/7/25/24463.html)

En avril 2002, plusieurs policiers ont pénétré par effraction chez Mme Zang Yuxia, une pratiquante de Falun Gong de la ville de Daqing, province de Heilongjiang, et ont saccagé sa maison sans aucun mandat. Après que la police n'ait rien trouvé, la police a forcé Zang Yuxia dans la voiture de police sans lui donner même la chance de mettre ses chaussures. On lui a également enlevé son enfant, un non-pratiquant qui était à la maison pour le week-end. Zang a été persécutée par police et en un seul mois, le visage de Zang a été défiguré en raison de la torture. Elle a également souffert d’une fièvre (excédent 45oC) et est restée sans connaissance pendant un temps très long.


Les photographies ont été prises le 19 mai tandis que Zang Yuxia était sans connaissance

En raison de grave torture au camp de travaux forcés de Shijiazhuang, province de Hebei, la pratiquante Mme Li Huiqi devint paralysée

(Rf : http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/2/1/31568.html)

Mme Li Huiqi est née en 1967. Elle était une ancienne employée d’une usine de peinture de Shijiazhuang, province de Hebei. Le 2 décembre 2001, elle a clarifié la vérité au sujet du Falun Gong et quelqu'un l'a dénoncée à la police. Les fonctionnaires du commissariat de police de la rue de Weiming à Shijiazhuang (autrefois le commissariat de police de la rue de Xinghua. Le pratiquant M. Zuo Zhigang a été assassiné là) l’ont arrêtée. Mme. Li a été illégalement emprisonnée au premier centre de détention de la ville de Shijiazhuang pendant deux mois. Le 2 février 2002, elle a été envoyée au deuxième escadron, de la quatrième brigade du camp de travaux forcés de Shijiazhuang en raison de sa peine illégale d'un an. Pendant l'emprisonnement abusif, elle a été dans un état critique à plusieurs reprises. Sa famille a fait maintes requêtes pour la voir et pour demander au camp de la mettre en liberté conditionnelle médicale, afin qu’elle puisse voir un médecin. La demande a été refusée à chaque fois.

Légende des deux photos : La souffrance de Li Huiqi

Le 9 avril 2002, la vie de Li Huiqi était en danger en raison de la torture. Le camp de travail a dû l'envoyer à l'hôpital du peuple de la province de Hebei pour un traitement d’urgence. Les membres de la famille de Li ont enfin pu la voir. Li était émaciée et sa vie était en danger. Li a été diagnostiqué avec le « syndrome de « Guillain-Barré » et transférée à l'hôpital no3 de la province de Hebei. Pendant ce temps, la vie de Li a été en danger à plusieurs reprises et la famille lui a acheté des vêtements d'enterrement trois fois. Li était paralysée et souvent sans connaissance. Son système urinaire et ses poumons étaient gravement infectés. Ses tubes bronchiques ont dû être ouverts pour y insérer un tube pour qu'elle puisse respirer. Elle souffrait constamment de convulsions.

Le 3 décembre 2002, lorsque Mme Li était toujours dans un état lamentable, le capitaine de la quatrième brigade du camp et le policier Zhou Yilin ont utilisé l’excuse de la « fin de sa peine » pour la renvoyer du camp. Ils l'ont laissée à l'hôpital. La police persécute une personne jusqu'à ce qu'elle soit paralysée et par la suite s’attend à ce que sa famille prenne la relève des soins. La famille de Li a tenté des pourparlers avec le directeur du camp de travaux forcés, Zhao Jinlong, pour arriver à une solution équitable. Zhao n'a voulu accepter aucune responsabilité et la famille a dû ramener Li à la maison.

Mme Zhai Fengci est torturée au camp de travaux forcés et ses mains et genoux sont devenus difformes

(Rf : http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2004/5/11/47952p.html)

La pratiquante de Dafa Mme Zhai Fengci avait 50 ans et était une employée de l'Usine de machineries Xinghuo de la ville de Tianshui, province de Gansu.

Après avoir été torturée au camp de travaux forcés pendant deux ans et deux mois, Mme Zhao Fengci a eu les mains et les genoux déformés

Avant que Zhai ait pratiqué le Falun Gong, elle avait beaucoup de problèmes de santé provenant principalement d'un état cardiaque maladif. Après qu'elle ait commencé à pratiquer le Falun Gong, ses maladies ont disparu. Elle n'était même plus myope. Malgré la persécution mauvaise, Zhai a voyagé à Pékin deux fois pour faire appel au nom du Falun Gong.

Une torture cruelle appelée la « posture accroupie sur le dos » a été employée pour torturer Zhai Fengci. Zhai a été forcée de se mettre à genoux et de s'accroupir par terre sous un lit jumeau. Le lit inférieur est seulement à 60-70 centimètres du sol. Les bras de Mme Zhai ont été tirés par derrière aux coins opposés du lit, avec environ trois pieds de distance entre ses bras et ses mains, ils ont été menottés ensemble dessus le lit. Elle ne pouvait ni se redresser, ni soulever la tête, ni reposer ses pieds entièrement sur le sol. Ses orteils soutenaient tout son poids. Elle sentait une douleur atroce dans les épaules, comme si elles avaient été cassées. Si elle bougeait la moindre, les menottes lui sciaient les poignets. Pendant sept jours et sept nuits, elle a été envahie par une douleur extrême. La douleur de la torture l'a fait vomir et elle était au seuil de la mort. Ses chaussures étaient déchirées et elle avait les orteils déformés.

Deux ans et deux mois de torture dans le camp de travail lui ont laissé les deux genoux et les deux mains gravement déformés et gonflés. Maintenant elle n'arrive plus à prendre soin d'elle-même. En attendant, sa fille Zhai Rongxuan a été renvoyée de l'université pour avoir été à Pékin faire appel avec elle. Elle est sur le pavé actuellement sans abri. Un frère plus âgé de Mme Zhai, qui avait 70 ans, a été brutalement battu et a reçu une amende de plusieurs dizaines de milliers de Yuan pour avoir lancé un appel pour le Falun Gong. Sa soeur plus âgée a été illégalement détenue, elle a été battue et a reçu une amende de plusieurs milliers de Yuan.

Les policiers de la ville de Guangzhou, district de Dongshan, ont fait perdre la vue de Mme Wang Haiyan dans l'oeil droit en raison des coups reçus

(Rf : http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2004/9/24/52755.html)

En novembre 2002, Mme Wang Haiyan a été envoyée à la troisième brigade du camp de travaux forcés Chatou dans la ville de Guangzhou. En raison du mauvais traitement physique qu'elle a reçu, Mme Wang a perdu la vue. L’orbite de son oeil droit a été enfoncée et son globe oculaire s'est rétréci. Même la pupille noire de son oeil droit est devenue blanche. Elle a une grande difficulté à marcher et n'arrive pas à s'occuper d’elle-même.

Mme Wang Haiyan avant 2002

Photo récente de Mme Wang Haiyan

L'après-midi du 13 juin 2002, Wang Haiyan a été suivie et rapportée par quelqu'un quand elle clarifiait la vérité du Falun Gong et distribuait les documents de la clarification de la vérité près du grand magasin de Wangfujing dans le district de Dongshan dans la ville de Guangzhou. Le corps de police et les policiers en civil du « Bureau 610 » ont traîné Wang dans une ruelle et l'ont jetée dans un fossé. Après qu'elle ait été emmenée au commissariat de police de la rue Nonglinxia dans le district de Dongshan, ses vêtements étaient imbibées de pluie et de sang. Sa tête, ses yeux et d'autres parties de son corps ont été sérieusement blessés. Elle a demandé à être envoyée à un hôpital pour examen et traitements médicaux. Bien qu'elle vomissait, ils l'ont jetée dans une petite salle sombre. Elle était affamée et assoiffée, et elle avait extrêmement froid. Elle est entrée en convulsions. La douleur atroce la faisait vomir et elle s'est évanouie.

Wang a été emmenée à l'hôpital pour un traitement de secours. Quand elle s'est réveillée, la police l'a menacée. Ils lui ont dit qu'elle n'avait pas le droit de dire la vérité au docteur. Un médecin lui a dit que le tissu de son globe oculaire et le nerf optique avaient été endommagés et il y avait plusieurs hématomes sur son cerveau. En plus, son tympan gauche avait été endommagé. Elle a perdu l'ouïe dans une de ses oreilles. Il y avait des cicatrices noires et bleues et du sang partout sur son corps, elle était gravement blessée. Les médecins ont voulu en savoir plus au sujet de ses blessures, mais la police les a écartés. Ses blessures se sont aggravées et elle souffrait de maux de tête et de fortes douleurs quotidiennes dans l’œil. Elle souffrait souvent de douleurs atroces qui l'a faisait se convulser. Elle n'arrivait pas à dormir toute la nuit durant. Par la suite elle a perdu la vue de son oeil droit et la vue de son oeil gauch diminuait très rapidement. Elle a demandé un traitement médical plusieurs fois, mais on le lui a refusé.

Le visage de Mme Gao Rongrong, pratiquante de Dafa, a été gravement défiguré après sept heures de torture par matraque électrique au camp de travaux forcés de Longshan

(Rf : http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2004/7/12/50141.html)

La police au camp de travail de Longshan dans la ville de Shenyang a électrochoqué Mme Gao Rongrong pratiquante de Falun Gong de 36 ans pendant presque sept heures avec des matraques électriques. Son visage a été gravement défiguré.

Photo 1 : La pratiquante de Falun Gong Mme Gao Rongrong, comptable au Collège des Beaux-Arts de Luxun de la ville de Shenyang

Photo 2 : Le 7 mai 2004 le visage de Gao Rongrong était couvert de brûlures par matraques électriques. Cette photo a été prise 10 jours après la torture

Gao Rongrong travaillait à la division des finances de l'Université des beaux-arts de Luxun dans la ville de Shenyang. En juillet 2003, Gao a été emmenée au camp de travaux forcés de Longshan. Le 7 mai 2004, Tang Yubao, chef-adjoint de la brigade no2, et le chef d’équipe Jiang Zhaohua ont fait venir Gao au bureau du travail et l’ont menottée au tuyau d’air chaud. Tang et Jiang ont électrochoqué Gao avec des matraques électriques pendant six à sept heures, de 15 heures jusqu’à 21 heures Son visage a été gravement défiguré, gonflé et couvert de boursouflures. Ses cheveux étaient entremêlés de sang et de pus qui s’égouttaient de sa peau roussie. Elle ne pouvait ouvrir les yeux que très peu en raison de son visage enflé. Sa bouche était gravement enflée et déformée. Même les détenus qui avaient vécu avec elle pendant longtemps jour et nuit n'arrivaient pas à la reconnaître. La photo 2 montre son visage brûlé après que les boursouflures aient séché. On peut toujours voir les cicatrices. Les cicatrices en certains endroits de son visage sont épaisses ce qui démontre la gravité des décharges électriques. Les malfaiteurs ont électrochoqué plusieurs parties de son visage à plusieurs reprises ; beaucoup de boursouflures et cicatrices de brûlures ont plusieurs couches. Son visage n'a reçu aucun soin et on ne lui a donné aucun médicament.

Mme Gao a été inhumainement torturée lors de sa détention au camp de travaux forcés de Longshan. Son corps a été gravement blessé par la torture. Elle a rapporté de la douleur au foie et à l’abdomen. Elle a souffert d’une fièvre intermittente et de nausées persistantes et elle ne pouvait plus manger. Le chef-adjoint Tang Yubao de la brigade no2 l’a giflée au visage jusqu'à ce qu'elle perde l'ouïe dans une oreille. Yue Jun, chef de la brigade no1, a donné l’ordre aux détenus de l'humilier en lui coupant les cheveux près du cuir chevelu sur le dessus de sa tête. La photo 3 a été prise lors de la repousse de quelques cheveux derrière la tête.

Photo 3 : Gao Rongrong souffre l'humiliation de se faire couper les cheveux très court sur le dessus de la tête

Commis de cargo au Port de Dalian, M. Qu Hui a été paralysé durant ses 4 ans de torture au camp de travaux forcés

(Rf : http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2005/1/17/56651.html)

Le pratiquant de Falun Dafa Qu Hui habite dans le district de Zhongshan, ville de Dalian, province de Liaoning. Puisqu'il est resté inébranlable dans sa croyance dans le Falun Dafa, il a été emprisonné au camp de travaux forcés de la ville de Dalian, où il a subi de graves tortures. Ses parties génitales ont été blessées par les chocs électriques, ses vertèbres cervicales ont été rompues et il a été paralysé pendant quatre ans.


M. Qu Hui

M. Qu Hui, 35 ans habite au no41, rue de Yihe, district de Zhongshan, ville de Dalian. M. Qu et son épouse sont allés à Pékin en janvier 2000 lancer un appel pour le Falun Gong et clarifier les faits. M. Qu a été battu par la police sur la Place Tiananmen et renvoyé à Dalian. Les autorités lui ont extorqué 9’700 Yuan. Après, il a été congédié de son travail et détenu à la prison du Port de Dalian. Après un mois, Qu a été transféré à l'hôpital psychiatrique de la ville de Pulandian pour davantage de persécution. Le 13 avril 2000, M. Qu a été emprisonné au camp de travaux forcés de la ville de Dalian, où il a dû faire un travail dur et a subi un lavage de cerveau et la torture. Ses parties génitales ont été blessées par les chocs électriques. Ses vertèbres cervicales ont été rompues et il est devenu paralysé. Enfin il a été torturé de façon tellement cruelle qu'il ne pouvait plus marcher. Il a été porté en civière hors du camp de travaux forcés. Au cours des quatre dernières années, Qu Hui est resté alité à cause de sa paralysie. Il n'arrive pas à tourner son corps tout seul. Son épouse doit s'occuper de lui pour tous ses besoins physiques.

Photos de ses blessures dues à la torture en detention. Il est maintenant paralysé et alité

Les photos suivantes sont trop cruelles. Les jeunes lecteurs ne doivent pas les télécharger.

Pieds paralysés en raison de la torture | Parties génitales blessées en raison des chocs électriques pendant longtemps | Sang dans l'urine

L'après-midi du 19 mars 2001, l'équipe spéciale qui détient les pratiquants de Falun Gong au camp de travaux forcés de la ville de Dalian avait préparé un grand nombre de policiers, d'instruments de torture, et d’ambulances avec des réservoirs d'oxygène. Un par un, les pratiquants ont été emmenés dans une salle. À l'intérieur de cette pièce, la police a essayé de forcer les pratiquants à renoncer au Falun Gong. La police a également essayé de faire signer aux pratiquants une « déclaration de garantie ». Ils ont essayé de leur faire calomnier et maudire le Maître respecté et Dafa. Si un pratiquant refusait de le faire, il était brutalement torturé. Le bruit des cris des pratiquants et des insultes des policiers a rempli le bâtiment. Certains crachaient ou bavaient et les autres gémissaient de douleur. C'était une scène horrible.

À 21 heures, Qu Hui a été également traîné dans cette salle de torture. La police l'a torturé jusqu’à 8 heure le lendemain matin. Personne n'est au courant du nombre de matraques électriques employées par la police. Le corps de Qu était couvert de blessures provoquées par les matraques en caoutchouc. Ses fesses ont été battues tellement gravement que la chair était enfoncée. Ses genoux étaient enflés en raison des coups et ses vertèbres cervicales étaient cassées. Il crachait du sang et a perdu connaissance plusieurs fois. Une fois, M. Qu a repris conscience et a surpris le docteur Han Qiong, qui le surveillait, dire : « Il se porte toujours bien. Vous pouvez continuer à le battre. » Han Qiong est actuellement le chef de l'hôpital du camp de travaux forcés de Dalian. Il a par le passé dit à l'épouse de Qu : « Il vaut mieux pour lui mourir. » Tout en frappant Qu, le policier Qiao Wei a grimacé et a dit aux observateurs : « Pendant nombre d'années mes désirs n’ont jamais été autant satisfaits qu'ils le sont présentement. »

Le lendemain, les autorités du camp de travaux forcés ont vu que M. Qu Hui se mourait, alors ils l'ont envoyé à l'hôpital de la ville. Puisque M. Qu ne pouvait pas obtenir le traitement médical dont il avait besoin immédiatement, son état s’est détérioré et sa vie était en état critique. En raison des demandes insistantes de la famille de Qu, l'épouse de Qu a été libérée sous caution du camp de travaux forcés pour prendre soin de Qu. (L'épouse de Qu est allée à Pékin pour lancer un appel pour Dafa en octobre 2000. Elle a été condamnée à 3 ans de travaux forcés et emprisonnée dans le camp de travaux forcés de la ville de Dalian.)

L'épouse de Qu l'a vu après qu'il ait été hospitalisé pendant 20 jours. M. Qu était extrêmement faible et sa fréquence cardiaque était de 160 battements à la minute. Les poumons de Qu s’affaiblissaient et il ne pouvait pas respirer par lui-même. Sa trachée a été ouverte et un appareil respiratoire y a été inséré. Ses reins étaient défaillants et on lui a mis une sonde urinaire. Entre-temps, M. Qu avait une diarrhée grave et était dépendant de l'injection intraveineuse pour survivre. M. Qu avait des escarres de décubitus partout, particulièrement sur les fesses. La plus grosse mesurait presque 10 centimètres, s'étendant jusqu’au bassin. Ses vertèbres étaient noires, exposées à l'extérieur et exsudaient une odeur très nauséabonde.

Photos de famille de M. Qu avant sa perscution

M Zou Yanjie a eu les pieds amputés à cause de la persécution

(Rf : )

M. Zou Yanjie est un pratiquant de Falun Gong âgé de 30 ans habitant la Communauté résidentielle des ouvriers de chemin de fer de la ville de Halahai dans le comté de Nong'an de la province de Jilin. La persécution contre le Falun Gong a handicapé un jeune homme fort.


M. Zou Yanjie du comté de Nong'an de la province de Jilin a été persécuté et ses jambes ont été amputées

À 20 heures, le 20 décembre 2001, quand la police du sous-commissariat de la ville de Halahai a frappé à la porte de Zou Yanjie, il n’a pas ouvert la porte. La police a alors grimpé le mur du voisin de Zou pour entrer de force chez lui. Les policiers Wang Shiquan, Zhang Enfeng et une personne du nom de famille de Zhai sont entrés de force chez lui. Ils ont saccagé sa maison et l’ont laissée dans un désordre total. La police a arrêté Zou, sa mère et son épouse. Zou avait déjà été emprisonné dans un camp de travaux forcés, donc pour éviter ceci, il s’est enfuit. Zou a erré dans une forêt très dense et il a paniqué. Il avait peur d’être retrouvé par la police et il a décidé de rester dans la forêt pendant quelques jours. C’était l’hiver et il n’avait rien à manger ni à boire. Il est devenu trop faible pour sortir de la forêt et ses pieds et ses mains ont gelé. Quelqu'un a trouvé Zou après 18 jours de faim et de froid . À ce moment-là, il était extrêmement faible et maigre ; même sa sœur aînée ne le reconnaissait plus. Zou n’était plus capable de travailler. Son épouse a renoncé au Falun Gong à cause de la persécution et a divorcé. Ce sont les parents de Zou qui s'occupe de lui maintenant. La famille n’a pas d’abri fixe, car elle se cache de la police à cause de la persécution.

(À suivre)