(Minghui.org)

Ces dernières années, j’ai eu de nombreuses rencontres mémorables sur mon chemin, pour valider la Loi. Ces expériences de clarification de vérité m’ont fait comprendre que de nombreux êtres vivants nous attendent pour être sauvés.

Une fois, alors que j’étais de passage à l’hôtel, j’ai remarqué une jeune femme qui travaillait là et je lui ai clarifié la vérité  au sujet de Falun Gong. Elle semblait vouloir écouter, alors je lui ai dit que je lui apporterais du matériel de clarification de vérité quand je la verrais la prochaine fois. La fois suivante, je suis demeurée au même hôtel et on m’a donné une des chambres dont elle faisait l’entretien. Je lui ai laissé un grand sac de matériel de clarification de vérité. Elle était si contente qu’elle a tenu le matériel entre ses bras, en me disant : « Là d’où je viens, il n’y a pas de ce matériel et je veux en ramener pour ma famille. » Quelques jours plus tard je suis passée à cet hôtel pour lui rendre visite, mais son patron a dit que la fille avait quitté l’emploi et était retournée chez elle. Une autre fille, la portière de l’hôtel, a aussi compris la vérité au sujet du Falun Gong et m’a demandé plus de documentation sur la vérité, pour ses parents et son patron. Le patron a aussi une affinité prédestinée avec la Loi. Après avoir reçu les documents, il a fait jouer le VCD de clarification pour ses employés.

Une autre fois, je suis arrêtée à un kiosque d’un vendeur, alors que j’apportais des dépliants à un pratiquant. Une femme âgée se tenant là, tout près, m’a regardée et m’a demandé : « Pourquoi avez-vous l’air aussi magnifique ? » Parce que j’apportais beaucoup de matériel avec moi et que je ne voulais pas m’attarder dans la livraison, je ne lui ai pas répondu tout de suite et j’ai quitté le kiosque après avoir fini mes achats. La dame m’a suivie quand je suis partie et m’a encore demandé : « Pourquoi avez-vous l’air aussi magnifique? » J’ai réalisé que je ne pouvais plus rester silencieuse plus longtemps et je l’ai arrêtée en lui disant que je pratiquais le Falun Gong. Elle m’a immédiatement demandé : « Où pratiquez-vous? Je veux pratiquer moi aussi. » Je lui ai demandé de m’attendre pendant que je livrerais la documentation rapidement et je lui ai rapporté des VCDs et des dépliants. Je lui ai rappelé de regarder la documentation à la maison, mais elle a ouvert le paquet tout de suite en disant : « Je n’ai pas peur. »

Une fois un tricycle m’a heurté quand je me rendais au centre d’achats. Une femme plus âgée que moi conduisait le tricycle. Nous avons commencé à parler et je lui ai dit la vérité au sujet du Falun Dafa. Non seulement elle était contente d’écouter ce que je disais au sujet du Dafa, mais elle voulait aussi apprendre les exercices. Quand elle m’a demandé où elle pourrait me trouver, je lui ai dit : « Nous avons une affinité prédestinée et nous nous rencontrerons certainement. »

Une autre fois, on m’a demandé d’être portière, pendant deux jours. J’ai remarqué une femme dans la cinquantaine qui me regardait de l’extérieur, alors je lui ai demandé : « Qu’est-ce que vous regardez? » Elle a dit : « Pourquoi avez-vous l’air si magnifique? » En entendant ceci, j’ai compris qu’elle aussi était quelqu’un qui attendait pour obtenir la Loi. Je lui ai raconté comment le Falun Dafa est merveilleux afin qu’elle puisse comprendre la vérité sur le Dafa et Maître, qui est venu sauver les êtres vivants.

J’ai trouvé que les enfants attendent aussi qu’on les sauve. Lorsque je donne des documents clarifiant la vérité aux enfants, je leur dit d’apporter le matériel à leurs parents pour qu’ils le lisent eux aussi. Heureux, les enfants ramènent les documents chez eux. Jusqu’à maintenant je n’avais pas réalisé que ce n’est pas nous qui cherchons les enfants pour les sauver, mais ce sont les enfants nous cherchent.

Une fois je suis allée visiter un parent qui travaillait en surtemps. Un petit garçon, à peine âgé de trois ans, est venu d’une autre pièce jusque dans mes bras et il voulait que je le prenne. Sa mère était surprise : « Qu’est-ce qui lui prend à cet enfant aujourd’hui? Normalement il n’aime pas les étrangers. » La pensée m’est venue que peut-être il voulait m’écouter parler du Dafa. Je l’ai pris dans mes bras et lui ai dit : « Je suis une pratiquante de Falun Gong. » Il a répondu, « Ah? » L’expression sur son visage et sa voix étaient ceux d’un adulte. Ensuite je lui ai conseillé de dire : « Le Falun Dafa est bon. » Il a bel et bien dit à haute voix et bien fort quelques fois: « Le Dafa est bon ». Je pouvais voir les larmes dans ses yeux. Peut-être ce n’est que pour ceci qu’il était venu dans ce monde.

Nous devrions être responsables pour les arrangements miséricordieux du Maître et chérir le temps que nous avons. Nous devrions être responsables à l’égard de notre Maître et à l’égard de tous les êtres vivants.

Le 19 mars 2005

Traduit de l’anglais au Canada le 5 mai