(Minghui.org)

Selon des rapports de médias, deux fonctionnaires chinois du département le plus fermement contrôlé par le Parti Communiste ont récemment déserté et rendu public beaucoup de faits sur les tactiques infâmes appliquées par le PCC pour persécuter le Falun Gong. Ces deux personnes sont Chen Yonglin, un diplomate du consulat chinois, en Australie et Hao Fengjun, un ancien employé du bureau 610 en Chine.

Le témoignage de Hao Fengjun démontre que la persécution du Falun Gong en Chine a été dirigée systématiquement et dans un but précis du haut de la hiérarchie vers le bas, de l’intérieur vers l’extérieur durant sept années. De plus, Chen Yonglin a dit qu’il y a 1 000 espions chinois en Australie. Hao Fengjun a soutenu les paroles de Chen et a confirmé l’énorme envergure du réseau d’espionnage du gouvernement chinois à l’étranger. Pendant ce temps Chen révélait la politique du PCC sur le Falun Gong en Australie : « Lancer une attaque de sa propre initiative, viser le soutien (du gouvernement australien), gagner la sympathie (du public australien). » Les informations qu’ils ont fournies valident le fait que le PCC étend sa persécution en dehors de la Chine.

La persécution est systématiquement menée du haut vers le bas, de l’intérieur vers l’extérieur

Hao Fengjun a stipulé : «  En juillet, les autorités supérieures ont fait transmettre la nouvelle vers le bas de la hiérarchie que le Falun Gong allait être banni le 18 juillet. Ils nous ont aussi informés que la nouvelle allait être diffusée sur CC TV. Plus tard, il a été dit qu’à cause des avis différents dans les hautes autorités, la nouvelle n’a pas été publiée. Avant le 20 juillet, mon employeur a mis sur pied des réunions de personnes de différents niveaux et de rangs, destinées à renforcer notre compréhension dans l’idéologie communiste. Dans ces réunions, un ordre oral provenant du secrétaire général du PCC (Jiang Zemin à l’époque) nous a été transmis disant que nous ne devrions pas attendre plus longtemps pour bannir le Falun Gong et que nous n’avions pas à exiger des preuves solides pour agir de la sorte. Autrement le Falun Gong ruinerait le parti et la nation, etc. Le 20 juillet, la nouvelle du bannissement du Falun Gong a finalement été retransmise par CC TV et mon employeur a fait en sorte que chacun la regarde. » Il a mentionné le fait que les plus hautes autorités devait avoir des visions divergentes sur cette affaire avant l’interdiction, mais que c’est Jiang lui-même à la fin qui a imposé la décision de supprimer le Falun Gong. Jiang a initié et dirigé cette persécution et a fait en sorte qu’elle soit appliquée du haut vers le bas.

Chen Yonglin a dit : « Le PCC a établi, le 10 juin 1999, un département contre le Falun Gong le nommant le « bureau 610 » et qu’ensuite les villes et les provinces ont établi les bureaux 610 correspondants. Le bureau 610 est une agence administrative centralisée et c’est devenu un instrument pour persécuter le Falun Gong. Du fait que le bureau 610 est principalement un instrument destiné à traiter du cas du Falun Gong, il a souvent adopté des procédures anti-conventionnelles telles qu’emprisonner les pratiquants et utiliser la transformation de force et les tactiques de lavage de cerveau. Si à cause de leur croyance, les pratiquants de Falun Gong refusent de coopérer, ils sont alors détenus de force. »

Hao a aussi affirmé que l’établissement du bureau 610 à Tianjin avait pour objectif d’éradiquer le Falun Gong. (4) Hao Fengjun a dit « À l’origine le bureau 610 a été établi pour traiter spécifiquement du cas du Falun Gong, ce qui signifiait recueillir des données sur les pratiquants de Falun Gong, les surveiller et les persécuter. »

Mais après le mois d’avril 2004, le gouvernement a inclus  les groupes religieux que le gouvernement chinois a nommé « cultes pervers » dans la juridiction du bureau 610. A  part le Falun Gong, il y 14 groupes religieux et 14 groupes organisés de qi gong ‘nuisibles’. Toutefois la manière dont est traité et la persécution du Falun Gong est plus grave et brutale. Hao a dit que bien que la diffamation du Falun Gong ne soit plus affichée de façon proéminente dans les médias, le PCC n’a actuellement pas amoindri sa persécution à l’encontre du Falun Gong, mais le fait de manière cachée. (6)

Chen Yonglin a dit publiquement qu’il avait été le consul pour les affaires politiques au consulat de Sydney pendant quatre années et deux mois. Il a dit que son travail à Sydney avait été de « mettre à exécution la politique du gouvernement chinois, de persécuter les pratiquants de Falun Gong dans NSW et de contrôler leurs activités y compris engager des personnes pour collecter des informations sur leurs activités et sur d’autres information concernant les pratiquants de Falun Gong. » (2) Le cas de Chen est un cas typique. Nous pouvons conclure que le PCC par sa nature dictatoriale étend la persécution à tous les pays qui ont chez eux une organisation du PCC à travers les mêmes mécanismes diplomatiques.

La persécution est activée par un investissement massif de ressources physiques et d’effectifs.

Hao Fengjun a dit: « En octobre 2000, dans le but de renforcer la stabilité politique, le comité central du PCC a décidé d’augmenter la puissance administrative du département de politique et de sécurité dans chaque bureau de sécurité publique à travers le pays (par exemple le département numéro 1 de la sécurité publique de Tianjin) aux bureaux des niveaux inférieurs et les combiner avec les bureau locaux 610 pour former les bureaux actuels de la sécurité d’état. » (3) « Le comité central et le ministère de la sécurité public ont alloué des fonds substantiels aux bureaux individuels de la sécurité et protection, fournissant ainsi l’excuse pour les directeurs généraux et les commissaires, particulièrement en ce qui concerne député directeur général Zhao Yuezeng qui était en charge des bureau 610, de demander des fonds d’activités au nom de la performance de travail, les rendant eux-mêmes plutôt riches. » (3) De plus le cas spécial « 103 » des pratiquants de Falun Gong qui ont pu briser le blocage Internet et avoir accès au site Internet Minghui a été classé comme un cas spécial par le ministère chinois de la sécurité publique. De ces faits nous pouvons voir que le PCC a investi d’énormes effectifs et ressources physiques dans la persécution.

Hao a aussi révélé que le gouvernement chinois a un énorme réseau d’espionnage opérant en dehors de la Chine. La politique du PCC de « lancer une attaque de sa propre initiative » montre que la persécution des pratiquants de Falun Gong en dehors de la Chine est implémentée volontairement et de manière active. « Viser le soutien (du gouvernement australien), gagner la sympathie (du public australien)» montre que le PCC vise à isoler et ségréguer les pratiquants du Falun Gong des gouvernements et des populations en dehors de la Chine à travers de la propagande trompeuse et  mensongère.

Les méthodes du terrorisme d’État : Meurtres, tortures, tromperies, lavages de cerveau, supervision, implication, etc

Meurtres : Selon le rapport de l’AAP du 9 juin, le tiers des anciens policiers en civil ont vu un pratiquant de Falun Gong torturé à mort dans leur poste de police local. Bernard Collaery, un avocat renommé de Canberra, a dit au programme ABS Lateline : « Il entend les coups dans sa station de police. Il intervient. On lui dit de partir. Il monte dans son bureau. » « Sa conscience bousculée, il redescend et dit ‘cela doit cesser’. » Plus tard il a vu que ce pratiquant de Falun Gong est mort suite à la torture. « Et voit alors cet homme nu, avec sa tête sur un chaise, ses jambes brisées, clairement mort et il en est horrifié.... » (8)

Chen Yonglin a confirmé que la mort des pratiquants de Falun Gong par la torture est un secret en Chine, parce que d’habitude ces pratiquants morts sont catégorisés comme suicidés par le PCC. Ce type d’information est habituellement gardé secret. (7)

Torture : En Chine, les méthodes que le PCC a adoptées pour persécuter le Falun Gong sont généralement destinées à établir le contrôle mental à travers la torture physique. Hao Fengjun a décrit des pratiquants de Falun Gong torturés : « Je me suis dépêché de me rendre au travail avec un officier féminin à la prison de Nankai filière du bureau de la sécurité publique de Tianjin. Lorsque nous sommes arrivés à la prison, située sur la route d’Erwei, dans le district de Nankai, j’ai vu Sun Ti assise sur une table dans une salle d’interrogatoire. Ses yeux étaient gravement enflés à causes des coups reçus. L’officier qui l’interrogeait était M. Mu Ruili, capitaine de la 2e division du bureau 610 de la sécurité de l’État. Mu tenait une barre en fer menaçante d’un diamètre d’environ un demi pouce, souillée de sang. Posée sur la table, il y avait une matraque électrique de haut voltage. » « Elle s’est tournée et a soulevé sont T-shirt. J’ai été terriblement choqué. Son dos avait presque entièrement  noir et il y avait deux coupures d’environ huit pouces de long qui saignaient encore. » (3) « Un officier de police l’avait torturée avec une barre en fer d’un demi mètre de long. Lorsque j’ai vu cela, j’ai réalisé que je ne pouvais plus continuer à faire ce travail. »

Après le 20 juillet, un grand nombre de pratiquants de Falun Gong qui se sont rendus faire appel ont été arrêtés. Hao a dit « Il y avait trois pratiquantes qui ont été ramenée à mon poste de police. Elles étaient dans la quarantaine et cinquantaine. Notre équipe d’enquête criminelle les a interrogées toutes les trois. Lors des jours d’interrogatoire qui ont suivi, j’ai pu entendre les pleurs et les cris extrêmement tragiques à chaque fois que je me suis rendu au travail. J’ai entendu plus tard d’un collègue qu’ils avaient reçu les ordres d’utiliser tous les moyens pour forcer les pratiquants de Falun Gong de révéler leur nom et l’adresse de leur famille. » (1)

Tromperie : Le cas que Hao Fengjun a mentionné est typique. Il peut être estimé que les médias étatiques tels que CC TV ont adopté des méthodes similaires pendant plusieurs années. Hao a confirmé que le 5 novembre 2003, la nouvelle émission de CC TV, Focal Point, a mis sur pied « Derrière la ‘patente’ ». Dans ce programme Jing Zhanyi, un pratiquant de Falun Gong et ingénieur en chef de la compagnie de fer et d’acier de Handan, a renié les phénomènes supranormaux dont il avait fait l’expérience en pratiquant le Falun Gong. Après que cela a été programmé sur CC TV l’émission a aussi été diffusée par d’autres médias locaux. C’est devenu un autre mensonge utilisé par CC TV pour attaquer le Falun Gong comme « anti-scientifique. »

Hao Fengjun a dit qu’il avait été le témoin direct du processus de production du programme. En 2003, le bureau de sécurité de l’État a reçu une assignation spéciale. Quatre ou cinq policiers, dirigés par le chef du bureau 610, Shi He se sont rendus à la prison de Shijiazhuang dans la province de Hebei pour gérer un « cas spécial. » Après leur retour, Hao Fengjun a vu un homme aux chevaux blancs, âgé suspendu par ses menottes dans la salle d’interrogatoire. Hao a plus tard appris que c’était Jung Zhanyi, un haut fonctionnaire de la province de Hebei. Après les interrogatoires, un reporter de la télévision centrale chinoise est venu interviewer Jing Zhanyi. Le plan était de montrer au monde combien ce fonctionnaire regrettait son implication avec le Falun Gong.

Le bureau de l’État a planifié avec précaution l’interview. Hao Fengjun se tenait ce jour là,  juste à l’extérieur de la porte, et il  a entendu le vice directeur du bureau de l’État, Zhao Yuezeng, dire à Zhanyi qu’il réduirait sa sentence s’il était d’accord de réciter certaines lignes qu’ils avaient préparé pour lui. Autrement il serait condamné pour traîtrise et serait soit enfermé à vie ou exécuté par le peloton d’exécution. Le vieil homme a cédé à leurs exigences et a critiqué le Falun Gong en utilisant leurs mots. Plus tard il a été condamné à sept années de prison. (6)

Regardons maintenant l’opinion de Chen Yonglin concernant les « 1700 cas de suicides de pratiquants de Falun Gong » inventés par les médias étatiques. Il a dit : « La plupart des 1700 personnes avaient eu avant qu’ils ne commencent à pratiquer le Falun Gong des problèmes mentaux ou des tendances suicidaires. Toutefois, nous devrions voir que beaucoup de gens après voir commencé la pratique du Falun Gong ont obtenus à la fin de bons résultats dans leur état d’esprit et qu’ils ne voulaient plus se suicider. Par exemple certaines personnes venaient de subir une rupture de relation ou avaient des familles brisées, mais une fois qu’ils ont commencé à pratiquer le Falun Gong ils se sont sentis bien spirituellement. Mon sentiment est que selon les statistiques il y a plus de 200 000 cas de suicide chaque année en Chine, il est bien probable que le Falun Gong ait sauvé plusieurs centaines de milliers de vies. » (7)

Lavage de cerveau : Hao a dit « La période après le 20 juillet a impliqué tant des enregistrements cachés et publics dans les villes. Les autorités ont exigé que chaque poste de police crée un registre et des rapports sur les pratiquants de Falun Gong (avec un accent mis sur les données de pratiquants qui se sont rendus aux événements du 25 avril, du 20 juillet et du 22 juillet). Les autorités ont aussi exigé des pratiquants de Falun Gong qu’ils signent une « déclaration de garantie » stipulant qu’ils ne pratiqueront plus jamais le Falun Gong. Toute personne qui refuse de signer la lettre est soit envoyée dans des classes de rééducation qui ont été établies par les gouvernements locaux ou punis pour avoir dérangé la stabilité sociale. » (1)

 « Pendant le Nouvel An chinois de l’année 2000, dans le but de renforcer le contrôle des pratiquants de Falun Gong et de les empêcher de se rendre à Pékin pour faire appel, les unités de travail, les voisins et les postes de police ont reçu l’ordre de mettre en place des cessions de lavage de cerveau et d’ouvrir des ‘classe d’éducation’. Les pratiquants de Falun Gong ont été forcés d’écouter du matériel audio de propagande, réunis ensemble dans une pièce. Ils ont aussi dû payer une ‘taxe d’étude.’... » (1)

Chen Yonglin a confirmé « une des méthodes du PCC à l’encontre du Falun Gong est  enquêter sur les activités ‘illégales’ de réunir des pratiquants ordinaires de Falun Gong par l’éducation et la transformation. Du comité central aux gouvernements locaux, les gens devaient prendre leurs responsabilités dans le ‘travail d’unification et de transformation’ ». Ainsi les fonctionnaires locaux, dans le but de protéger leurs positions officielles ou d’être promus font tout ce qui est en leur pouvoir pour empêcher les pratiquants de Falun Gong dans leur région de partir, soit pour des activités religieuses libres ou d’aller visiter des proches ou des amis. Ils agissent ainsi, parce qu’une fois qu’ils perdent le contrôle sur ces personnes (les pratiquants de Falun Gong), ils (les fonctionnaires locaux) ont l’impression que du fait qu’ils sont sous leur responsabilité ils pourraient être punis par le gouvernement central et il verrait ainsi leur position officielle menacée. C’est pour cette raison qu’ils veulent contrôler les pratiquants de Falun Gong et tiennent souvent des classes de lavages de cerveau. » (7)

Supervision : Si l’on considère « l’incident de Tianjin » Hao a dit : « Ce jour, des caméras ont été secrètement installées dans les bâtiments entourant l’institut d’éducation de la ville de Tianjin. Les images de plus de 5 000 pratiquants de Falun Gong ont toutes été enregistrées. » (3) Pendant la conférence de presse, tenue à Melbourne, le 7 juin, lorsque Hao Fengjun a soutenu les chiffres avancé par le diplomate Chen Yonglin sur le fait qu’il y a « 1 000 espions en activité en Australie » il a donné l’exemple de Mme Li Ying qui était surveillée par des espions chinois. Il a dit qu’il avait vu un rapport sur les activités de Mme Li en Australie.

Li Ying a immigré en Australie en novembre 2003. Elle a dit qu’elle avait été enfermée dans un camp de travaux forcés en 1999 et torturée. Depuis lors des espions l’ont surveillée « Je suis vraiment effrayée, parce qu’ils connaissent chaque action et mouvement que je fais en Australie. Tous les membres de ma famille sont encore en Chine, ainsi je m’inquiète vraiment pour eux. » a dit Li Ying. (5)

Hao a prétendu qu’il croie les chiffres que le diplomate Chen Yonglin a mentionné, c’est à dire sur les 1 000 espions qu’il y aurait en Australie. Hao a confirmé : « Lorsque je travaillais pour le bureau 610 en Chine, j’ai passé la plus grande partie de mon temps à m’occuper de rapport en provenance de l’étranger chaque jour. L’information venait de l’Australie, Les Etats-Unis et d’autres pays. Après que les données aient été triées, elles étaient envoyées au bureau de la sécurité et de la protection de l’État et certaines étaient envoyées au bureau de sécurité publique. » Hao a dit qu’il avait des preuves comme quoi des espions infiltraient des groupes de Falun Gong à l’étranger et réunissaient les informations des membres. Il a dit : « J’ai travaillé pour le bureau de la protection et de la sécurité d’État, ainsi je crois ce que Chen a dit. »

Chen Yonglin a confirmé que les tactiques du gouvernement chinois contre les pratiquants de Falun Gong hors de la Chine est principalement de superviser, suivre de prêt les nouvelles évolutions et empêcher que les progrès fait à l’étranger soient répandus en Chine.... (7)

Hao a dit : « Les pratiquants de Falun Gong qui sont enregistrés ou les membres de famille de pratiquants enregistrés se voient privés de leurs droits dans beaucoup de domaines, y compris l’entrée à l’université, l’emploi, les assignations militaires des enfants, les pensions, etc. Ils ont souffert de grandes épreuves. Certaines unités de travail licencient même toute personne qui avait été catégorisée comme un pratiquant de Falun Gong. » (1)

La conscience réveille le courage, le souhait de dire adieu au PCC

Après que ces deux fonctionnaires chinois, qui avaient été forcés de participer à la persécution du Falun gong ont saisi la vérité, leur coeur a été profondément touché. Chen Yonglin a mentionné : « Lorsque je travaillais pour le consulat de Chine à Sydney, au début je ne connaissais pas grand chose du Falun Gong et bien sûr j’exécutais fermement la politique du PCC de lancer des attaques de sa propre initiative. Lorsque j’ai appliqué cette méthode, inévitablement j’ai eu des mots et des comportements extrêmes à l’encontre du Falun gong. Toutefois plus tard, à travers mes contacts graduels avec les pratiquants de Falun Gong et en apprenant les principes du Falun Gong, j’ai découvert que je trahirais ma conscience si je continuais mon travail, ainsi je ne pouvais plus continuer à le faire. Parce que je pense que ce dont ont besoin les pratiquants de Falun Gong est de l’aide, pas de la persécution. J’espère que le gouvernement chinois reverra sa politique sur la religion aussitôt que possible. »

Après avoir été témoin de la rencontre de Sun Ti et de sa fille, de leur situation misérable après que Sun Ti ait été torturée, les images revenaient souvent dans les rêves de Hao Fengjun. Cela lui a causé des nuits d’insomnie et il se sentait désespéré sur le futur de la Chine et de son futur à lui en tant que policier. Hao Fengjun a dit que cet incident a été le tournant dans la suite des événements dans son esprit et qu’il avait commencé à imaginer des plans pour s’échapper en Australie.

En même temps que la vérité sur le Falun Gong pénètre profondément le coeur des gens, je pense que plus de gens au  bon coeur qui sont forcés de participer dans la persécution délaisseront la nuit pour choisir la lumière, exposer les diverses formes de preuves de la persécution du PCC contre le Falun Gong au public et aider les gens à voir les effets dévastateurs de cette terrible persécution.

Références :

(1) "Dans ses propres mots : Hao Fengjun explique pourquoi il s'est échappé de Chine, partie I", La Grande Epoque, http://french.epochtimes.com/news/5-6-20/2014.html (dans ce texte la version n’est pas officielle, car les phrases ont été traduites directement de l’anglais)

(2) "Chinese Diplomat Appeared at June 4 Rally and Farewell the CCP", The Epoch Times, http://www.dajiyuan.com/gb/5/6/4/n944224.htm

(3) "Dans ses propres mots : Hao Fengjun explique pourquoi il s'est échappé de Chine, partie II", La Grande Epoque, http://french.epochtimes.com/news/5-6-20/2015.html (dans ce texte la version n’est pas officielle, car les phrases ont été traduites directement de l’anglais)

(4) "Second China defector backs Australia spy claims", Reuters http://www.swissinfo.org/sen/swissinfo.html?siteSect= 143&Sid=5853391&cKey=1118191818000

(5) "Falun Gong Practitioner is Spied and Worry for Family", The Epoch Times, http://www.epochtimes.com/gb/5/6/8/n948404.htm (in Chinese)

(6) "Dans ses propres mots : Hao Fengjun explique pourquoi il s'est échappé de Chine, partie III", La Grande Epoque, http://french.epochtimes.com/news/5-6-20/2016.html (dans ce texte la version n’est pas officielle, car les phrases ont été traduites directement de l’anglais)

(7) "Chen Yonglin Got Away the Chinese Consulate From Carrying on Persecution of Falun Gong - Defector Chen Yonglin Talks About Falun Gong", The Epoch Times http://dajiyuan.com/gb/5/6/9/n949605.htm (in Chinese)

(8) "Third man backs spy claims" AAP(Australian Associated Press) http://www.thecouriermail.news.com.au/common/story_page/0,5936 15567257%255E1702,00.html

Traduit en Suisse de l’anglais le 22 juin 2005