(Minghui.org)

Le camp de travaux forcés de Hehuakeng, ville de Tangshan, utilise une méthode de torture appelée « la planche du repos ». Le panneau qu'ils emploient est d'environ 10 centimètres de large par environ 10 centimètres d'épaisseur. Des pratiquants sont forcés de s'asseoir en cette position, de 5h00 du matin à 20h00 le soir. Outre deux pauses à la salle de repos (5 à 10 minutes chacune), les pratiquants doivent rester dans la même position.

Après quelques jours de séances comme ceci, les blessures ou les ulcères de pression commencent à se former sur les fesses des victimes. Après une période prolongée sous une telle torture, la circulation sanguine aux extrémités inférieures est entravée. Les pratiquants perdront le contrôle de leur vessie et/ou intestins. Plus tard, les pratiquants ne pourront pas uriner ou faire fonctionner leurs intestins. L'aine, les testicules et le périnée peuvent devenir sévèrement ulcérés et infectés.

De 2001 à 2003, le pratiquant sur cette photo a été torturé au camp de travaux forcés de Hehuakeng, ville de Tangshan. La torture sur la planche du repos l'a presque tué. Quand il fut près de la mort, le camp de travaux forcés l’a secrètement envoyé à la maison. Après plusieurs secours d’urgence, alors qu’il était sous les soins des membres de sa famille, il a survécu, mais il est encore sérieusement handicapé au niveau de dysfonctionnements urinaire, intestinal et sexuel.

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La planche du repos.

Chaque jour, les pratiquants doivent mettre leurs mains sur leurs genoux, les garder ainsi en demeurant droits et rester sur le banc pendant 18 heures. Cette méthode de torture peut être employée sans interruption pendant plus de cinquante jours. Les autorités limitent l'utilisation de la salle de repos des pratiquants. En raison de la longue durée de la séance passée sur les bancs durs, les pratiquants développent de grandes et douloureuses blessures sur leurs fesses. Quelques pratiquants ne peuvent pas uriner correctement en raison de la douleur. En outre, l'environnement du camp de travaux forcés est très humide, mais la police refuse de permettre aux pratiquants l’accès à l'air frais ou à la lumière du soleil. Des pratiquants ont été enfermés tellement longtemps qu’ils ont développé des galles rouges sur de grandes parties de leur corps, causant des démangeaisons douloureuses.

Pour lire sur ce cas aller voir:

27 juillet 2005

Traduit de l’anglais le 27 août 2005.