(Minghui.org)
Avant de décrire ce qui m’est arrivé, laissez-moi d’abord dire du fond de mon cœur : « Falun Dafa est bon ! Maître Li est grand ! Je remercie le Maître d’avoir sauvé ma vie. »
J’ai grandi sous l’influence du Parti communiste chinois (PCC) et je croyais dans le PCC et avais une conception déviée des valeurs. J’ai fini au bas de la société et luttais pour tout dans la vie. J’ai été finalement impliquée dans la drogue et j’ai commencé à en prendre. Lorsque j’ai réalisé ce qui c’était passé, ma vie était déjà un enfer. Ma peine était telle que j'ai souhaité être morte.
En 2001, j’étais enfermée dans un centre de réhabilitation pour drogués dans la province de Wubei. Un jour une nouvelle personne est arrivée au centre. Je l’ai regardée depuis la fenêtre de ma cellule. J’ai vu en elle une dame gentille et chaleureuse qui semblait être de l’âge de ma mère, et qui était une personne avec un comportement droit. J’étais confuse et je me demandais pourquoi une telle personne était détenue là. J’ai demandé à la police les raisons de sa détention. La police m’a dit qu’elle était pratiquante de Falun Gong. A ce moment, sans aucune raison, mon esprit a eu un choc je me suis senti indescriptiblement triste. Pourquoi le PCC détenait une si bonne personne ? Détenir des pratiquants de Falun Gong était un acte si mauvais. Lorsqu’elle est passée devant ma cellule, je l’ai fixée et ai été touchée. J’ai crié : « Longue vie au Falun Gong ! Longue vie à Li Hongzhi ! » Je voulais que la dame sache qu’elle n’était pas seule, et que je l’avais comprise et que je soutenais ses croyances.
Elle avait déjà passé ma cellule, mais elle s’est arrêtée et est revenue en arrière vers moi. Elle m’a tendu ses mains et m’a dit : « Wow, tu es aussi ici, prends soin de toi. » Elle a pleuré. Un courant chaud a traversé mon corps depuis ses mains. J’ai pleuré et je lui ai dit : « Sois forte ! » La police l’a prise par le bras et l’a retirée avec force. Elle s’est tournée et les a fixés pendant un moment et est partie. Cette scène s'est imprégnée dans mon esprit. Si réelle que je ne pourrais jamais l’oublier.
Plusieurs jours après, nous étions alignés au terrain d’exercice. Beaucoup de pratiquants de Falun Gong étaient rassemblés là. J’étais excitée et j’ai commencé à crier : « Longue vie au Falun Gong ! Longue vie à Li Hongzhi ! » Dès que j’eu dit cela, la police m’a menottée et ils ont élevés mes bras comme un avion, et m’ont suspendue dans la position d’un avion en vol. Je suis restée dans cette position pendant une heure et je sentais comme si mes nerfs et mes vaisseaux sanguins étaient gonflés et mon corps entier allait éclater. C’était si douloureux que j’ai perdu connaissance. Beaucoup de détenus ont expérimenté cette sorte de torture. Ils poussaient des cris au bout de cinq minutes et suppliaient d’être relâchés. Cependant, tous les pratiquants de Falun Gong emprisonnés qui ont expérimenté cette torture, hommes ou femmes, ne faisaient aucun bruit. Peu importe le temps que durait la torture, ils ne suppliaient jamais la police. Je me demandais pourquoi ils étaient aussi extraordinairement courageux. J’admirais grandement les pratiquants de Falun Gong qui persistaient fermement dans leur croyance.
En octobre 2004, j’ai été impliqué dans un grave accident de voiture. Un petit camion m’a percutée alors que je traversais la rue. J’ai d'abord été projetée à terre, puis j'ai fait un vol plané pour atterrir de nouveau par terre à vingt mètres de là où j’avais été percutée. Je me suis réveillée d’un coma à l’hôpital trois jours après l’accident. Mon corps était dans le plâtre et avait des bandages partout. La plaie sur ma tête a requis une dizaine de points de suture. Mes quatre membres et mon bassin étaient fracturés. Plusieurs côtes étaient cassées. On m’a dit que j’avais saigné presque à mort sur les lieux. Les docteurs m’ont dit que c’était un miracle que j’ai survécu. J’étais sortie de l’hôpital sept jours après et j’ai commencé à marcher dans le mois qui a suivi, et j’ai presque récupéré ma capacité totale à marcher six mois après. Finalement j’ai réussi à arrêter la drogue.
En juin 2007, j’ai rencontré une des mes camarades de classes de collège qui est une pratiquante de Falun Gong. Elle m’a appris les faits à propos du Falun Gong. A ce moment j’avais une compréhension basique sur le Falun Gong. J’ai été assez chanceuse de lire Zhuan Falun et j’ai soudain réalisé que c’était ce que j’avais dit : « Longue vie au Falun Gong ! Longue vie à Li Hongzhi ! » qui avait sauvé ma vie de ce grand désastre et changé ma malchance en chance. Falun Gong est miraculeux ! Il y a vraiment des divinités et des bouddhas.
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