Une
forme d'art d'il y a trois millénaires, la danse chinoise est dynamique et
expressive
Et toujours, elle raconte une histoire.
Des légendes anciennes et des personnages de courage héroïque reprennent vie
par le biais de ses sauts, ses tours et ses gestes délicats.
Bienvenue au monde de Tim Wu.
Le diplômé de 2005 du lycée de Nord Penn exécutera comme premier danseur quand
le Centre de la culture asiatique de la région de Philadelphie et l'Association
du Falun Dafa de la région de Philadelphie présenteront la Divine Performing
Arts - souvent appelé la Première compagnie mondiale
- à Philadelphie pour une série de quatre représentations.
Prévue pour ce soir, samedi et dimanche au Théâtre Merriam, elle sert au lancement de la tournée qui comprend encore une fois 60 villes à travers les États-Unis, le Canada, l'Allemagne, la Belgique, la France, le Norvège et la Suède.
Le spectacle glorieusement coloré et stimulant de la Divine Performing Arts -- par une chorégraphie magistrale et de gracieuses répétitions -- illumine la scène avec des bijoux de danseurs habillés de superbes costumes formant d'étourdissantes configurations.
Et certainement on veut séduire le public au plus haut degré par sa sublime beauté.
L'année passée, la DPA a joué en direct pour un public de 600.000 durant sa tournée mondiale de 66 villes autour du globe.
Les critiques qualifient ses spectacles de « superbes », « inspirés », « resplendissants » et « merveilleusement positifs »
« Les performances de la DPA nous disent non seulement beaucoup sur les valeurs et idéaux du passé de la Chine » de dire Cindy Wang, porte-parole pour le Centre de la culture asiatique de la région de Philadelphie « mais également au sujet de ce qui se produit aujourd'hui en Chine. C'est vraiment une performance de classe mondiale qui élève à merveille. »
Siégée à New York, la compagnie est une entité à but non lucratif qui est consciemment indépendante du régime politique de la Chine, sous lequel les arts traditionnels ont beaucoup souffert depuis longtemps. Ceux qui pratiquent le Falun Gong, un mouvement spirituel, peuvent être comptés parmi les membres.
La DPA a créé un précédent dans ses spectacles par son traitement artistique de thèmes classiques et de légendes ainsi que de questions sociales d'importance en Chine contemporaine.
Né à Shanghai, a émigré aux États-Unis à l'âge de 4 ans et a grandi - en premier lieu à Oklahoma, avant de déménager dans le Canton de Montgomery à l'âge de neuf ans - avec un intérêt ardent pour la culture chinoise, hérité et enraciné par ses parents, Allen et Joyce
Après sa graduation de North Penn, l'opportunité s'est jointe au désir durant son deuxième semestre d'études en pharmaceutiques à l'Université des Sciences de Philadelphie.
« J'ai entendu parler de ce programme » a dit Wu âgé de 21 ans, « et mes parents ont toujours insisté sur le fait que j'étais chinois. Je me souviens des histoires qu'ils racontaient. Et j'ai toujours aimé son histoire et sa culture.»
Il a décidé d'étudier la danse classique chinoise à l'Académie des Arts de Fei Tian à Cuddebackville, N.Y., près de Middletown. Il a commencé à exécuter dans les spectacles du Nouvel An chinois de New Tang Dynasty TV, et en 2006, il est devenu un danseur de groupe pour la Divine Performing Arts et a participé dans sa tournée mondiale.
Mais encore une fois il a voulu vraiment maîtriser son métier.
Alors en 2007, Wu est entré dans la première Compétition internationale de danse classique chinoise, division pour hommes de NTDTV. Il a remporté la médaille de bronze.
Il n'a pas été satisfait. Dans un tel événement au mois d'août il avait remporté la médaille d'or -- oh, oui -- et le prix de10, 000$ qui accompagne l'honneur.
Mais que dire de l'axiome du tout entier équivaut l'ensemble des parties?
Ici, on l'appelle la synchronisation. Le concept
est que le groupe - de 10 à 20 personnes -- danse comme un seul danseur.
Ceci, vous pouvez l'imaginer, exige des heures et des heures et des heures de
pratique.
« Il faut du temps et du dévouement de la part de tous concernés », explique Wu. « Nous y travaillons peut-être de neuf à dix heures par jour. Nous nous levons à 8 :00 heure, nous suivons des cours de formation de base en danse classique à 8h30 le matin, suivis d'une pause, et ensuite, de répétitions de 14h à 17 h et de nouveau à partir de peut-être 19:00 à 22 :00 heure. Ce n'est pas ennuyeux, mais cela peut être épuisant. Parfois, c'est très difficile de se réveiller le matin. »
Mais il croit au programme -- et le prend très au sérieux.
« Le fait
est que (la danse classique chinoise) souligne non seulement l'apparence de
votre corps - et ceci implique vos mains et votre visage - mais aussi
l'expression de vos pensées les plus profondes », dit-il. « Il ne s'agit
pas seulement de mouvements et technique. C'est la manière dont vous exprimez
votre cœur. »
http://www.phillyburbs.com/pb-dyn/news/83-12192008-1640802.html
Traduit de l'anglais au Canada le 21 décembre 2008
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