Un homme d’affaires de New York : J’ai senti« l’unitéentre le Ciel et l’Homme »

(Minghui.org)

Zhang Guoli, qui a le même nom qu’un acteur très connu en Chine continentale, a emmené son épouse à la seconde représentation de Chinese New Year Splendor, le 31 janvier 2008. M. Zhang, homme d’affaires, est originaire de la province Zhejiang en Chine, mais a vécu à New York pendant plus de 20 ans.

Durant l’entracte, M. Zhang a dit que bien qu’il soit un amateur assidu de théâtre, c’était la première fois qu’il voyait un spectacle de la Troupe des Arts divins. Un ami le lui a recommandé. Il a dit que le Splendor a dépassé de loin ses attentes, tant qu’il ne pouvait se souvenir avoir été autant impressionné par la musique, la danse, et les décors de n’importe quelle autre représentation. Selon lui, tout a été fait avec un goût exquis et d’énormes compétences.

L’épouse de Zhang a éprouvé une crainte mêlée de respect devant les décors vifs. Elle imaginait que les artistes devaient avoir passé beaucoup de temps pour finalement montrer ces peintures superbes. Elle a insisté de façon répétée : ‘’ [Les concepteurs sont] très dévoués ! Très professionnels !’’

Zhang a dit que les décors l’ont transporté dans les véritables paysages dépeints sur la scène: chaque fois que le rideau se levait au début du programme, il était submergé par la beauté parfaite, frappante de la scène présentée sous ses yeux. Le premier programme, ‘’Création’’ lui a rappelé l’ancien concept chinois de ‘’l’unité entre le ciel et l’homme.’’ Il avait l'impression de se trouver dans un paradis parmi les divinités et les Bouddhas. Les pagodes et les pavillons flottant au-dessus des nuages répondaient à son aspiration intérieure d'une forme plus élevée d'existence. Débordant d’harmonie sereine, les décors communiquaient une merveille inexplicable.

Dans le second programme, ‘’Fées d’Eau,’’ il a remarqué que l’expansion apparemment infinie de l’océan bleu sur la toile de fond était si belle, qu’elle l’a transporté dans un monde de tranquillité. Il a vu les danseurs dans une disposition parfaite et portant des costumes correspondant à la toile de fond, comme une belle image dans laquelle il s'est senti immédiatement attiré. C'est avec une sensation de joie qu’il a regardé les danseurs glisser gracieusement à travers la scène.

M. Zhang a dit qu’il se sentait honoré d’avoir l’opportunité de voir le Splendor et de reconnaître et soutenir l’effort de la troupe des Arts divins pour diffuser la beauté de la danse classique chinoise.

Traduit de l’anglais le 8 février 2008