(Minghui.org)

J’ai vécu des vies sans nombre au cours de milliers d’années sur terre. J’ai causé beaucoup de karma et enduré de nombreuses tribulations. Dans un monde de tentation et d’illusion, le bienveillant Maître m’a éveillé. J’ai suivi le Maître et commencé mon voyage de retour.

Quand j’étais enfant, je voyais souvent des scènes dans d’autres dimensions. Un jour un écran comme un écran de télévision est apparu avec des lumières clignotantes. Puis un beau ciel bleu est apparu. Puis une fleur de lotus s’est matérialisée devant moi, des gouttes d’eau cristalline arrosaient ses pétales, scintillant sous le soleil. J’étais émerveillé par sa beauté pure. Soudainement, une fillette avec des couettes et portant un tablier rouge est sortie du lotus. Joyeusement elle jouait dans la fleur de lotus, puis faisait des galipettes et se balançait sur un pétale de fleur. Elle se jetait dans les airs et tournoyait comme un couvercle, puis tournait en spirale autour du lotus. C’était tellement vif et adorable. Progressivement, le lotus et la fillette ont disparu. Deux mains immenses mais délicates sont apparues, faisant des gestes. Peu après, les mains se sont arrêtées dans une certaine position. J’étais sans voix.

Plusieurs années plus tard, en mars 1999, le moment le plus heureux de ma vie est arrivé. Après que mon frère et ma belle-sœur m’aient parlé de Falun Dafa, je suis devenu un pratiquant. Depuis le Maître m’a tenu la main et guidé à travers huit années de cultivation. Moi, une personne pleine de karma, je suis devenu un disciple de Dafa pendant la rectification par la Loi.

Quand j’ai commencé à apprendre la méditation assise pour la première fois, j’ai vu le Fashen du Maître devant moi sur la droite et qui me regardait. J’ai également vu ma conscience secondaire assise, en face de moi, dans la position du lotus. Elle semblait avoir 15 ans. Mes larmes ont jailli. L’autre jour après avoir fini la méditation j’ai vu au loin des rayons de lumières dorées et soudainement un bouddha doré assis sur un parterre de lotus est apparu. J’ai regardé de près; c’était le Maître ! J’étais tellement excité que j’ai pleuré : Maître ! Maître souriait. À ce moment-là j’ai entendu la musique céleste Pudu. Je n’oublierai jamais cette expérience merveilleuse.

Une fois alors que je méditais, le livre Zhuan Falun est apparu devant moi. Les pages tournaient. Le Maître, portant une kasaya et entouré d’une lumière dorée s'est dirigé vers moi. J’ai réalisé que le Maître me rappelait d’étudier la Loi diligemment. Avec un pratiquant puéril comme moi, le Maître était comme un père apprenant à son enfant. Il me tenait par la main et me guidait pour aller de l’avant.

Après huit années de cultivation marquante, j’ai progressivement mûri. Quand je m’améliorais un petit peu, le Maître me révélait des scènes magnifiques d’autres dimensions. Quand je me relâchais, le Maître utilisait différentes méthodes pour me rappeler à l'ordre, telle qu’une sonnerie de téléphone et des clochettes. Un jour une voix m’a dit : « Si tu peux renoncer à ta fainéantise, tu réussiras. » Je comprends que sur mon chemin de « retour » je dois suivre le vrai chemin de cultivation. Il n’y a pas de raccourci. Je dois examiner chacune de mes pensées ainsi que bien étudier la Loi et fréquemment.

Tant que nous voulons offrir le salut aux gens, le Maître nous enverra les gens avec des relations prédestinées. J’ai souvent rencontré dans la rue des amis de longue date perdus de vue ou d’anciens voisins que je n’avais pas vus depuis des années. Je leur ai dit les faits concernant Dafa et les ai convaincus de renoncer au PCC. Il y a beaucoup de tels exemples. Mais chaque opportunité est absolument importante. Les gens sont passés par des milliers d’années de réincarnation et ils scellent leur dernière destinée quand ils nous rencontrent. Quand j’ai vu ces personnes sauvées, j’étais tellement heureux pour eux. Beaucoup de gens, une fois appris les faits, m'ont salué à plusieurs reprises. Un homme était tellement excité qu'il avait du mal à exprimer sa gratitude et a rougi. Finalement, il a joint ses mains les a levées au dessus de sa tête et a crié: Que le ciel vous bénisse !

Une autre amie que je n’avais pas vue depuis des années était très heureuse après avoir appris les faits. Le lendemain matin alors que je méditais elle est venue à moi et a dit : « Je dois te remercier. » Certaines personnes se sont prosternées devant moi et m’ont remercié pour les avoir sauvées. Je leur ai dit que c’était mon Maître qui les avait sauvées.

Compagnons de pratique, pendant cette précieuse période nous devons étudier la Loi avec nos coeurs. Nous devons accomplir les trois choses, sauver les êtres vivants et donner de bonnes nouvelles au Maître.


Traduit de l’anglais le 12 février 2008