Aider Maître dans la rectification par la Loi est la mission des disciples de Dafa

(Minghui.org)

Je suis une professeur à la retraite. J’ai 62 ans et j’ai exercé ce métier pendant plus de trente ans. Quand j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en juin 1998, mon corps s’est purifié et mon caractère s’est amélioré. Je voudrais dire à tous que la mission d’un disciple de Dafa est d’aider Maître dans la rectification par la Loi.

Deux ou trois jours après avoir commencé à pratiquer le Falun Gong, j’ai vu des montagnes, des rivières et des gens et j’avais l’impression de ne pas en voir la fin. J’étais très contente et à tous les gens que je rencontrais je disais : « Pratiquer le Falun Gong est si bon, je suis guérie de toutes mes maladies. » Surtout quand je rencontre des gens qui sont malades, je pense : « Pourquoi cette personne ne pratique-t-elle pas le Falun Gong ? » Ensuite j’ai compris que seuls les gens qui ont une relation prédestinée peuvent obtenir la Loi mais que la chose fondamentale est de croire en Maître et en Dafa.

Je lis les livres de Dafa tous les jours et quand j’ai le temps, je fais les exercices. Un jour au point de pratique, j’ai partagé mon expérience sur les bienfaits de Dafa sur le plan à la fois physique et mental. Le point de pratique du comté a recommandé que je m’exprime lors de la conférence d’échanges de xiulian du comté.

Le 20 juillet 1999, le régime communiste a lancé une persécution contre le Falun Gong. Ce jour là, j’ai pris le train pour aller faire appel à Pékin. Les policiers dans le train m’ont surprise en train de lire le Zhuan Falun. Ils m’ont forcée à descendre du train et m’ont dénoncée à la police locale. Par la suite, le poste de police locale, le secrétaire du Parti de la commission d’Education et la personne qui était en charge de la publication venaient souvent à l’école où je travaillais pour exercer des pressions sur moi. Ils m’ont forcée à faire un discours lors d’une réunion de la branche d’un syndicat qui était organisée par la Commission de l’Education. J’étais membre du Parti et leur but était de me forcer à faire un « examen personnel ». Que devais-je dire ? En pratiquant le Falun Gong, j’essayais d’être quelqu’un de bien. Ce n’est pas une mauvaise chose ! Je n’ai pas eu d’autre choix que d’écrire un discours. Mais je ne savais pas quoi écrire.

Le dimanche, je suis restée à la maison pour écrire. Après avoir écrit quelques mots, j’ai senti que c’était injuste. J’avais enseigné pendant plus de vingt ans et j’étais reconnue comme une excellente professeure, douée dans mon travail. Qu’avais-je fait de mal ? J’ai arrêté d’écrire et me suis endormie. Durant mon sommeil, j’ai rêvé de deux enfants qui avançaient péniblement par temps de pluie de fort vent. L’une d’elles avait sept ou huit ans et semblait joyeuse. Elle ressemblait à ce que j’étais dans une photo quand j’étais petite. Son visage était trempé de pluie et le vent soufflait très fort. Le visage calme, elle avançait courageusement sans se plaindre. Quand je me suis réveillée, j’ai compris que c’était une chance pour que je parle de Dafa ; et donc j’ai pu finir d’écrire mon discours très vite.

Quand je suis retournée au travail le lundi, j’ai placé mon discours sur mon bureau. La collègue assise devant moi l’a lu attentivement en disant que je faisais la promotion de Dafa. Je n’ai rien répondu parce que c’était ma mission. Cet après midi là ils ont tenu une réunion syndicale à l’école. Le secrétaire de la Commission de l’éducation et la personne en charge de la publication et le proviseur étaient assis sur la tribune. Plus de quarante membres du Parti assistaient à la réunion, y compris un vétéran qui pratiquait également le Falun Gong. J’ai deviné que c’était l’autre fille dans mon rêve. Au début de mon discours, j’étais très enthousiaste et au bout d’un moment je me suis calmée. J’ai parlé de la manière dont j’avais exercé mon métier et de ce que j’avais accompli. En raison de ma mentalité agressive, j’avais attrapé beaucoup de maladies et prenais beaucoup de médicaments, mais rien n’y faisait. J’ai recouvré la santé en pratiquant le Falun Gong. J’ai cité la Loi devant toute l’assemblée : « Si, par exemple, vous jetez dans l’eau une bouteille pleine de saletés et bien fermée par un bouchon, elle coulera au fond ; si vous videz ces saletés, plus vous en videz, plus elle remontera vers la surface ; quand vous l’aurez complètement vidée, elle flottera entièrement. » (Première Leçon de Zhuan Falun) Ils ont tous écouté attentivement et la salle de conférence était très silencieuse. Après la réunion, l’un des proviseurs a dit : « Vous avez si bien parlé ! »

Avant de partir, j’ai laissé un exemplaire de « Être un Homme » (Hong Yin) et « État d’esprit » (Points essentiels pour un avancement diligent) au Directeur et aux professeurs. Ils ont dit que ces mots les avaient apaisés et leur avait donné une sensation de grande liberté.

Maître nous dit :

« Disciples de Dafa, vous ne devez pas être indignes de la responsabilité grandiose qui vous a été confiée pendant la rectification de la loi, vous devez encore moins décevoir l’attente de cette partie des êtres, vous êtes déjà devenus leur seul espoir de pouvoir ou non entrer dans l’avenir, pour cela, tous les disciples de Dafa, élèves anciens et nouveaux, vous devez tous agir, commencer à clarifier la vérité sur tous les fronts, surtout les disciples de Dafa en Chine continentale, chacun doit sortir pour en parler, comme des fleurs s’épanouissant partout, pour que pas un endroit où il y a des gens ne soit oublié. » (« Abandonner le coeur de l’homme, sauver les gens de ce monde » en 2004)

Après avoir lu les articles de Maître, les pratiquants de notre région se sont dépêchés de clarifier la vérité aux êtres. Je suis allée dans des villages, des cantons pour distribuer des CD de clarification de la vérité avec d’autres pratiquants. La plupart du temps, je parlais aux gens face à face de la persécution et les persuadais de démissionner du PCC. Parfois j’y allais avec d’autres pratiquants, parfois j’y allais seule. Tout d’abord, j’ai persuadé des amis et de la famille de démissionner du PCC et ensuite je me suis adressée à des étrangers. Je suis allée dans des rues et des villages pour ce faire. Quand mon est stable, il y a un bon effet quand je persuade les gens de démissionner du Parti et je parviens à mon but.

Au printemps 2008, je suis allée avec une ancienne pratiquante de rue en rue pour clarifier la vérité, nous y allions chaque après-midi. Parfois nous rencontrions des gens qui ne comprenaient pas la vérité et étaient mal à l’aise en entendant parler de la persécution. Maintenant quand on rencontre ce genre de personne, on réalise qu’ils sont à plaindre. D’autres nous remercient.

J’ai eu beaucoup d’opportunités de clarifier la vérité en rencontrant d’anciens camarades de classe. Je ne m’inquiétais pas de savoir ce qu’il fallait dire. Cette année, j’ai assisté à une dizaine de réunions avec mes camarades de collège. Nous avons dîné ensemble tout en discutant. J’ai saisi toutes les opportunités de leur dire la beauté de Dafa et comment être une personne de bien. Je les ai aussi persuadés de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées.

Le temps qui nous reste est limité dans la rectification par la Loi. Nous devons nous dépêcher pour bien faire les trois choses et assister Maître pour sauver plus d’êtres et accomplir la mission des disciples de la Loi.

29 septembre 2009

Traduit en France de l'anglais