(Minghui.org)
C'est à nouveau l'époque où les élèves de l’école primaire sont amenés à rejoindre l’organisation des Jeunes pionniers du Parti communiste chinois (PCC). En tant que pratiquant, face à cette question, en fait c’est un test pour voir si vous pouvez vous détacher de l’attachement à la peur.
Mon enfant est en 3e année (CE2). Il a déjà eu à faire face à ce problème alors que mon mari, qui ne pratique pas le Falun Gong, a dit : « Laisse-le s'inscrire et il pourra démissionner plus tard. » Mais je ne voulais pas qu’il se joigne aux Jeunes pionniers. Heureusement mon enfant pratique avec moi depuis qu’il est très jeune et il était déterminé à ne pas rejoindre l’organisation du PCC.
Quand son instituteur lui a demandé de payer la cotisation de membre, notre enfant ne l’a pas payé et il a dit à son instituteur qu’il ne voulait pas en faire partie. Pendant ce temps, nous avons envoyé des pensées droites pour éliminer la perversité. Je suis allée voir son instituteur et je lui ai demandé poliment : « Monsieur l'instituteur, puis-je vous demander si rejoindre l’organisation est une décision volontaire ? Le professeur a dit sans hésitation : « Bien sûr que c’est volontaire. » J’ai dit : « Puisque c’est volontaire, nous ne voulons pas qu’il s'inscrive. De nos jours, les gens démissionnent de toutes les organisations du Parti. Nous avons nos propres croyances et nous ne voulons pas qu’il s'inscrive. » L'instituteur était vraiment surpris par ma déclaration. Il a seulement dit : « Oh » et il est parti précipitamment pour son cours.
Quand notre fils était en deuxième année, chaque matin il y avait quelqu’un à l’entrée de l’école qui inspectait les élèves, vérifiait pour voir s’ils portaient le badge rouge indiquant qu’ils étaient membres de l’organisation. Les élèves qui ne les portaient pas devaient rester debout comme punition. De plus leurs classes auraient un moins bon résultat. Comme notre enfant ne voulait pas que sa classe ait le plus mauvais résultat, il rentrait toujours dans l'école en courant quand l’inspecteur ne regardait pas. Il ne pouvait pas entrer dans l’école avec dignité. Plus tard son instituteur a essayé encore de me convaincre de laisser notre fils se joindre à l’organisation. J’ai dit : « Puisque c’est volontaire, nous ne voulons pas qu’il s'inscrive. » Voyant que nous étions très déterminés, il n’est plus revenu chez nous pour nous en parler.
Quand j’ai regardé à l’intérieur, j’ai vu que si mon enfant ne pouvait pas entrer à l’école avec dignité, cela voulait dire que nous avions encore un attachement à la peur. Nous avons envoyé des pensées droites fortes pour complètement éliminer les esprits pervers du PCC et tous les facteurs pervers dans l’école. Nous ne devrions pas craindre le spectre pervers. Il devrait nous craindre nous !
Plus tard, mon enfant m'a dit: « Maman, maintenant je peux entrer dans l’école sans aucune peur. Les instituteurs et les élèves qui sont en charge ne se rappellent plus de moi. Quelquefois, quand les autres élèves veulent écrire mon nom, l'instituteur leur dit de ne plus faire cela à l’avenir. » Dès lors, même s’il ne porte pas le badge rouge, il n'a plus a affronter la question d’être puni. Les autres élèves sont jaloux de lui et disent : « Si nous avions su cela avant, nous ne nous serions pas inscrits nous non plus. »
Il s’agit de ma compréhension. S’il vous plaît, indiquez moi tout ce qui n’est pas approprié.
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